Personnages Antipathiques Dans Le Roman

à la place qu'il aurait dû occuper, à côté de la scie. Il l'aperçut à cinq ou six pieds plus haut, à cheval sur l'une des pièces de la toiture. Au lieu de surveiller attentivement l'action de tout le mécanisme, Julien lisait. Rien n'était plus antipathique au vieux Sorel; il eût peut-être pardonné à Julien sa taille mince, peu propre aux travaux de force, et si différente de celle de ses aînés; mais cette manie de lecture lui était odieuse, il ne savait pas lire lui-même. Ce fut en vain qu'il

Et la mère ? Mérite-t-elle ce dénouement ?... D'une certaine manière je dirai oui, si elle en tire les conséquences et si elle retrouve ses dignes priorités. Mais je doute ! Cette femme, très antipathique, n'est ni mère ni épouse. En une centaine de pages, l'auteur a su créer une atmosphère, des personnages, une intrigue et une conclusion, dans une cadence fluide, très active et sans répit pour le lecteur. Un livre que je recommanderai. Irène Némirovky fait partie de ces "phénomènes de librairie"

Séquence 2 : Meursault, l’Étranger à lui même Séance 1 : Un narrateur surprenant Livre p.9-12 « faire deux heures de routes » Question générale : En quoi ce début de roman est-il déstabilisant ? (Dans cet incipit de roman, nous faisons la connaissance de Meursault. Le point de vue utilisé dans ce passage de texte est un point de vue interne, nous voyons tout de l’œil et de la pensée de Meursault. Ainsi, nous apprenons sa réaction lors du décès de sa mère qu'il ne croit pas immédiatement

structure, qui va des fondations jusqu’au toit, avant de savoir exactement ce qui allait y être entreposé… une forme suffisamment solide pour pouvoir contenir d’autres formes en elle. (31) Selon lui, la structure de base de tout drame est : personnage – objectifs – obstacles 1. Conflits et émotions Tout drame recèle un conflit soit par rapport aux protagonistes soit par rapport aux spectateurs. Dans tous les cas, il faut que le spectateur (ou le lecteur 1) soit informé et comprenne la source

1°) Qui raconte cette histoire, et que sait-on sur ce narrateur ? Est-ce le seul narrateur dans le roman ? ● Le narrateur (Nr) = jeune homme de 17 ans au début ; on ne sait pas son nom. Il joue TB du violon. Est issu d'un milieu social aisé, favorisé : ses parents st médecins spécialistes : père = pneumologue ; mère = spécialiste des maladies parasitaires. Ce st "de puantes autorités savantes" pr le régime (p 16). On leur reproche leur culture et leur savoir… Leur fils, "intellectuel"

Microsoft Word - Document1.docxTEXTE BAC 8 – PAMPHILE INTRODUCTION Jean de la Bruyère est un moraliste français du 17eme siècle. Il appartient au mouvement littéraire du classicisme. La bruyère est célèbre pour une œuvre unique intitulée « Les caractères » publié en 1689. Les caractères sont des textes brefs sur la cour. La bruyère y dénonce l’hypocrisie des personnes qui gravitent autour du roi. Ce caractère est la remarque 50. Son parcours associé est la comédie sociale. LECTURE EXPRESSIVE

BEL-AMI GENRE DE L’OUVRAGE : Roman décrivant les mœurs de la société parisienne de la fin du XIXème siècle. VIE DE L’AUTEUR : Guy de Maupassant (1850-1893), écrivain français, auteur de romans et de nouvelles situés entre réalisme et fantastique, où il met en scène la méchanceté et l’horreur ordinaires. Né le 5 août 1850 à Fécamp, et non au château de Miromesnil, comme sa mère voulut le laisser croire par snobisme, Guy de Maupassant développa précocement une sensibilité particulière

éphémérité de la représentation (interprétation, mise en scène, décors,…) • Double énonciation du dialogue théâtral ; les propos s’adressent à la fois aux personnages et au public. • Le théâtre se veut un art proche de la vie, de la réalité ; on remarque une exigence de naturel dans la représentation des personnages et des informations, malgré l’utilisation de procédés artificiels (importance de la connivence du public) tels que l’aparté ou le monologue. II ] Le théâtre au XVIIème

maternelle ont fréquenté assidûment les albums. A travers cette fréquentation, ils ont développé l’envie et le goût de prendre un livre pour le feuilleter, le regarder et se remémorer l’histoire lue par un adulte. Ils ont aussi appris à identifier les personnages, à les caractériser, à reconstituer la chronologie de l’histoire, à interroger les images pour répondre à une question. Cette fréquentation les a aussi familiarisés avec la langue et la culture de l’écrit. Pourtant, trop souvent, l’entrée à la «

particulièrement dans l’une de ses œuvres majeures : le Comte de Monte-Cristo. En effet, le parcours d’Edmond Dantès, accusé à tort de bonapartisme, évadé du château d’If et de retour en héros vengeur, est profondément ancré dans l’univers oriental. Le personnage de Monte-Cristo sous lequel il réapparaît semble tout droit sorti d’un conte des Mille et une Nuits, auxquelles il emprunte d’ailleurs le nom de Sindbad, et s’insère dans un décor qui n’a rien à envier aux palais des sultans orientaux. L’auteur