Philippe Sollers

Partie 2 : Nourrir l’humanité Ch.2. Qualité des sols et de l’eau Ch.2 QUALITÉ DES SOLS ET DE L’EAU I. LE SOL, UN MILIEU D'ECHANGES DE MATIERE On définit le sol comme la partie supérieure et arable de l'écorce terrestre. Une plante est un organisme vivant qui a besoin d'un apport de matière pour se développer. Comment le sol va-t-il permettre d'échanger de la matière avec la plante ? 1) Le sol : une interface terre – eau – air : La terre arable se présente sous forme d'agrégats (des grumeaux) de différentes

                             LE SOL             Litière : La litière est un ensemble de feuille morte et des débris de végétaux en décomposition sur le sol .    Humus : Terre brune noirâtre provenant de la décomposition de débris végétaux dans le sol     Couche mère : Croûte terrestre plus ou moins recouverte par un sol.          Expérience 1 :    OBSERVATION:​  nous avons mélanger la terre et l’eau pendant un long moment et puis laissez reposer après cette  étape nous constatons que la terr

Définition La texture est définie comme étant la « Composition granulométrique d’un sol en % » ou encore, la « Composition centésimale en éléments de terre fine d’un sol » C’est la caractéristique physique la plus importante du sol ; elle conditionne la plupart de ses propriétés. Si l’on devait réaliser qu’une seule analyse d’un sol, il faudrait que ce soit la texture. La texture est une propriété définie pour un sol, c'est-à-dire qu’elle n’évolue pas rapidement et est donc stable à l’échelle d’observation

Travail prparatoire Ou Document dappelProblmatique Comment grer un agrosystme pour garantir une productivit optimale Comment fonctionne un cosystme Quelles sont les particularits dun agrosystme Quels facteurs conditionnent la productivit dun agrosystme CapacitsRecenser, extraire et organiser des informations. Utiliser un logiciel Raliser un schma fonctionnel Ajouter sur le schma la notion de flux (doc 2 p 161) 2 - Quelles sont les particularits dun agrosystme Etablir un tableau comparatif entre un

Essai in situ Un essai in situ consiste à introduire un instrument en un point précis d'un forage pour y mesurer les caractéristiques d'un sol ou d'une roche. Le SPT (Standard Penetration Test) et le pressiomètre sont deux essais in situ devenus classiques en matière de reconnaissance des sols. Les essais de perméabilité ponctuelle (essai Lefranc pour les sols ou essai Lugeon pour les roches) sont des essais in situ très répandus pour la définition de projets d'injection d'étanchéité. Les avantages

profils de teneur en eau qui évoluent de leur limite de retrait en surface à leur limite de liquidité en profondeur (Bernard et al., 2006 ; Hallaire et al., 1994). L’objectif de ce travail est de présenter les variations verticales de structure de sol argileux in situ et de les comparer (1) aux courbes de retrait en prenant en compte les différentes échelles de porosités (micro – méso et macroporosité) d’un et (2) aux courbes de compressibilité en milieu saturé. Le matériau étudié est le bri du Marais

habitation 16 4.5. Politique de l’entreprise concernant les consommables 17 5. Classification de sol pour la voirie d’un quartier de Violès 19 5.1. Situation géographique et contexte géologique 19 5.2. Teneur en eau naturelle 19 5.3. Essai V.B.S 20 5.4. Granulométrie par voie humide 22 5.5. Essai Proctor - C.B.R 23 5.6. Indice de portance immédiat (IPI) 24 5.7. Classification GTR du sol 25 6. Les Granges-Gontardes : Un forage à 300 mètres de profondeur 26 6.1. Situation géographique

sport collectif opposant deux équipes de cinq joueurs qui se joue à la main. Le but est de marquer plus de points que l'équipe adverse en marquant des paniers, c'est-à-dire en faisant passer le ballon à travers un anneau placé à plusieurs mètres du sol Les femmes représentent une bonne part des pratiquants, mais la reconnaissance du basket-ball féminin reste moindre. Aujourd'hui encore, contrairement au tennis, il souffre d'un traitement très inégal sur le plan médiatique et financier Le basket-ball

zones de regroupement extérieures aux services, 68% des établissements déposent des sacs de déchets à même le sol, 26,3% disposent de niches à ordures en dur ouvertes, 16,8% des niches à ordures fermées, 26,3% des conteneurs métalliques ouverts et 23,1% possèdent des conteneurs métalliques fermés. Autres chiffres alarmants : 41% des établissements hospitaliers ont des tas d’ordures à même le sol et 12,6% possèdent des zones de regroupement extérieures, 26,3% ont des points d’eau à côté des zones de regroupement

par retomber au sol sous forme d’un dépôt sec lorsque les particules sont à proximité du sol et sous forme de dépôt humide, sous l’effet de la pluie ou de la neige contaminée par les éléments radioactifs de l’air. Ces dépôts recouvrent aussi bien les végétaux, la terre qui les supporte, les plans d’eau mais aussi les surfaces bâties et les lieux de vie. Lorsque le dépôt est formé par les pluies, il se distribue au grédu ruissellement. DIAPO 11 Les retombées radioactives au sol entraînent la