Peut On Avoir Raison De Croire

A-t-on le droit de désobéir aux lois ? L’homme est le seul à avoir une société où des lois, des droits sont inculqués. En ce sens, on pourrait parler d’un animal politique. Il se distingue en effet des animaux par sa capacité à raisonner, à dialoguer et aussi par sa législation qui lui est propre. Mais alors si il obéit à ces ordres, à sa justice, ses principes qui sont censés être universels, peut-il aussi leurs désobéir ? A-t-il le droit d’aller à l’encontre de ses droits civils, de l’ordre

l’existence indépendante des autres êtres humains et encore moins de celle de l’esprit de ces êtres, puisque nous n’avons pas d’autres raisons de croire à leur esprit que celles tirées de l’observation de leur corps. Ainsi, si nous ne pouvons avoir de certitude quant à l’existence indépendante des objets, nous sommes comme abandonnés dans un désert, et il se peut alors que tout le monde extérieur ne soit que le produit de notre imagination, comme l’est un rêve, et que nous soyons seuls à exister

Moins de connaissance = moins libre (et inversement) ? - Pas de connaissance ➜ se laisser influencer par les idées des autres, adopter ces idées, ne pas avoir vraiment le choix (on ne se pose pas de questions, on prend la première chose qui vient). - Plus de connaissance ➜ penser par soi-même, argumenter ses idées, convaincre les autres, avoir un certain pouvoir sur eux, possibilité de penser pour les autres, place valorisée dans la société (cela ne fonctionne pas systématiquement). Dans quel

vers 275. C’est pourquoi le scepticisme ancien est souvent désigné par le vocable de «pyrrhonisme». Tout comme Socrate, Pyrrhon n’a rien écrit. Nous ne savons pas grand-chose de sa vie. D’après une source ancienne, Pyrrhon professait qu’il fallait ne croire en rien. On prétend qu’il poussait très loin cette idée : il se promenait à l’extrême bord des falaises ou devant des chiens enragés sans être troublé. Il s’est tout de même bien sorti de ses extravagances puisqu’il aurait vécu jusqu’à un âge avancé

personnages? (Personne) En quoi la notion de personne vous parait elle se distinguer de celle d'individu? (Personne) Philosophie La philosophie est-elle vraiment un effort de sagesse ? (Philosophie) La philosophie rend-elle heureux? (Philosophie) Peut-on cesser d'etre étonné ? (Etonnement) Que nul n'entre s'il n'est géomètre. A quoi bon philosopher? L'exercice de la philosophie contribue-t-elle a la démocratie ? (Philosophie) La philosophie est-elle nécessaire ? (Philosophie) texte de Husserl :"Quiconque

par rapport aux autres ? Après avoir montré l'impuissance de la croyance par rapport à des choses nous exploiterons le don désintéressé avec le pouvoir de la croyance en autrui. Il n'y a pas le même effet entre le monde matériel et les autres. I/ Selon l'analyse d'Alain, dans la première partie du texte, on voit la part de l'action de l'homme imputée par le don d'intérêt. L'être humain souhaite avoir ce qu'il veut en échange de ses prières. Cependant, on ne peut pas intervenir sur des phénomènes

la connaissance et l’autorité d’autrui, surtout si ce dernier est « considéré comme grand », peuvent servir de support à l’édifice de nos connaissances sans pour autant que nous nous rendions coupable d’aucun préjugé, c’est-à-dire que nous pouvons croire autrui et prendre pour vérité ce qu’il dit, ceci quelque soit la « matière ». Pourtant ce texte de Kant, extrait de son ouvrage intitulé Logique, fait une distinction entre l’expérience et le témoignage, et les connaissances rationnelles. Selon Kant

Rupture religieuse au XVIIeme : l'homme ne se fait plus la même idée de lui et du monde. Le sujet va devenir central, un certain anthropomorphisme va naitre : « l'homme peut devenir comme maitre et possesseur de la nature » Descartes. On passe d'un monde clos à un monde infini. Plus la science se developpe plus elle se divise en differentes branches Confiance en l'homme va être brisée vers la fin du XIXème siècle avec l'émergence de nouvelles sciences et le remaniement d'autres (psychologie, psychanalise)

Sujet : La pensée libre peut-elle résister à l’opinion dominante ? Je suis parfaitement libre, remarquait Descartes, d'adhérer ou non à une idée. Personne ne peut me forcer à croire ou non une chose, et d'ailleurs personne ne peut même savoir ce que je pense. On peut donc me forcer à agir (par exemple à adopter les signes extérieurs d'une religion qui n'est pas la mienne, ou à abjurer publiquement mon dieu), mais non à penser telle ou telle chose. Ce que dit Descartes paraît vraisemblable pourtant

causes physiques. La Liberté est dans un sens avoir la faculté de faire ce que l’on veut quand on le veut sans ce faire jugé ou empêché de le faire. C’est être autonome par rapport à nos choix et avoir le droit. Par exemple, un prisonnier qui sort de prison est dit « être libre ». Chez Descartes, comme l’être humain est une substance pensante, il est un être de raison. Cette raison fait en sorte qu’il peut avoir des jugements et une penser. Alors, la raison nous rend libres. Nous avons donc la possibilité