Personnage Principale Monstrueux

théâtre par Jean Anouilh en 1937 dans l’entre deux guerres. Jean Anouilh est un dramaturge du courant moderne célèbre par ailleurs pour la pièce Antigone. La pièce le voyageur sans bagages présente 5 tableaux et fais partie des pièces noires. Le héros principale Gaston se retrouve amnésique à la fin de la première guerre mondiale, la

était le personnage principal du roman : Dans quelle manière cette observation se vérifie-t-elle le plus ? Quels sont pour vous les personnages principaux ? Justifier. Le titre du livre, rappelle le lieu où se déroule l’histoire à l’époque médiévale, c’est-à-dire la cathédrale de Paris, Notre-Dame. Le titre du livre est très explicite sur la manière dont Hugo a voulu parler de ce monument. En effet, c’est l’endroit où toute l’intrigue du roman se passe. Les personnages principaux du livre,

peut être lu comme une pièce sur la monstruosité. Le mot monstre est maintes fois prononcé dans la tragédie de Phèdre. Mais qu’est-ce qu’un monstre ? Le monstrueux diverge de la normalité établie par une norme. Si nous lisons la pièce de Racine sous l’aspect de la monstruosité, cette tragédie sera une pièce de la transgression, car le monstrueux diverge du commun. Ainsi Racine insiste sur la valeur morale de son œuvre. Il écrit dans la préface: Les passions n’y sont représentées aux yeux que pour

mépris de personnages précis, Arnolphe passe au mépris des femmes en général : c'est une personne misogyne. Il compare la femme à n'importe quoi : "En femme, comme en tout", la qualifie de "charge", et veut que Chrysalde l'"examine" comme si ce n'était pas un être humain comme lui. En fait, il méprise tout le monde en utilisant une hyperbole : "à cent sortes de gens". Enfin, son projet de maîtriser totalement Agnès n’en paraît que plus monstrueux (et ridicule). Arnolphe, le personnage principal est hanté

l’humanité. A l’aube de la Révolution française, l’Art du XVIIIe voue un culte à l’héroïsme et au combat illustrant la vertu, le courage et retrouve dans le mythe ses principales valeurs. Les œuvres Surréalistes naissent, elles, dans le contexte particulièrement violent de l’entre-deux guerre mondiales du XXe. Le caractère cruel parfois monstrueux du mythe devient un de leurs tremplins vers l’imaginaire, le merveilleux. Il permet à l’art de tous les temps de rompre avec les rapports traditionnels à la réalité

parlement Anglais, Sir Danvers Carew. La police recherche Mister Hyde mais ce dernier a comme disparu. Et coïncidence le docteur Jekyll s’enferme dans son laboratoire et ne veut voir personne. Qu’est ce qui uni vraiment le respectable Docteur Jekyll au monstrueux Mister Hyde ? Uttervon va chercher à savoir qu’elle est la vérité mais celle-ci promet d’être diabolique. B. La narration, ou manière de raconter l'histoire •        1) L’instance narrative : L’auteur et le narrateur (L’avocat écoutait d’un

plus minces détails, ils l'aiment comme moi, ils la jugent comme moi bonne et grande. »12. Barbey d'Aurevilly en fait une critique incendiaire dans Le Nain Jaune le 25 avril et 23 mai 186913 : « Il (Victor Hugo) coupe le fil à son récit et à ses personnages avec des dissertations abominables, dans lesquelles se débattent, comme dans un chaos, les prétentions d’un Trissotin colossal. »14 - « (Victor Hugo) n'a montré dans son Homme qui rit ni art, ni âme, ni nature humaine. Barbouillade et amphigouri

reste à l'écart. Ce moment-clef dans sa vie lui inspirera Rhinocéros. Il se sent seul face aux fascistes, il ne peut plus entrer en communication avec ses proches. Il veut rester un homme et ne pas se soumettre. Il s'est demandé s'il n'était pas monstrueux. Denis de Rougemont explique son expérience dans une foule qui attend Hitler. Il est résistant et hésitant. Il lutte de tout son être contre l'engloutissement de la foule. Il est seul et se retrouve à avoir des réactions primaires instinctives,

Britannicus fut une œuvre qui souleva largement la critique et tout ce qui pouvait être jugé et réprouvé le fut. Dans la préface de 1970, il revient sur les nombreux points sensibles qui ont soulevé le débat. Parmi ceux-là est évoqué le cas du personnage de Néron et c’est pourquoi il est intéressant de revenir sur la déclaration de l’auteur : « D’autres ont dit que je l’avais fait trop bon. J’avoue que je ne m’étais pas formé l’idée d’un bon homme en la personne de Néron. Je l’ai toujours regardé

Alceste sont seulement des individualisations de misanthrope. C’est le misanthrope en lui-même, donc, celui de Molière pour Rousseau, accompagné du bourru de Ménandre pour nous, dont il s’agit ici. Le personnage mis sous les feux des projecteurs, voilà un projet prometteur. L’analyse comparative des personnages d’Alceste et de Philinte que fait Rousseau par la suite à la postérité que l’on connaît, c’est un modèle du genre dans ce type d’exercice. Mais pour nous il n’est pas question du seul misanthrope