Peut On Avoir Peur De La Liberté

Le secret de l’isoloir – Alain Garrigou Dans le secret de l’isoloir, Alain Garrigou expose divers faits. Nous pouvons tout d’abord remarquer que l’isoloir est un moyen d’amnésie permettant d’assurer le secret et la liberté du vote ainsi qu’une certaine liberté d’opérations électorales en gardant le vote de chacun secret. Cependant, l’avis est très partagé entre les divers élus, cela s’explique car la façon de voter et donc d’être élu est changé par l’isoloir. Si le vote devient plus individuel en

L’auteur va alors présenter trois possibilités d’obéissances premièrement par habitude, deuxièmement l’ignorance et enfin la peur. L’obéissance devient donc une habitude, même une coutume et par la suite une zone de confort. Certaines personnes naissent dans cette obéissance, vivent dans un entourage qui n’a connu que l’obéissance et ne connaissent donc pas la liberté « la première raison pour laquelle les hommes servent volontairement, c’est qu’ils naissent serfs et qu’ils sont élevés comme tels

tyranniques, a la tête d’un état seraient heureux. Mais nous pouvons nous demander s’il y a vraiment des tyrans heureux. Tout d’abord ces tyrans sont des hommes qui s’emparent illégalement du pouvoir, le mépris des lois et règne par la force et la peur en ne recherchant que le bien personnel, leurs propres intérêts. La question est de savoir si ces hommes ont réellement atteint le bonheur. Le bonheur est d’abord au sens étymologique de la chance (vient de bonum auguium= bon augure) ca serait un

problème soulevé par certains professionnels de la philosophie, notamment au colloque national qui s’est tenu à Montpellier en mars 2003, est de savoir s’il s’agit bien de philosophie ou de simple débat réflexif. Certains pensent qu’il ne saurait y avoir de philosophie sans conceptualisation, chose impossible pour des enfants. Nous répondons à cette objection qu’il ne s’agit évidemment pas pour nous de faire des cours de philo à des élèves de primaire mais d’induire chez eux une démarche réflexive

▪ l'hygiène, ▪ avoir accès à la sexualité... III - Les besoins de sécurité Le sentiment de sécurité est propre à chacun. Il s'agira donc de savoir ce qui sécurise la personne. De plus, il faut être vigilant : satisfaisons-nous notre besoin de sécurité ou celui de la personne ? Ainsi, on peut insécuriser la personne involontairement, par exemple en mettant des barrières à un lit pour que la personne ne chute pas, cela peut lui donner le sentiment d'être prisonnier

La liberté et la raison comme valeurs proprement occidentales L’Occident est l’esprit, l’intelligence, la raison, l’esprit critique, l’inquiétude. L’intelligence en occident n’est pas une chose parmi les autres, elle est adorée comme prépondérante. Elle est première et dévore tout le reste. Au nom de la raison, on peut tout détruire, tout faire. L’occident c’est la liberté d’esprit. L’occident est né autour de la méditerranée, c’est l’endroit où il est le mieux de vivre, climat tempéré. Elle

temps semble obliger le lecteur à réagir aux événements qui se déroulent sous ses yeux ; le lecteur n’est donc plus un spectateur passif mais  il devient ainsi le témoin actif des scènes auxquelles il assiste. Dans ce recueil de J.M.G Le Clézio on peut aussi trouver du conditionnel pour évoquer les rêves d’une vie meilleure (O voleurs… p232) , (la grande vie… p161). On trouve aussi l’imparfait pour évoquer des tranches de vie des personnages avant le temps d’énonciation (le jeu d’Anne, la grande

roman montre des bouleversements parmi les esclaves de la réunion.L’histoire de ce roman tourne autour d’une esclave qui à la différence des autres esclaves décide de ne pas se soumettre à un sort misérable plutôt elle ose trouver des moyens pour avoir la liberté. Elle est une femme très brave et courageuse et tient une maison de recel. LE RAPPORT ENTRE UN MAITRE ET UNE ESCLAVE : En outre dans ce roman, à travers le rapport entre M.Villentroy et Adzire, l’écrivain a tenté de montré le rapport entre

conscience ( intersubjectivité, histoire, liberté, conscience ), d'autrui ( avec entre autres le paradoxe d'autrui qui " est un autre que moi mais a la fois un autre moi meme " ), le langage, le rapport nature-culture ( on a a DEVENIR soir meme ), la liberté, le bonheur, l'art ( avec le style ). - " suffit-il " -> condition nécessaire ET suffisante ? présupposé : je peux etre moi meme que si je suis en relation avec autrui. peut etre n'est on pas soi meme, peut etre doit on le devenir : présuppose

politique: « peut-on désobéir aux lois ? » 1 On peut d’abord partir d’une définition très générale du mot de « droit » : le droit c’est la latitude de liberté que vous laisse la loi à l’intérieur d’une société gouvernée par un Etat ; le droit limite nos libertés afin qu’elles ne se détruisent pas l’une l’autre (sous-entendu : la liberté sans limite mène au chaos ; homme = non naturellement sociable, etc.). Fonction : ordre social. Nécessité sociale. Le droit à travers la loi permet (cf. « avoir le droit