Philosophie De L Absurde

religions, qui tendent à définir l’homme et d’où il vient, ne sont pas satisfaisantes pour l’homme absurde. Celui-ci recherche des réponses humaines qu’il puisse comprendre, inscrites dans sa condition. Au contraire, l’homme absurde doit s’éloigner des représentations de l’enfer ou du paradis construites par d’autres. Il ne doit croire qu’en ce qui est certain. S’il ne souhaite plus être un homme absurde, il lui faut soit trouver un sens au monde soit renoncer à la quête d’une cohérence. Mais aucune

dès le début de la pièce. Pourquoi donc laisser libre court à cette absurdité ? La liberté doit elle mener à la folie ? Rendre libre de tout, est ce rendre responsable de rien ? Pouvoir, folie, obéissance, résistance, vengeance.... Et si la vie est absurde, faudrait il pour autant la nier ? Notre incapacité à lui trouver un sens ne provient que de notre nature humaine. Celui qui se voit placer au dessus de tout, se voit placer au dessus de la vie même. Pour ne pas perdre la face : un seul choix. Il

dès le début de la pièce. Pourquoi donc laisser libre court à cette absurdité ? La liberté doit elle mener à la folie ? Rendre libre de tout, est ce rendre responsable de rien ? Pouvoir, folie, obéissance, résistance, vengeance.... Et si la vie est absurde, faudrait il pour autant la nier ? Notre incapacité à lui trouver un sens ne provient que de notre nature humaine. Celui qui se voit placer au dessus de tout, se voit placer au dessus de la vie même. Pour ne pas perdre la face : un seul choix. Il

son humour noir. Kafka est l'écrivain du XX° siècle qui est à l'origine du courant littéraire de l'absurde qui voit l'Homme déchiré par des conflits et une situation qui le dépassent, Kafka a intégré Joseph K., un personnage lui-même absurde, dans une situation absurde. Mais comment l'absurde est-il mis en évidence dans la situation dans laquelle se trouve le personnage de Joseph K.? Pour répondre à cette problématique, nous présenterons d'abord l'oeuvre et son auteur, puis nous analyserons l'absurde

rencontrer « si vous n’aviez pas » X5 = obtinat° absurde créant une antithèse entre la somme importante de malheur et le ridicule bonheur de manger des citrons et des pistaches. Cultivé notre jardin Candide : n’écoute + Pangloss, appréciant seulement la fore de son discoure (l90) «cela est bien dit ». n’est plus d’accord « bien dit » ne veux pas dire « justement dit », façon de couper le raisonnement de Pangloss ; sa courte réponse s’oppose au long dvpt absurde de Pangloss = Derviche. Formule final :

et à la liberté. La rencontre de Candide avec le nègre à la sortie de l'Eldorado constitue un choc brutal et un retour à la réalité du mal. Candide met en doute de plus en plus cet optimisme auquel il a voué une confiance aveugle à son maître de philosophie, Pangloss, qui lui enseignait que « tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Candide et Cacambo, approchant de la ville de Surinam, rencontrèrent un nègre au bord d’un chemin, il leur raconte sa misérable vie qui se résume

quelque part, caché ou travesti. La question du Sens est la question principale de la philosophie première, c'est-à-dire de la métaphysique. Qui porte d'ailleurs sur ses grands thèmes : la vie et la mort, la nature et l’évolution, l'Histoire des hommes et l'existence individuelle de l'Homme, les choses et les événements, les paroles et les gestes, et sur l'être. Alors l'existence a-t-elle un sens ou est-elle absurde ? L’Histoire a-t-elle un sens ou obéit-elle aux conjonctures ? Maurice Blondel amorçait

de vérifier toutes les notions que l’on apprend. Selon moi il est important d’user de notre logique pour ne pas rejeter continuellement tout ce dont on doute. Je me dis que des penseurs exceptionnels ont faits avancer notre monde et qu’il serait absurde de remettre en question le travail d’une vie à chaque fois! Une autre grande caractéristique de sa conception est le fait de séparer l’esprit du corps. Il est vrai que le raisonnement de Descartes pour arriver à cette conclusion est logique, mais

apparaître un monde étranger qu’il refuse de voir jusqu’à la fin du roman, car il lui est difficile de voir ses illusions s’envoler du jour au lendemain. Le soleil et la lumière apportent donc à Meursault la lucidité, concept essentiel dans la philosophie de l’absurde chez Camus. D’ailleurs, ce dernier utilise souvent le verbe « éclairer » dans Le mythe de Sisyphe, montrant qu’il accorde une certaine importance à la métaphore de la lumière qui éclaire l’homme « aveugle », l’homme berné par ses illusions

de la condition humaine. Quand on demande si l’Histoire a un sens, c’est la question de la rationalité de l’Histoire qui est posée. Peut-on expliquer ce qui se passe ? Si on ne peut pas expliquer ce qui se passe, alors l’Histoire devient absurde. A partir du milieu de XVIIIème siècle, on commence à s’interroger sur le devenir de la société humaine. A partir d’une réflexion sur les évènements, on se pose la question ‘qu’est- ce qui pourra advenir demain ?’ Peut-on, sur la base de la connaissance