Personnages Dans Le Horla

Écrire une nouvelle fantastique Première étape : choisir un personnage, un thème fantastique Un récit fantastique est un récit où l’auteur présente sans y croire des êtres et des événements effrayants et réellement impossibles. Le récit fantastique se caractérise par l’irruption brutale et menaçante du surnaturel dans un monde qui ressemble au nôtre. Le phénomène y devient une agression interdite, menaçante, qui brise la stabilité d’un monde dont les lois étaient jusque-là cohérentes, rigoureusement

marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles, (parfois intitulées contes), comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par lepessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite

par l’éclairage, créant ainsi des contrastes marqués (effet de clair-obscur). Cette lumière n'a pas pour but de valoriser le personnage, au contraire elle accentue la crispation de ses mains dans les cheveux.  L’impression dominante est celle d’un enfermement. La composition participe aussi de ce sentiment : Elle encadre comme un médaillon le visage du personnage. Au cinéma, ce procédé de cadre (le médaillon) dans le cadre (le tableau) est appelé « surcadrage » ; le plus souvent, il isole

l'appropriation du lieu dont le narrateur est le maître. Des le premier paragraphe les racines du personnages sont évoqués, impliquant une appartenance de longue date. Des le début du récit, l'attachement au sol, à la nourriture, comme à un pays maternel dont il a été nourris. 2- La Quiétude : La première phrase de la nouvelle est un exclamation de bien-être. On peut noter que le personnage est en positon de détente " allonger sur l'herbe" et dans la même phrase, l'emploi des verbes "couvrir"

Le Horla – Explication de texte Le narrateur est malade depuis quelques jours et son état ne va pas mieux, puisqu’il utilise l’hyperbole « Mon état s’est encore aggravé ». Le mot « encore » insinue la persistance de de la maladie du personnage. Le questionnement est utilisé alors qu’il se demande ce qu’il a : « Qu’ai-je donc? ». Il y a un redoublement de l’expression « n’y fait/font rien », où l’emphase est mise sur les méthodes utilisées (soit le bromure et les douches) pour aider le narrateur

jusqu’à leur divorce à l‘amiable, il a 12 ans. * Mort de son frère Hervé le 13 novembre 1889 * Personnages ou événements ayant marqué sa vie : * La guerre Franco-prussienne qui servira de décor à son livre Boule-de-Suif * La mort subite de Gustave Flaubert fut pour lui un choc terrible (on constate d’ailleurs que Le Horla commence un 8 mai date à laquelle Faubert décède (en 1880) 2. Son œuvre. * Roman : Une vie en 1883

années 1830, le genre fantastique, que l'on peut qualifier de ''romantisme noir'', prend son essor en France avec plusieurs œuvres littéraires connues dont ''le Diable amoureux'' deJacques Cazotte,''La fée aux miettes'' de Nosier et plus tard, ''Le Horla'' du célèbre Guy de Maupassant.Entre temps en 1835, alors qu'il avait 34 ans, Prosper Mérimée écrit ''la Vénus d'Ille'', unenouvelle fantastique inspirée d'une légende médiévale, de ses souvenirs de tournées archéologiques dans le Roussillon et d'un

genre littéraire fantastique est né à la fin du XVIIIe siècle, se basant sur l’arrivée (souvent brutale) de phénomènes « surnaturels » dans la vie réelle comme l’angoisse ou l’effroi dû aux phénomènes inexplicables en frappant l’imagination des personnages et aussi du lecteur. Il est généralement lié aux états de conscience qui, dans les phénomènes de cauchemar ou de délire, projettent devant elle des images d’angoisse ou de terreur. Le fantastique est fondé essentiellement sur une hésitation du

DM Lecture Cursive - Le Horla (première version) - Guy de Maupassant I) Structure et cadre du récit : 1) La première partie du texte est prise en charge par un narrateur inconnu, extérieur à l’histoire. Cette partie se situe de la ligne 1 ( «  Le docteur Marrande… ») à la ligne 15 (« il dit : »). Puis, la deuxième partie du texte, à partir de la ligne 15, jusqu’à la ligne 355 (« Je n’ai plus rien à ajouter, messieurs. »), le narrateur cède la place au patient du docteur Marrande. Enfin

et journaliste littéraire français du XIXème siècle qui a été très connu dans le domaine de la littérature française notamment avec son roman réaliste, Bel-Ami publié en 1885 ou bien son roman fantastique, Le Horla paru en 1887. Il est née le 5 juin 1850 et décédé le 6 juillet 1893. → Place de l’oeuvre dans un ensemble plus vaste : Le roman paraît d'abord sous forme de feuilleton dans le quotidien