Phénotype

des autres, nous changeons constamment puisque nous nous basons uniquement sur les caractères « extérieurs » à l'individu ( physique et qualités ). Nous subissons donc au cours de notre existence, de nombreuses variabilités au niveau de notre phénotype mais aussi au niveau de nos qualités. Dès lors, on ne reste pas le même aux yeux des autres, on devient quelqu'un d'autre qui ne correspond plus aux identifications sur lesquelles on se basait pour l'identifier. Mais changer en apparence, est-ce

|gène allèle | | |- Description des différentes étapes de l'expression| |Du génotype au phénotype : caractères | | |de l'information génétique à partir d'un schéma | |héréditaires et expression phénotypique | |

Thème : La Procréation Objectifs : Comprendre la mise en place progressive du phénotype sexuel à partir du génotype (stabilité et variabilité) qui lui est présent dès la formation de la cellule œuf. Connaître l’organisation des appareils génitaux, l’influence des hormones dans la structure et le fonctionnement de l’appareil génital ainsi qu’aborder une approche comportementale et la maîtrise de la procréation. Vous disposerez des bases scientifiques nécessaires à la compréhension des problèmes

appelé système de r e p r o d u c t i o n p a n m i c t i q u e , est l'hypothèse la plus importante. Cette hypothèse suppose que les individus ne choisissent pas leur partenaire sexuel ni en fonction de leur génotype, ni en fonction de leur phénotype = p a n m i x i e et que la rencontre des gamètes se fait au hasard = pangamie. C - CONSTITUTION GENETIQUE DES POPULATIONS 1- Définitions : Pour définir la constitution génétique d'une population plusieurs niveaux, phénotypique, génotypique

création des variétés hybrides comportent 3 phases : * L’obtention de lignées. L’obtention de lignées commence par la sélection d’individus de départ dans des populations naturelles ou artificielles. Le choix de ces plantes est réalisé sur leur phénotype et le comportement de leur première descendance. Le système de consanguinité est alors appliqué : il s’agit généralement de l’autofécondation ou éventuellement du croisement frère x sœur, qui est toutefois 3.3 fois plus lent en moyenne que l’autofécondation

nous noterons « a » est récessif. Si une personne possède un allèle normal et un allèle muté, l’allèle normal noté par la suite « N » compensera et la quantité de mélanine synthétisée sera normale. Un individu hétérozygote N/a sera donc de phénotype normal. Il pourra par contre transmettre l’allèle de la maladie à sa progéniture. Si par malchance, les deux individus du couple sont hétérozygotes N/a, une chance sur quatre existe que soient réunis dans le zygote les deux allèles a (une

2,5 points Donner les définitions des termes suivants : - Gène - phénotype - Allèle - mutation - Métabolisme Exercice 2 :

gestation gémellaire particulière : l’un des 2 embryons faux-jumeaux est mâle et l’autre femelle. Le mâle est normal en tous points. La génisse obtenue est stérile. Elle montre : ( des organes génitaux externes normaux, correspondant à un phénotype femelle, ( des conduits génitaux internes atrophiés : vagin rudimentaire clos, utérus réduit à l’état de vestige, voire même absent, ( des conduits génitaux mâles présents à l’état d’ébauches : épididyme, vésicules séminales et même, beaucoup

naissance au génital féminin qui est l’utérus et le vagin. Il s’agit du trompe de Fallope. Ces glandes donnent naissance aux ovaires et aux testicules. Depuis, les travaux d’Alfred Josse, on sait que l’évolution spontanée de l’embryon se fait vers le phénotype (ensemble des caractères manifestes spécifiques qui constituent l’expression vivante du patrimoine génétique). L’embryon qui devient un fœtus va à la 1ère semaine produire deux types d’hormones : -le 1er type d’hormone est produite par les cellules

appelé SDF1 (Stromal Cell-Derived Factor 1). Tous deux participent l'embryogénèse à l'inflammation, l'angiogénèse, l'hématopoïèse, au développement du système immunitaire (29). Chez la souris, la délétion d’un de ces deux gènes est létale et le phénotype identique, caractérisé par une déficience dans la lymphopoïèse B et la myélopoïèse ainsi que le développement anormal du système cardiovasculaire et neuronal (30). Le CXCL12 est en effet, à ce jour, le seul ligand connu du CXCR4. 1. Le CXCR4