Peste pneumonique

Bibliographie : Révolte dans les Asturies (théâtre, 1936), L'Envers et l'Endroit (essai, 1937), Noces (essai, 1939), La Mort heureuse (roman, 1936-1939), L'Étranger (roman, 1942), Le Mythe de Sisyphe (essai, 1942), Caligula (théâtre, 1944), La Peste (roman, 1947), Les justes (théâtre 1950), L'Homme révolté (essai, 1951), Carnets (1935-1959), Les Esprits (théâtre, 1953), La Dévotion à la Croix (théâtre, 1953), L'Eté (essai, 1954), La Chute (roman, 1956) - Requiem pour une nonne (théâtre, 1956)

Camus pensait intituler cette oeuvre Les Séparés, avec l'idée que la peste séparait les citadins d'Oran du reste de l'humanité (ils sont en quarantaine), et donc de leur famille, de leurs fiancé(e)s (le cas du docteur Rieux) etc. Or, ici, c'est bien une scène de réconciliation qui est en jeu : l'esprit et le corps des deux hommes, par le contact avec l'eau, avec la nature, se fondent l'un en l'autre, et provoquent cette jouissance profonde. C'est bien la fin (momentanée) du divorce entre l'homme

conséquences de ses actes, * épuiser les joies sur terre. ( Mythe de sisyphe (1942) , l'étranger (1942), Caligula et le malentendu (1944) l'humanisme et la révolte: La nature humaine (l'humanisme): * le sens à l'action, * les limites de l'action ( La peste (1947), l'état de siègle (1948), Les justes (1949), l'homme révolté (1951). Exemple de ip: Ip1: Les idées: Is1: meurtre: tuer des enfants : citation: On ne m'avais pas demandé d'assasiner des enfants. (p.57) Explication: Enfants= innocence IS2:

philosophie de l'absurde. Définie dans Le Mythe de Sisyphe, essai sur l'absurde (1942), reprise dans L'Etranger (1942), puis au théâtre dans Caligula et Le Malentendu (1944), elle se retrouve à travers une évolution sensible de sa pensée, jusque dans La Peste (1947). Il importe, pour lever toute équivoque, d'étudier cette philosophie dans Le Mythe de Sisyphe et de préciser la signification de termes comme l'absurde, l'homme absurde, la révolte, la liberté, la passion qui, sous la plume de Camus, ont une

Texte bac 2 : La Peste : Albert Camus, 1947 : Intro : Camus, dans ce roman raconte comment les hommes ont réagis à une épidémie de peste qui c’est déroulé à Oran. C’est le médecin Rieux qui fait face à cette épidémie et c’est à travers lui qu’in va découvrir les différents comportements humains vis-à-vis de ce fléau. Le témoignage de Rieux s’achève quand la peste aura disparu. Lecture Le roman se finit par une note joyeuse. Même si sa se termine bien, il faudra toujours se battre. Camus pose

La Peste, Albert Camus   Intro :   Le narrateur se propose de relater le plus simplement possible : en chroniqueur, en témoin, mais également s’il le peut en historien ; les curieux et graves événements qui viennent de vivre avec lui tous ces concitoyens. Le rôle qu’il se trouve y avoir tenu lui permettre de dire avec exactitude : « voilà, ceci est arrivé » ; mais lui-même entend pour le moment rester anonyme, ne pas révéler ce que, personnellement, il pourrait avoir à dire.   

Exposé sur un personnage de « La Peste » d’Albert Camus : Tarrou 1) Présentation du personnage : Jean Tarrou est un homme encore jeune, de silhouette lourde et d'un visage massif et creux. Il a des yeux calmes et gris barrés d'épais sourcils. Il est fumeur, il fréquente les danseurs espagnols d'Oran. Bien qu'il n'y habite que depuis quelques semaines il est bien connu parmi les Oranais. Ceux-ci le décrivent comme bonhomme, toujours souriant, comme "ami de tous les plaisirs normaux sans en

lie d'amitié. Il devient ensuite rédacteur en chef du journal Combat à la Libération. C'est dans ce journal que paraît un éditorial écrit par Camus, et resté célèbre, dans lequel il dénonce l'utilisation de la bombe atomique par les Etats-Unis. La Peste est publié en 1947 et connaît un très grand succès. Son œuvre - articulée autour des thèmes de l'absurde et de la révolte - est indissociable de ses prises de position publiques concernant le franquisme, le communisme, le drame algérien... Passionné

2°guerre mondiale, se rend en france pour se battre mais refusé car tuberculose. Mais s'engage quand même en devenant rédacteur en chef d'un journal "Le combat". -Après la guerre, à déjà publié plusieurs oeuvres importantes: des romans(L'étranger, La peste, La chute), du théâtre(Caligula, Le malentendu), des nouvelles(L'hôte) et des essais(Le mythe de Sysiphe, L'homme révolté). -devient très vite une figure impotante de l'élite littéraire parisienne et se lie d'amitié avec Jean-Paul Sartre-> vont se

caricature sinistre. Les enfants jouent à la guerre sur leur ordinateur et l’humanité est assourdie par le lessivage constant de la propagande. La vingt-cinquième heure sonne et on réclame un Messie qu’on ne voit point venir. Les chrétiens de La Peste moderne chancellent devant l’apostasie planétaire. Ils n’ont pas d’autre réponse à présenter à Camus et aux nouveaux qui sillonnent nos cités qu’un Dieu fait homme, pendu sur une croix. Est-ce la réponse et si oui, comment la faire accepter à une humanité