Philippe Burrin

Philippe Pétain, né le 24[->0] avril[->1] 1856[->2] à Cauchy-à-la-Tour[->3] (Pas-de-Calais[->4]) et mort le 23[->5] juillet[->6] 1951[->7] à Port-Joinville[->8], sur l'île d'Yeu[->9], est un militaire[->10], diplomate[->11], homme politique[->12], et homme d'État[->13] français[->14]. Chef militaire à l'action importante au cours de la Première Guerre mondiale[->15], Pétain est généralement présenté comme le « vainqueur de la bataille de Verdun[->16] » et, avec Georges Clemenceau[->17], comme l'artisan

mondiale dans les manuels scolaires. BIBLIOGRAPHIE Pour une première approche de la question : – AZEMA Jean-Pierre, « Vichy et la mémoire savante », in Jean-Pierre AZEMA et François BEDARIDA (dir.), Vichy et les Français, Fayard, 1992. – BURRIN Philippe, « Vichy », in Pierre NORA (dir.), Les Lieux de mémoire, t. 2, Gallimard, 1997, p. 2467-2487. – FRANK Robert, « La mémoire empoisonnée », in Jean-Pierre AZEMA et François BEDARIDA (sous la dir.), La France des années noires, vol. 2, Seuil

Les 11 et 12 juillet, il promulgue quatre premiers « actes constitutionnels » (sur 12 au total) qui établissent les bases d’une dictature personnelle. L’Acte I met cette fois un terme de fait à la République en créant un nouvel exécutif : « Nous, Philippe Pétain, maréchal de France, vu la loi constitutionnelle du 10 juillet 1940, déclarons assumer les fonctions de chef de l’État français. » L’Acte II attribue à celui-ci « la plénitude du pouvoir gouvernemental », aussi bien législatif qu’exécutif

Flammarion, 1995. - J.-P. Azéma et F. Bédarida (dir.), La France des années noires (2 vols.), Le Seuil, « Points Histoire », 2000 [1993]. - J.-P. Azéma et F. Bédarida (dir.), Vichy et les Français, Fayard, « Pour une histoire du XXe siècle », 1992. - P. Burrin, La France à l’heure allemande, 1940-1944, Le Seuil, « Points Histoire », 1997. - R. Paxton, O. Robert, La France de Vichy 1940-1944, Le Seuil, « Points Histoire », 1999 [1973]. - H. Rousso, Les Années noires. Vivre sous l’Occupation, Gallimard

[pic] Dates à retenir : - 1er Septembre 1939 : invasion de la Pologne - 10 Mai 1940 : Blitzkrieg (« guerre éclaire ») à l’Ouest - 17 Juin 1940 : Pétain demande l’armistice - 18 Juin 1940 : appel du général De Gaulle - 22 Juin 1940 : armistice français - 3 Octobre 1940 : 1er statut des juifs - 24 Octobre 1940 : entrevue de Montoir - Juin 1941 : invasion de l’URSS - 7 décembre 1941 : attaque de Pearl Harbor par les Japonais - 16-17 Juillet 1942 :

Il recevra, à l'issue de la Grande Guerre la croix de chevalier de la Légion d'honneur, le 23 juillet 1919, et la croix de guerre 1914-1918 avec étoile de bronze. À son retour, il épouse Yvonne Vendroux le 6 avril 1921 à Calais. Son fils Philippe naît le 28 décembre suivant. Le capitaine de Gaulle est chargé de cours à l'École de Saint-Cyr, il est ensuite admis à l’école supérieure de guerre en 1922 . Il fait un stage à Trèves, puis à l'état-major de l'armée française du Rhin à Mayence

Que faut-il penser de la loi constitutionnelle du 10 juillet 1940 ? Intro : La loi constitutionnelle du 10 juillet 1940 met fin à la IIIe République et met en place un régime qui précède la IVe république. Ce régime fait suite à la défaite militaire de la France. L’acte de 10 juillet 1940 laisse planer des doutes d’irrégularité, la défaite contre les Allemands a permit au gouvernement Pétain d’effectuer un changement de régime qui n’aurait peut-être pas pu avoir lieu dans un contexte politique

II Nationalisme La Nouvelle-Calédonie a des mouvements indépendantistes face à la France opposants les Kanaks (indépendantistes et socialistes) contre les caldoches (calédoniens européens loyalistes). Philippe Gomès est le président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, il est anti-indépendantiste actuel. Histoire : Durant la Seconde Guerre Mondiale, la Nouvelle-Calédonie se rallie à la France. A partir de 1980, il y a de fortes tensions entre les opposants et les partisans de l'indépendance

guerre », en mai 1940, les troupes allemandes déferlent en Belgique puis, contournant la ligne Maginot, envahissent la France par le Nord, créant un véritable cahot dans l’armée française. Le 18 mai, Albert Lebrun, Président de la République appelle Philippe Pétain, le héros de la Grande Guerre, à la Vice Présidence du Conseil auprès de Paul Raynaud, Président du Conseil. Regroupant ses forces et réorganisant sa logistique, l’armée allemande s’arrête devant Dunkerque les 3 et 4 juin. Une pause, le « miracle

j’en retire venait avant tout du fait de voir le temps diminué à chaque entraînement, puis le fait de se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. Chose bien agréable étant donnée l’année de préparation au concours. On peut à juste titre citer Philippe Meirieu pour qui « le plaisir de la réussite est plus grand lorsqu’on travaille pour l’obtenir ». La motivation, le goût pour l’effort et le dépassement de soi, dans la mesure du raisonnable bien sûr, sont donc pour moi parmi les notions fondamentales