Personnage Symbole

L’espace scénique * Le décor lui-même peut tenter de reproduire un lieu de pouvoir directement reconnaissable par les spectateurs * Ruy Blas : la didascalie du début de l’acte III décrit la salle du gouvernement avec sa richesse et ses symboles du pouvoir > les armes de l’Espagne, le dais, le fauteuil où siège le roi. * L’espace scénique est bien souvent hiérarchisé = opposition entre des positions dominantes et des positions dominées > passe essentiellement par la dialectique

statue sont deux figures à la fois complémentaires et opposées du surnaturel. B) Le spectre: D’abord sous la forme d’une « femme voilée », lançant un ultime avertissement à Dom Juan (scène 5, premières lignes), elle peut représenter Elvire, symbole de toutes les femmes bafouées par le libertin, puisque Dom Juan dit « je crois reconnaître cette voix ».  Puis allégorie de la mort et du temps, avec « sa faux à la main », qui s’envole littéralement. Forme indéterminée, « spectre, fantôme ou diable

Pécuchet, Première partie, chapitre I, 1869 La rencontre de deux personnages contrastés mais complémentaires est typique des récits picaresques. De nombreux ouvrages reprennent ce thème, à l'instar de Flaubert qui le développe dans son roman inachevé, Bouvard et Pécuchet paru en 1881. Dans un extrait, au milieu de Paris, alors que le soleil est omniprésent et les rues désertes, le lecteur assiste à la rencontre de deux personnages antagonistes qui se trouvent des points communs. Quel rôle a cet incipit 

qu'elle veut voir. Ier axe : Une scène naturaliste Atmosphère populaire  Peinture d'une scène de cabaret et rencontre entre une blanchisseuse (Gervaise) et un zingueur (Coupeau)  Portrait d'un ivrogne et de ses camarades de beuverie : le personnage surnommé Mes-Bottes incarne l'ivrogne-type. Le narrateur note leurs gestes et leur langage: - gestes : " était venu s'accouder ", " rire de poulie mal graissée " (métaphore), " hochant la tête ", " les yeux attendris ", "les camarades ricanaient

Cette pièce est une réflexion sur l’amour en général. La scène se passe au XVIII° siècle, à Valognes, en Normandie, ville du débarquement des alliés. Don Juan est un homme de la nuit : l’histoire se passe donc une nuit d’orage (ce qui ancre le personnage). L’orage gronde souvent, tel une sentence qui tombe, avec un côté terrorisant, mais aussi un côté métaphorique : en 1944, cet orage pourrait donner le nouveau jour de la guerre (ancrage historique). Après l’orage, il y a un renouveau : la renaissance

sommet avec un autre dessus et le symbole de la couronne de lauriers. _ Il n'y a pas de statues et autres Les symboles : | Description | Interprétation | Animaux | Aucun | Aucun | Objets | Couronne de Laurier, légion d'honneur, casque de poilus, une épée. | La couronne de Laurier représente la puissance, la légion d'honneur l'honneur, casque de poilus les soldats , l'épée la force | Attitude de ou des personnages | Aucun | Aucun | _

|Hiérarchisez |MKT4: j'aime leur représentation des animaux avec de grand yeux qui rappelle ceux des personnage de manga | | | |Aya takono: j'aime ses personnages entre l'enfant et l'adulte avec les différentes facettes qu'ils peuvent avoir. | | |

devient alors « Le vin des Chiffonniers. », titre évocateur inspiré par une anecdote d’époque : Un chiffonnier livrait chaque soir , après boire, des combats imaginaires dans le faubourg du Temple. Les artistes de l’époque Romantique s’emparent du personnage du chiffonnier pour en faire un philosophe qui, parce qu’il est libre et vit au jour le jour, leur apparait dégagé des contingences matérielles: Il connait la nature Humaine car c’est un flâneur acéré. Il est composé de 8 quatrains d’Alexandrins

format pour montrer la demeusure de ce bombardement 1654 morts et 800 blessés juste pour des testes de bombes sur des civils ..v l'utilisation du cubisme pour visualiser la souffrance des personnage et le cubisme (c'est de voir la meme chose sous un different angle de vue ) il utilise l'experession des personnages pour montrer leur souffrance la femme criant ou bien le cheval terrorisé le cheval represente (le peuple espagnole ) il a utilisé des textes comme dans les journaux sur le cheval pour nous

aux formes dramatiques, aux contrastes violents et aux couleurs peu nombreuses (du gris-noir barré de jaune et blanc). Cette absence de couleur évoque la mort, à la fois la mort des victimes et la mort de la civilisation.Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et le cheval c’est le peuple. Dans la période qui suit les années vingt, Picasso exécute déjà des œuvres tourmentées de corrida qui préfiguraient Guernica