Philippe de Commynes

Préserver l’ordre, défendre l’état contre toutes les attaques même au mépris de l’ordre de la morale. Notion qui fait partie de la prudence : l’homme politique ne s’en remet pas totalement à Dieu > gagne en autonomie. Dans les Mémoires de Philippe de Commynes (historien qui a participé à la guerre de cent ans et qui la raconte) > l’un des livres de chevet de Montaigne. Ouvrage qui croise perspectives politiques et esthétiques, Montaigne offre un objet d’étude privilégié. Montaigne construirait

deux autres clercs venus d’Angers au service de René II qui les introduisit au chapitre de Saint-Dié : Pierre de Blarru, auteur de la Nancéide et Jean Pèlerin, le Viator. Celui-ci, qui avait été précédemment secrétaire de Nicolas d’Anjou , de Philippe de Commynes et de Louis XI, était aussi chanoine de Toul. L’Abbé Gustave Clanché sait en peu de mots montrer ses qualités d’humaniste : « Commentateur de la sainte Ecriture, poète latin et français, auteur dramatique, cartographe et perspecteur expert

base, et une maîtrise suffisante de la perspective historique." Marie-Madeleine FRAGONARD Sources FRAGONARD M.-M., Précis d'histoire de la littérature française, P., Didier, 1981. POTELET H., Mémento de littérature française, P., Hatier, 1990. Philippe Van Goethem http://users.skynet.be/fralica/refer/theorie/annex/histlitt.htm Table des matières Le Moyen-Age......................................................................................................................................4 Tendances

grâce à leurs « relazioni », une de nos meilleures sources d’information sur l’Europe du temps, inversement, les ambassadeurs étrangers, ou les hommes qui accompagnent leurs souverains en Italie, ne manquent pas de décrire ce qu’ils y voient (ex. Commynes), et se joignent sur place aux groupes humanistes (ex Lazare de Baï f, ou Jean du Bellay, qui emmène avec lui à Rome Rabelais et son neveu Joachim, le poète). La pratique, traditionnelle, des « cadeaux diplomatiques » joue au XVIe siècle son rôle

Pendant la première quinzaine de juin, il tente en vain de convaincre, d’une part Churchill d’engager plus de forces dans la bataille de France, d’autre part Paul Reynaud de transporter le gouvernement en Afrique. Finalement, Paul Reynaud démissionne, Philippe Pétain le remplace, qui, le 17 juin au soir, demande l’armistice et installe son gouvernement à Vichy. Dès le 17 juin au matin, Charles de Gaulle s’est envolé pour l’Angleterre : « je m’apparaissais à moi-même, seul et démuni de tout, comme un homme

et Orose) et d’emprunts à des sources mérovingiennes, principalement Grégoire de Tours. À sa suite, Hugues de Fleury rédige ( ?-après 1122) un Livre qui contient les faits des modernes rois des Français, du règne de Charles le Chauve à la mort de Philippe Ier. Si Fleury a été le premier centre de réflexion historique français, il est progressivement évincé au XIIe siècle par SaintDenis. C’est avec Suger (vers 1081-1151) que l’abbaye devient le premier pôle historiographique du royaume jusqu’au XIVe

locuteur et le (s) destinataire (s) de chacun des énoncés dans le texte. ************************ Bibliographie • GENETTE, Gérard, Seuils, Paris, Seuil, 1987. • GOLDENSTEIN, Jean-Pierre, Entrée en littérature, Paris, Hachette, 1990. • LANE, Philippe, La péripétie du texte, Paris, Editions Nathan, 1992. 1. LES SOURCES DU TEXTE NARRATIF 1.1 L’épopée Elle est un long poème d’envergure nationale qui raconte les exploits historiques ou mythiques d’un héros ou d’un peuple. Cependant, les deux épopées

Démosthène et  Doc. 3 Philippe II, roi de Macédoine Doc. 5 : Des esclaves dans une mine Ce texte est un des plus célèbres discours de Démosthène « contre Philippe » (de Macédoine). Démosthène s’adresse aux Athéniens à un des moments les plus difficiles de leur histoire : la menace de Philippe de Macédoine sur les colonies grecques du nord de la mer Égée (ses « clérouquies ») et sur les cités grecques indépendantes ; peu décidés à se battre ou persuadés que Philippe pourrait unifier les cités

l’objet de rédaction par les soins de princes territoriaux ( la Très ancienne coutume de Normandie ), de villes ( d’Italie, du Midi de la France, d’Allemagne ), d’auteurs qui en donnent en même temps des commentaires ( La coutume de Beauvaisis de Philippe de Beaumanoir, mort en 1296 ). La rédaction des grandes coutumes, sur ordre du roi, est suivie d’une vague de commentaires, tel le Commentaire de la coutume de Paris par Charles du Moulin, et de la publication, par des éditeurs, de recueils de coutumes

la Gaule à la guerre de Cent Ans En « France » 1165-1223 1214 Règne de Philippe Auguste. Paris capitale et construction du Louvre et de Notre-Dame Victoire de Bouvines À l’étranger 1215. Fondation de l’ordre des Dominicains 1223. Reconnaissance papale de l’ordre franciscain créé par saint François d’Assise 6e et 7e croisades 1226-1270 1271 1268-1314 Règne de Saint Louis 9e et dernière croisade Règne de Philippe le Bel 1295. Retour d’Asie du marchand vénitien Marco Polo 1302 1328