Philosophie Peut On Ne Pas Savoir Ce Que L On Fait

1- Introduction : définition et méthode Introduction à la philosophie : définition et méthode 0-avant-propos Présentation personnelle : Basque Renaud tel : 07 60 70 93 53 mail : basque.renaud@gmail.com Présentation de la classe : Questionnaire de présentation individuelle I-Introduction à la philosophie : définition 1-Qu'est ce que la philosophie ? discipline scolaire : utilité, besoin culturel, loisir de la réflexion la tradition écrite : littérature, textes, traités (depuis environs 3000/2500 ans

La valeur de la philosophie doit en réalité surtout résider dans son caractère incertain même. Celui qui n'a aucune teinture de philosophie traverse l'existence, prisonnier de préjugés dérivés du sens commun, des croyances habituelles à son temps ou à son pays et des convictions qui ont grandi en lui sans la coopération ni le consentement de sa raison. Pour un tel individu, le monde tend à devenir défini fini, évident; les objets ordinaires ne font pas naître de questions et les possibilités peu

de scientia pour « science ». Être conscient lorsque nous agissons, éprouvons quelque chose, réfléchissons, etc. c’est ainsi posséder simultanément une connaissance de ces actes, sensations, réflexions. Cette connaissance peut avoir tous les degrés de clarté, depuis le sentiment le plus vague jusqu’au savoir le plus évident. La conscience est donc comme un redoublement à l’intérieur de nous-mêmes de ce que nous faisons ou pensons. Il devient ainsi clair que la distinction que nous faisons communément entre une conscience

la question consiste à savoir lequel ; d’où la problématique : est-ce que la science asservie ou libère ? Est-ce que la science est un méfait ou un bienfait pour l’homme ? En fait, il s’agit de savoir si, avec ce qu’elle propose, elle est pour nous négative ou positive c’est-à-dire s’il vaut mieux l’anéantir ou bien s’il faut la renforcer. Dans ce monde, rien n’est parfait. Rien n’est totalement bien et rien n’est totalement mal. C’est ce que veut transmettre la philosophie orientale avec les notions

philosophique, vol. 51, n° 2, 1995, p. 389-404. Pour citer cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/400922ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI http://www.erudit.org/apropos/utilisation.html

1 Philosophie de l’éducation Grands courants pédagogiques Par Gérard Barnier 1. Introduction 1.1. Image traditionnelle de la philosophie 1.1.1. Les 3 dominantes d’une histoire de la pensée éducative 1.1.2. L’enseignant : héritier et passeur 1.2. Actualité de la philosophie sur et de l’éducation 1.2.1. Crise et réflexion philosophique sur l’éducation 1.2.2. Nécessité actuelle d’une philosophie de l’éducation 1.3. Qu’entend-on par philosophie de l’éducation ? 1.3.1. Olivier Reboul 1.3

l’idée que l’apprendre est tout d’abord une métamorphose puisque lors de la compréhension d’un nouveau savoir il y a transformation des représentations (conceptions) mentales de l’apprenant. Mais celles-ci s’avèrent extrêmement résistantes à toute forme d’enseignement. Une déconstruction des conceptions de l’apprenant devient une étape préalable. Le nouveau savoir ne s’installe que lorsqu’il a fait ses preuves et lorsque l’ancien paraît périmé (Conflit cognitif : dépassement de ses propres représentations

La philosophie de la religion est la partie de la philosophie qui pose la question de savoir ce qu'est une religion[1]. Selon le concept de religion qui est posé et selon la question fondamentale que l'on se pose sur la religion, la philosophie de la religion peut correspondre à différentes démarches. La principale distinction entre les diverses approches de la philosophie de la religion se fait entre les approches dites « essentialistes » et les approches dites « fonctionnalistes »[2]. La philosophie

------------------------------------------------- Philosophie Du mythos au logos Voir  « l’invention de la raison » (Chatelet) Rationalité : origines grecques, vers 7èmeS avt J-C Un principe s’impose peu à peu, car le régime du mythe ne suffit plus à expliquer ce que l’hô ne comprend pas: Le Logos (= Parole, discours, argumentation, calcul,… Par extension : La raison) Pensée devient rationnelle dans 2domaines : 1. 1.      La connaissance de l’univers 2. 2.      La pratique politique

 Philosophie morale et politique Jeanne-marie.roux@univ-paris1.fr Thème : de quoi faut-il douter ? Examen : DST 2 heures -> questions de cours et questions de réflexion La philosophie comme discipline de la pensée et du questionnement. L’idée centrale est que la philo est d’abord une méthode questionnement et une méthode de doute, et une réflexion sur cette méthode. Poser des questions et douter ne se fait pas n’importe comment. La philo permet d’organiser ses questions. Les différents