Peut On Avoir Raison De Croire

dogmes religieux. La religion demande d'avoir simplement la foi et de croire en une ou plusieurs divinités sans avoir de preuve concrète de leurs existences tandis que la connaissance scientifique se base sur des faits réels et des preuves concrètes. Les religions sont multiples et souvent totalement différentes les unes des autres, la seule chose qui rapproche tous les croyants du monde est bien la foi qu'ils peuvent avoir pour leur(s) Dieu(x). La science, elle, produit l'effet inverse car la

d’un Damoiseau, et y promettre en même temps de la correspondance [8] ! Morbleu je ne veux point laisser passer une occasion de la sorte. Il me faut de ce pas aller faire mes plaintes au père et à la mère, et les rendre témoins à telle fin que de raison, des sujets de chagrin et de ressentiment que leur fille me donne. Mais les voici l’un et l’autre fort à propos. CHARLOTTE. Oui, Mathurine, je veux que monsieur vous montre votre bec jaune. MATHURINE. Oui, Charlotte, je veux que monsieur vous

Bertrand Russell affirmait qu’il répondrait à Dieu s’il lui demandait pourquoi il n’avait pas cru en lui. Peut-on démontrer l’existence de Dieu ? Et qu’entend-on par « preuves »? Selon le Petit Larousse, une preuve est « ce qui démontre, établit la vérité de quelquechose ». Dieu ne se démontre pas L’épistémologie est la théorie du savoir, de la connaissance (du grec episteme, connaissance). On peut distinguer trois grandes objections épistémologiques à la démontrabilité de l’existence de Dieu. a) Le

cependant de définir la religion en tant que telle ? Pouvons nous caractériser la nature de la religion ? Ne peut-on pas dire notamment qu'elles ont toutes un point commun dans la mesure où elles reposent sur un sentiment (la croyance ou parfois la foi) et non pas sur la raison ? Mais, si tel est le cas, n'y a t'il pas cependant un moyen de concilier ou du moins de faire dialoguer la foi et la raison ? I. Nature de la religion A. La religion comme administration du sacré Mircéa ELIADE, Le sacré

coutume d'en désirer plus qu'ils en ont. En quoi il n'est pas vrai- semblable que tous se trompent; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger, et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons

soit averti que l’auteur n’y fait appel qu’à la raison. Cela est indispensable en un temps où la raison a presque autant que jamais des ennemis, qui sont dangereux, où elle a plus que jamais des faux amis, qui sont plus dangereux. On doit nommer ennemis de la raison les déments qui exercent leur démence contre la raison. Et on doit nommer les faux amis de la raison les déments qui veulent que la raison procède par les voies de la déraison. La raison ne procède pas par la voie de l’autorité. Comme

question «  La morale est-elle une affaire de sensibilité ou de raison ? ». Cette interrogation est en adéquation avec le premier thème, les expressions de la sensibilité. A partir de là, nous avons fait une analyse de la notion de pitié. Nous avons pour support un extrait du texte « Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes », de Rousseau. Ce texte s’appuie sur la sensibilité. Mais est-ce la sensibilité ou la raison qui fonde la morale ? On voit ici, un conflit entre ces

dialogue, Euthyphron n’arrête pas de faire référence aux dieux afin de donner une définition du pieu et de l’impie. Lors de sa première définition du pieu, il affirme que Zeus est le plus juste des dieux, et Socrate lui répond qu’il a de la difficulté à croire ces histoires sur les dieux. (PLATON, Euthyphron ,5e-6a).Les trois autres définitions , ce qui plait au dieux (PLATON, Euthyphron ,7a), ce qui plait a tous les dieux (PLATON, Euthyphron ,9e) et la partie de la justice qui traite du respect que les

nouveau y replonger tête baissée et les yeux fermés ne laissent que peu de place à l’alignement de ces pensées. Lorsque de plus s’enchaînent et se déchaînent d’autres ardeurs encore plus vitales, c’en est fini du temps laissé au travail de la raison qui peut apporter la sagesse nécessaire à la conduite d’une tel questionnement. Tout était autrement plus urgent et semblait plus important. A l’heure où toutes ces importances et ces urgences semblent s’être éloignées de moi, il reste un vide inquiétant

------------------------------------------------- La Raison et le réel La Philosophie : D’où viennent les connaissances ? → Les savoirs → dans l’expérience + transmission extérieure (livres, paroles, art, architecture) Culture = l’ensemble des connaissances Individu est le contenant des savoirs qu’il reçoit et les savoirs sont le contenu 2ème façon d’avoir des connaissances → rechercher L’individu n’est plus, alors, un simple réceptacle, il devient un moteur Différents savoirs →