Phaleg

passer aujourd’hui, vu les conventions établies. On veut seulement, par les métaux les plus connus qu’on a choisis au nombre de cinq, lui désigner l’être démoniaque quinaire dont il doit continuellement se séparer ». Pourquoi Tubalcaïn devient Phaleg ? N’'est ce pas une contradiction de donner à l'apprenti ce mot de ralliement après lui avoir fait quitter tous ses métaux qui sont l'emblème des Vices ? En effet d'un côté on lui apprend que ce n'est point sur les métaux que le vrai maçon doit

fut par vanité que les hommes bâtirent la belle tour de Babel: « Allons, élevons une tour dont le sommet touche au ciel, et rendons notre nom célèbre avant que nous soyons dispersés dans toute la terre. » L’entreprise fut faite du temps d’un nommé Phaleg, qui comptait le bonhomme Noé pour son cinquième aïeul. L’architecture et tous les arts qui l’accompagnent avaient fait, comme on voit. de grands progrès en cinq générations. Saint Jérôme, le même qui a vu des faunes et des satyres, n’avait pas vu

Germains 1. Histoire des Gaules et conquêtes des Gaulois en Italie, Grèce et Asie, Bordeaux, 1617. 2. Gosselin, Hisloria Gallorum veterum, Caen, 1636. 3. Mézerai, Histoire de France avant Clovis, 1696. 4. Geographiae sacrae pars prior. Phaleg seu de dispersione gur l'histoire naturelle de ta province de Languedoc, 1737. LES ANCIENNES THÉORIES U 1771) démontrait que les Celtes étaient distincts des Ger- mains ^ Bullet (1699-1775) recherchait le vieux celtique, non seulement

ce sont les légendes épiques du Moyen Age : La Chanson de Roland en face d'Eginhard. Bien entendu, aucun frère n'a jamais vraiment cru que l'architecte Hiram avait été tué par les trois mauvais compagnons à qui il avait refusé la maîtrise, ou que Phaleg, l'architecte de la Tour de Babel, saisi de remords, s'était retiré dans les brumes du Brandebourg.Anderson sait distinguer : il suit la trame de l'histoire biblique et profane, mais ne mentionne nulle part ces légendes dont certaines sont très anciennes

ranger les outils. Une colonne, dont  je ne pourrais pas vous en dire plus par rapport à mon age et l'autre s'appela «JAKIN». JAKIN signifie Dieu établira ou Dieu nous créa, JAKIN est aussi le mot d'apprenti et au RER leur mot de reconnaissance est PHALEG. Selon le rite utilisé rite Écossais ou rite Français l'emplacement varie de gauche à droite, selon l'interprétation, intérieur ou extérieur, le tout est recevable car il est dit que celui qui leur fait face les retrouvent toujours dans la même

fait mention de leurs noms, caracteres, metaux & couleurs à commencer par Saturne. Les Anges des Planettes qui sont devant la face de Dieu. Zabpkiel. Zadkiel. Gamalel. Raphaël. Haniel. Michaël. Gabriel. Les Esprits des Planettes. Betoi [sic]. Phaleg. Aratron. Oeh [sic]. Hægit. Ophiel. Phul. Les Anges des Planettes. Cassiel. Tachiel. Samaël. Anaël. Raphaël. Michaël. Gabriel. Les Pierres prétieuses des Planettes. Grenat. Topase. Rubis. Escarboucle. Emeraude. Cristal. Zaphir. Les Herbes

légende, fut extraite la pierre nécessaire à la construction du Temple. D’après I Rois, V, 18, les Giblites (ou Gibliens) reçurent la tâche de tailler et de mettre en place le bois et la pierre. Gibelin succède au nom de reconnaissance de l’apprenti Phaleg, nom choisi par Vuillermoz en remplacement de Tulbacaïn utilisé dans le Rite français. Glorification du travail Leitmotiv des rituels de tous les rites du passage au deuxième degré qui reconnaît que c’est parce que l’apprenti a bien travaillé qu’il

d'être reine, elle avait commencé par être servante. (Movers, Das Phœnizische Alterthum, t. II, 1re partie, p. 261.) [181] Gen., XI, 10 : « Sem... genuit Arphaxad... 12. Arphaxad ... genuit... Sale... 14. Sale genuit Hebr... 16. Hebr genuit Phaleg... 18. Phaleg... genuit Reu ... 20. Reu genuit Sarug... 22. Sarug... genuit... Nachor... 24. Nachor... genuit Thare. » [182] Gen., XXIV, 6 : « Cave, ne quando, reducas filium meum illuc. » [183] Gen., XX, 12 : « Alia autem et vere soror mea est,

... Imprimerie royale, 1846, in-4°. (4-LK8-66 (9) 166. BOCHART Samuel , Geographia sacra, cujus pars prior, Phaleg, de dispersione gentium et terrarum divisione facta in aedificatione turris Babel, pars posterior, Chanaan, de Coloniis et sermone Phoenicio agit ..., Francofurti ad Moenum, impensis F. D. Zunneri, 1681, in-4°, XXXVIII, 864, 70 p. (1re éd., 1646). Geographia sacra, seu Phaleg et Canaan, ..., Lugduni Batavorum, 1707, in-fol. (Ge. DD-2371) 167. BOECE, De consolatione philosophiae ... ex