Petite Merveille

création d’un esthétisme propre touchant à toutes les formes d’art. En effet, un cinéaste inspiré par le conte pourra de manière plus prononcée exploiter la création de décors, de costumes liée à l’univers du conte. Tim Burton dans Alice aux pays des Merveilles cherche à développer l’univers féerique propre au conte. Si ce cinéaste a choisi d’adapter ce conte c’est que celui-ci était en total cohérence avec l’esthétique onirique de l’œuvre originel. On voit notamment dotant plus que le conte reste

lumineuses dont l’appartement du héros en est le symbole. Vian y décrit abondamment les effets féériques des jeux du soleil : « Les souris de la cuisine aimaient danser au son des chocs des rayons de soleil sur les robinets, et couraient après les petites boules que formaient les rayons en achevant de se pulvériser sur le sol, comme des jets de mercure jaune. » C'est encore Colin qui alimente son briquet avec des gouttelettes de soleil. L’écrivain imagine aussi des pièces qui s’arrondissent au

si l'on ouvre la fameuse boîte de Pandore. Par exemple, un jeune anglais âgé de 37 ans serai mort mystérieusement à cause de la boîte de Pandore. Il aurait ouvert une boîte avec écrits en rouge « boîte de Pandore ». Dans cette boîte il y avait un petit paquet de canabis non utilisé, et son autopsie ne révèle pas de traces de drogues dans son corps, de ce fait la mort reste toujours inconnue car son cœur a cesser de battre sans en connaître les raisons. III- L'évolution de l'ambiguïté jusqu'à aujourd'hui

économiquement. En effet, alors que depuis le lancement du premier classique d'animation en 1937, seule des personnages de type « caucasien », c'est à dire à la peau blanche, étaient mis en scène : Blanche-Neige, Cendrillon, Alice aux pays des merveilles, Robin des bois, La petite sirène, etc. Et c'est alors en 1992 que la Walt Disney Company décide de diversifier l'origine de ses héros, avec tout d'abord Aladdin qui sera le fer de lance d'une nouvelle génération de films d'animations qui vont beaucoup s'inspirer

9. Cite les titres de deux livres que « traversent » Guillaume et ses amis. Guillaume « traverse » plusieurs livres : Alice au pays des merveilles, de Lewis Carroll (1865) : chap. 9, p. 84-102 ; chap. 17, p. 162) ; Poil de Carotte, de Jules Renard (1894) : chap. 12, p. 108-116 ; les Misérables de Victor Hugo (1864) : chap. 15, p. 131-147 ; Le Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry (1943) : chap. 16, p. 150-158. Il rencontre aussi Arthur Rimbaud (chap. 13, p. 119-123), poète auteur des

dame au chapeau» par ses lecteurs. Elle a gagnée plusieurs prix, notamment le Grand Prix du roman de l’Académie Française en 1999, le prix de Flore en 2007et le Grand Prix Jean Giono en 2008. Le résumé du livre C’est en février 1970, dans une petite ville de Kobe au Japon, après avoir été durant 2 ans et demi, qualifié de «tube» , de «plante» et de «légume» par ses parents, que naquit la narratrice grâce à un élément plutôt simple : le chocolat que sa grand mère paternelle lui a apporté en Belgique

problème est bien illustré dans le dictionnaire : Ce mot nous vient du latin labyrinthus et du grec laburinthos Le Petit Larousse (2003) : 1. Édifice légendaire, attribué à Dédale, dont la complexité du plan rendait l'issue introuvable 2. ARCHITECTURE : Composition en méandres, de plan centré, du pavement de certaines grandes églises du Moyen Âge, que les fidèles suivaient à genoux. 3. Petit bois ou plantation de haies aux allées entrelacées de telle sorte qu'on s'y égare, qu'on s'y perde facilement

Cite les titres de deux livres que « traversent » Guillaume et ses amis. Guillaume « traverse » plusieurs livres : - Alice au pays des merveilles, de Lewis Carroll (1865) : chap. 9, p. 84-102 ; chap. 17, p. 162) ; - Poil de Carotte, de Jules Renard (1894) : chap. 12, p. 108-116 ; - les Misérables de Victor Hugo (1864) : chap. 15, p. 131-147 ; - Le Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry (1943) : chap. 16, p. 150-158. Il rencontre aussi Arthur Rimbaud (chap. 13, p. 119-123), poète auteur des

Pages 8-14 A) Le personnage d’Alice Pages 8-9 B) Les adjuvants et opposants d’Alice Pages 9-12 C) Le pays des merveilles Pages 12-14 III- Le mythe d’Alice Pages 14-17 A) Les adaptations Pages 14-15 B) Alice Liddell : une jeune centenaire Pages 16-17 Conclusion Page 18 Sources Page 19 Annexes Pages 20-22 Introduction I l était une fois…Alice au pays des merveilles. Cette œuvre de littérature enfantine a été écrite par Lewis Carroll et publiée en 1865. On la considère comme

après avoir entendu parler du fameux tablier hottentot : cette déformation volontaire du sexe féminin était pratiquée sur les jeunes filles dès les premières règles. On pratiquait deux incisions de chaque côté des petites lèvres de la vulve pour les étirer vers le bas et y insérer un petit caillou : en mettant des cailloux de plus en plus lourds, un long processus d’étirement s’accomplissait jusqu’à ce que le sexe ait la forme requise (parfois plus de 10 cm de long) : ces deux membranes hyper-développées