Personnages Dans Le Traité Sur La Tolérance

« Coupable ou innocent ? » Documents A – Clément Marot, Épître au Roy, 1527. B – Voltaire, Traité sur la tolérance, chapitre I, 1763. C – Albert Camus, L’Étranger, 2e partie, chapitre IV, 1942. m Comment s’exprime la présence du narrateur dans chaque texte et quel rôle joue-t-elle dans la satire de la justice ? Document A Encore une fois emprisonné pour avoir tenté de délivrer un prisonnier, Marot, poète de la cour, s’adresse au roi François Ier, son protecteur, afin d’obtenir sa

pertinente et soutenu par des figures de rhétorique : oppositions, parallélismes de structure et métaphores dignes des plus grands orateurs. «  La défaite de la pensée » FINKIELKRAUT 1989 A la fin du XXème siècle, la question de la tolérance se pose encore main Alain Finkielkraut apporte sur cette dernière, dans ce passage de son essai sur la défaite de la pensée, édité en 1989, un éclairage très nouveau. Selon le philosophe, s’il est nécessaire de savoir prendre du recul par rapport

auquel ils appartiennent. Quelle force spécifique possède chacun des deux genres ? 1. Dans les trois textes, il est question de critiquer le système politique français du XVIIIe siècle. Dans l’article « Autorité » de l’Encyclopédie , Diderot traite de la question politique. Il dénonce l’abus de pouvoir de l’Etat et des politiques les plus haut placés, et leurs oppressions. L’article conteste et interroge sur la notion d’autorité. En critiquant le pouvoir politique et ses abus, il joue sur l’ambiguïté

genre humain en dénonçant la superstition, le fanatisme ou la tyrannie, en opposition avec la liberté et le bonheur. Tout dabord, nous pouvons rappeler Montesquieu avec Lettres persannes qui critique indirectement la vie en France à l'aide de personnages fictifs (Rica, Ibben, Usbeck,...). Dans la lettre XXIV, il parle de l'influence du roi (Louis XIV) et du pape sur les français. En effet, le roi et le pape sont qualifiés de « magiciens » car ils endoctrinent, trompent le peuple. De plus, il dresse

formes d’argumentation qui permettent d’affirmer son idée : l’argumentation directe et indirecte. Dans l’argumentation directe, la thèse est clairement exprimée tandis que dans l’argumentation indirecte l’auteur exprime ses idées par le biais de personnages. C’est pour cela que nous nous posons une question : l’argumentation directe est-elle plus efficace que l’argumentation directe ? Nous répondrons à cette question en deux parties tout d’abord les avantages de l’argumentation directe puis ceux de

grands auteurs dans tous les genres.  Théâtre : Corneille/ Le cid, Molière/Les précieuses ridicules, Don Juan, Le bourgeois gentilhomme, Tartuffe. Jean de Racine/Phèdre, Britannicus.  Fable : Jean de la Fontaine se moque de la société et des personnages de la cour par l’intermédiaire de ses célèbres fables.  Portrait et maxime : Les caractères/Jean de la Bruyère.  Roman : la princesse de Clèves/Madame de Lafayette.  Lettre : les correspondance de Madame de Sévigné avec sa fille.  Essai

va-et-vient, sur un aller-retour entre la fiction et les événements. La littérature d'idées n'est pas une littérature formelle, abstraite, où tout se jouerait dans le style abscons, dans un galimatias ébouriffé. Même les récits romanesques bourrés de personnages et d'intrigues peuvent servir d'écrin à une réflexion, vulgariser une doctrine, sans verser dans le didactisme érudit ou pédant. La littérature nous aide à comprendre le monde, parce qu'elle est avant tout une production de l'esprit.... [deuxième

d'aventures fictives, mettant en scène des personnages présentés comme vrais, évoluant dans une époque, un lieu, un milieu, donnés comme réveils. Donc premier problème : le rapport au réel Dans un roman, tout est fictif mais donné pour réel : tout roman est un leurre. Comparé à des traités d'histoire, de sociologie, de philosophie, de sciences, qui, eux étudient la réalité, la vraie, il ne fait pas de sérieux, il fait "amusette"parce qu'il nous ment. Les personnages sont des "êtres de papier", ils n'existent

➢ Quelques notions importantes -Rappel : Tout d’abord il faut se rendre compte qu au 17-18.siècle il n’était pas permis de critiquer ni les personnages ni la société. Si on publiait une œuvre jugé comme une critique ou une attaque elle était censurée. Un auteur ne pouvait donc pas publier n’importe quoi, il devait être attentif au jugement du roi Louis XV. -Huron : iroquois, ou indien du Nord ayant ni religion ni culture. Les anglais avaient évangélisés la plus part des habitants de leurs colonies

justice, - la liberté (anti-esclavage), - l’égalité et la fraternité, - la tolérance, - la séparation des pouvoirs, - les droits de l’Homme, - la dignité, - la confiance dans la raison humaine, - l’optimisme et le progrès scientifique. 6. - Le libertinage est une indépendance de son esprit. C’est la fait de vivre selon ses propres plaisirs comme par exemple dans la pièce comique de Molière, Dom Juan ou le personnage principale, qui porte le même nom que cette pièce, est la représentation