Personnage Principale Monstrueux

tragédie de Racine « Bérénice ». Titus ne peut mettre en danger sa mission à la tête de Rome au nom de la passion qui l’unit à Bérénice. La pièce aurait pu procéder par revirements et coups de théâtre pour unir puis éloigner successivement les deux personnages. Racine choisit au contraire de supprimer tous les événements qui pourraient faire de l’ombre à l’unique action du drame : l’annonce, par Titus, du choix qu’il a fait de quitter Bérénice. Le très grand art de Racine consiste à « faire quelque chose

symbolise ce jardin ? Annexe 2 5. Observez les listes de mots établies par Zola. Quelles observations pouvez-vous faire ? Texte 2  6. Relevez les principaux champs lexicaux du texte. Quelle figure de style les relie-t-elle ? Comment l’interprétez-vous ? 7. Que se passe-t-il durant cette description pour les personnages ? En quoi cette description fait-elle progresser le récit ? Quels éléments du texte permettent de le comprendre ? Pourquoi, d’après vous, Zola choisit-il de décrire

épopée. Pantagruel, Candide, ou même Enéide sont des romans ayant pour titre le nom du héros. La référence au combat et la présence de Dieux constituent les principaux points communs à tous ces textes. Alors que plusieurs thèmes sont développés dans les textes du corpus, on trouve dans chacun d’entre eux la présence des dieux, ou/et de personnages de la mythologie grecque, comme par exemple, dans l’extrait de l’Odyssée d’Homère, Poséidon (l.8) le dieu des mers et des océans et Zeus (l.22) le dieu du

basse » au vers 6 ce qui insinue une obligation de se courber afin de franchir cette porte. Les adjectifs « gros et massif »v5 qualifie aussi un non-retour. Homme de la renaissance, Marot puise aux sources de la mythologie grecque et convoque le monstrueux personnel des enfers. Ainsi le malheureux narrateur est guidé dans son terrible périple. Il est guidé par Cerbères, le chien aux 3 têtes, monstre parlant qui symbolise le geôlier de la prison, figure effrayante « 3 têtes en haut «  v2 et « chien

journalistique, une autobiographie ou une biographie - Le théâtre : il est normalement destiné à être représenté sur scène (sauf pour Musset et son recueil Un théâtre dans un fauteuil). On y voit des personnages, un décor. Les didascalies viennent préciser les gestes ou l’expression des personnages. - les genres rattachés au discours argumentatif : L’argumentation prend la forme de l’essai, de l’article de journal ou du poème didactique, alors que les formes de l’argumentation indirecte sont beaucoup

futuriste et imaginaire (la lumière venait d’un étrange soleil bleu). Il nous d’écrit les personnages avec froideur et douleur ainsi que le lieu où se passe l’action. La notion de temps a son importance car on parle de (dizaines de milliers d’années). Etrange, surnaturel, il nous fait ressentir la peur et nous laisse imaginer cette guerre intergalactique. Là encore on porte une critique sur l’homme (êtres monstrueux, cruels, hideux, ignobles). Le regard de l’extra-terrestre est dur et fait penser au

droits politiques. Elle dénonce dans cette adresse la dominance de l’Homme et les injustices envers les femmes dès leur enfance. II- L’argumentation indirecte 1) L’apologue Définition  : forme principale d’argumentation indirecte, c’est un bref récit fictif, dont le lecteur peut tirer un enseignement moral. La morale peut être explicite ou implicite. Récit allégorique divertissant, + ou – court, en vers ou en prose, à visée morale (implicite

de temps ou une action physique permettant la continuité du récit : Il était 10 heures du matin (l.18, p.90), Lorsqu’il fut parti (l.5, p.94), La Belle passa trois mois dans ce palais (l.3, p.96). Il y a au début du texte une description des personnages, la Belle, son père et ses frères et sœurs ainsi que leur situation de base et le changement de statut que va provoquer la perte de gain du père, mais aussi des indications sur quoi la morale va porter, soit la jalousie et l’orgueil de deux sœurs

emprunté à un mythe ou à l'histoire, mettant en scène des personnages illustres et représentant une action destinée à provoquer la pitié ou la terreur, par le spectacle des passions humaines et des catastrophes qui en sont la fatale conséquence. Une comédie À la différence de la tragédie, avec laquelle elle fut à l'origine du théâtre moderne au XVe siècle, la comédie cherche à faire rire par le biais de la provocation des personnages caricaturaux, son intrigue à rebondissements et au dénouement

En quoi le personnage de roman reflète-t-il la société ? Il y a une histoire de France et il y a une histoire de la France littéraire. La littérature, en particulier ce genre qui a englouti la presque totalité de la production littéraire et qui s’appelle le « roman », s’inscrit dans une histoire, dans un espace et dans une société dont elle reflète les questions, les réponses, mais aussi les désordres, les contradictions, les luttes et les misères. Le personnage de roman, dans