Peut Il Exister Une Croissance Sans épargne

CROISSANCE ET CYCLES Alexis Direr, maître de conférence à l'ENS contact: direr@ens.fr notes de cours, dernière mise à jour septembre 2003 INTRODUCTION GÉNÉRALE Trois caractéristiques de l'analyse macroéconomique Méthodologie : le calcul du PIB La décomposition cycle-croissance I CYCLES Définition des cycles Problématiques A/ LES THÉORIES A PRIX FIXES IS IS-LM L'accélérateur d'investissement Les équilibres à prix fixes Conclusion des théories à prix et salaires fixes B/ LES PROLONGEMENTS NEO-CLASSIQUES

publiques. I - Pourquoi la puissance publique intervient-elle dans la régulation des économies contemporaines ? A - Des équilibres macroéconomiques aux déséquilibres. 1- Qu’est-ce que l’équilibre emplois/ressources  2 – Les déséquilibres réels que peut masquer un équilibre comptable. B – Fonctions économiques de l'État (allocation, répartition, stabilisation) et l'évolution de ces fonctions. II - Comment le budget de l'État permet-il d’agir sur l’économie ? A – Présentation du budget : les notions

présentation de la monnaie et de la masse monétaire et ensuite le lien entre la masse monétaire et l’économie. I – Présentation de la monnaie et de la masse monétaire Tout d’abord il existe différentes formes de monnaie : - Monnaie matérielle : pièces et billets ; - Monnaie scripturale : crédits et épargnes (virtuel). La monnaie a également différentes fonctions : - Intermédiaire dans les échanges : grâce à la monnaie on achète des produits, on échange donc des produits contre de l’argent

économiques. Ces économies ne sont pas fermées, elle entretient des relations avec des agents qui ne sont pas nationaux, on les appelle le RDM (reste du monde). On va mesurer ces relations avec l’étude flux extérieur et intérieur des agents nationaux. On peut aussi avoir des mouvements de capitaux (par exemple l’entreprise Toyota). La représentation des différents acteurs dans le fonctionnement de l’économie nationale L’activité de production repose au départ sur l’activité de biens et services marchand

La forme de la courbe IS signifie la pente de la courbe IS donc l’autre partie : celle qui dépend du taux d’intérêt. Voir feuille R = F(y) Y = F(R) Voir feuille Il y a deux parties qui composent IS : la consommation et l’investissement, il peut y avoir selon les cas des variations de l’un ou de l’autre qui peuvent donner des résultats non attendus. La partie variable et la partie autonomie peuvent varier dans des sens inverses. Les coefficients directeurs : taux marginal d’investissement

puissent être mises à la disposition des besoins de financement. Il est donc important d'étudier comment les agents économiques qui ont de l'argent le transmettent à ceux qui en ont besoin, et comment tout cela crée de l'activité économique. La rencontre peut se faire indirectement, par le biais d’établissements de crédit dont c’est la fonction principale, ou directement sur des marchés de capitaux. Sommaire Introduction 1 I. Capacité et besoin de financement des agents économiques 2 II. Le Financement

théorie de la croissance. Pas de réponse unique dans la théorie éco. Ex : théorie du chômage : Néoclassique (rigidité des salaires, w trop élevés,…) Keynésiens (insuffisance de la demande effective) Théorie traditionnelle : Théorie de la croissance exogène de Robert Solow. (En 1956) Cette théorie ne commence pas avec lui (Ricardo,…) =Réponse à une théorie d’inspiration Keynésienne inférieure : théorie d’HARROD-DOMAR (années 30-40). Le modèle de Solow va être le modèle de croissance pendant une

organisation du travail et croissance économique : CHAPITRE I : CROISSANCE, DEVELOPPEMENT ET CHANGEMENT SOCIAL I) De la croissance au développement : A) Développement mesure de la Xce 1) Définition : La croissance économique, au sens strict, c’est l’augmentation soutenue et durable de la production globale (PIB) d’une nation. Le PIB doit être mesuré en terme réel (en volume/ € comptants). Pour François Perroux, au sens large, la croissance économique est la croissance du PIB au sens strict

à 102 en 2002. Quels seront la valeur de production, en Franc CFA de 2001 (franc constant), pour l'année 2002 et le taux de croissance de la production réelle de 2001 à 2002? Il suffit de diviser la valeur monétaire de la production par l'indice des prix pour obtenir une valeur «déflatée» en franc constant de l'année 2001. On en conclura qu'en l'an 2002, la croissance économique réelle est de 8 % et qu'elle est accompagnée d'une inflation annuelle de 2 %. Valeur monétaire de la production

en période de ralentissement de l’activité. En effet, cette baisse devrait permettre une reprise de la consommation, de l’investissement (et ainsi la mise en jeu du multiplicateur d’investissement), source de compétitivité des entreprises et de croissance. 2. Il faut d’abord préciser ce que l’on entend par « baisse des taux d’intérêt » : il s’agit de faire la distinction entre taux d’intérêt nominal et taux d’intérêt réel, taux fixes/taux variables, taux courts/taux longs, taux créditeurs/taux