Peur De La Mort

Jean Anouilh est un écrivain Français né à Bordeaux le 23 juin 1910 et mort le 3 octobre 1987 à Lausanne ( Suisse). Il écrit des oeuvres théâtrales commencées en 1932 : des comédies, ainsi que des oeuvres tragiques inspirées par la mythologie grecque, comme, Eurydice (1941), Antigone (1944) pièce de Sophocle réécrite, Médée (1946). Sophocle est un des plus grands écrivains grecs, Il est né en 495 av. J-C à Colone et mort en 406 av. J-C. Il a écrit 122 pièces mais juste 7 ont survécu, dont Antigone

La peine de mort, un grand débat. Il aura fallut plus de deux siècles de questions, de débats houleux et d'executions sanglantes pour que cesse, le 9 octobre 1981, la peine capitale en France. La France, l'une des première nation à abolir l'esclavage, l'une des première à abolir la torture, est l'une des dernières si ce n'est la dernière, à avoir révoquer la condanation supremme au sein de l'Europe: la peine de mort. PARTIE 1) L'histoire de France et la peine de mort Le but de l'Histoire

Le Thème : la mort Introduction : L’un des thèmes importants de Bel-Ami est la mort. Dans ce roman la mort est représentée physiquement et moralement (psychologiquement) La mort est systématiquement opposée à la vie. Le reflet de la mort est plus horrible que la mort en elle-même chez Maupassant, car c’est une vision subjective et pessimiste. Nous pouvons observer cette vision pessimiste de la mort et de la vieillesse ainsi que de la peur liée à ce phénomène à travers les personnages de Nobert de

celui de son journal en se battant en duel c’est donc un héro confronté à la mort que Maupassant nous décrit et nous découvrons un George Duroy aux angoisse duquel nous nous identifions, le texte se présentant comme un récit dramatique traversé par la peur et aboutissant aux délire. Nous étudierons donc I) un récit dramatique II) de la raison à la folie NB : renvoi implicitement au chp 6 a l’annonce de la mort proche de Norbert De Varenne et l’agonie de forestier.

recueil postume publié bien après la mort de l’auteur .Il a été écrit lorsque l’auteur s’apprêtait à retourner au front (comme lieutenant d’artillerie) et à quitter sa bien aimée Louise de coligny. Le poème est constitué de 5 quintiles ( 5 vers)en alexandrins ( 12 syllabes) .La versification est assez libre : elle apparait croisée/alternée (abab) embrassé ( abba) ou bien plate ( aabb) de plus le poème n’est pas ponctué . L’auteur exprime sa peur d’être tué, sa peur d’être oublié et son amour pour cette

concrets : la science. Alors doit-on avoir peur ; appréhender, craindre ou angoisser, de quelque chose, qui est ici la science, de concret. C'est comme si l'on devait avoir peur de la vie en elle-même. D'où la problématique : « Devons-nous avoir peur de la science ? » Pour répondre à cette problématique, nous verrons tout d'abord que l'on ne doit pas en avoir peur. Mais on peut en avoir peur c'est pour cela que nous montrerons ensuite que nous devons en avoir peur. La science, médecine, l'astrologie

il y à un bonhomme et on dirait qu’il se sent mal. Il se tient contre la barrière d’un pont. La personne n’a pas de cheveux, son visage est abstrait et le teint est vert, on dirait une tête de mort. On dirait un fantôme ou un zombie il est habillé tout en noir et on dirait qu’il flotte ou qu’il est déjà mort. Peut être que c’est par ce qu’il va mourir qu’il cri. On dirait aussi qu’il y à un bruit horrible alors que c’est pour ça qu’il se bouche les oreilles. Soit c’est le bruit de son cri qu’il lui

l'imminence de leur mort. Ils ont en commun d'être des hommes de pouvoir face à cet ultime adversaire contre lequel leur pouvoir est impuissant : la mort. Ils le sont toutefois de manière différente : Caligula sait qu'il va être assassiné par les patriciens qu'il a poussés à bout par son règne fou et sanguinaire, le roi Béranger et Alexandre sont vieux et malades et donc condamnés à disparaître. Face à cette échéance, ils traduisent leur désespoir en exprimant leurs émotions : la peur pour Caligula et

ETUDE DE LA SECENE 7 DE L'ACTE IV - L'Illusion Comique - Corneille Situation de la scène dans l’action : Adraste est mort, Clindor est en prison. Il se rend compte qu’il s’est servi de son amour pour se hisser à un destin qui n’était pas le sien. Clindor se parle à lui même en trois parties : -il parle d’Isabelle ou s’y adresse -il voit sa propre mort -il parle d’Isabelle ou s’y adresse Première partie : Il pense à son amour et y trouve un certain bonheur

et un essayiste mais surtout un écrivain du XXème siècle. Il est né en Algérie et est mort en France. Il a écrit de nombreux romans, dont Caligula, qui fut publié en 1944. Dans cette scène de dénouement, Caligula fait, seul devant son miroir, le bilan de sa vie. Il regrette de n’avoir jamais pu atteindre l’impossible et exprime pour la première fois ses sentiments. Il sait qu’il va mourir et avoue sa peur et sa souffrance. Nous verrons de quelle manière Caligula reconnaît sa profonde