Personnage Principale Monstrueux

meurtre et de la brutalité. Derrière la civilisation, se cacherait donc une violence primitive et « animale », ce qui confère, à la fin du XIXe siècle, un caractère moderne à la démarche de Zola. Les personnages de son œuvre sont ainsi, liés par le besoin de meurtre. Tout d'abord, le protagoniste principal, Jacques Lantier, est présenté comme un homme sérieux, assidu dans son travail bon et aimé des femmes, allant prendre des nouvelles de sa tante Phasie « Il venait d’avoir vingt-six ans, également

dernière confrontation ridicule et absurde des deux personnages principaux, dans une scène de ménage, comme toujours avec eux. On peu diviser cette scène en deux parties nettement repérables : le monologue parodique de la Mère Ubu, puis une scène utilisant toutes les ressources du comique théâtral. Nous étudierons donc les éléments propres au registre comique : I. Le monologue de la Mère Ubu : Il est assez rare dans la pièce qu’un personnage fasse un monologue, encore moins un long. En effet

teintes bleues pour exprimer la tristesse. Il peint des saltimbanques, des mendiants. Ses tableaux expriment la misère et la pauvreté. Période rose : 1904-1906 Période plus joyeuse, en teintes rouges, roses, jaunes. Un grand nombre de ses personnages sont inspirés du cirque. Contexte historique En 1937, le gouvernement républicain alors au pouvoir (juste avant d'être renversé par Franco) commande à Picasso une

HOMMES DANS LA SOCIÉTÉ, À LA NATURE HUMAINE (ÉCRIVAIN DE LA FIN DU 19ÈME SIÈCLE) Observation et analyse des textes préparatoires. D ans son roman, Zola veut parler de l’argent (titre de son roman) et plus particulièrement de la Bourse. Son personnage principal est Saccard qui commence à gagner beaucoup d’argent et qui a ensuite « tout Paris dans sa main » et donc beaucoup de pouvoir, mais qui va tout perdre suite à un crash boursier, à une crise. Il va donc parler également de tous les enjeux de

diffamation et un exil à Londres, la même année. 2. Histoire / narration Cadre spatio-temporel : Le récit débute en mai 1850, à Paris, dans le quartier de la Goutte-d'or. Il s'étend sur dix-neuf ans, jusqu'à la mort de Gervaise en 1869. Thème principal : L'intrigue se base sur la condition du milieu ouvrier durant la deuxième moitié du XIXe siècle (misère, alcool...). C'est avant tout une œuvre de pitié qui veut toucher, et insister sur la nécessité urgente de réformes. Progression de l'intrigue

Analyse : I) L'incipit 1. Une ouverture assez classique du roman On y trouve quelque chose de mimétique. En effet, le lecteur est mis dans la même position que le personnage principal. Il pénètre, arrive dans l'univers du roman, comme Etienne Lantier arrive à Moscou (découverte des lieux et des autres personnages). Exemples d'ouverture : •Une vie (Maupassant). •Mme Bovary (Flaubert). •Le Rouge et le Noir (Stendhal). 2. Le point de vue Plusieurs points de vue sont adoptés.

de troubles : il avait l'impression de se voir à l'extérieur de lui ou qu'il était étranger à la personne qu'il voyait dans le miroir. Le Horla est l'aboutissement d'une série de contes qui font référence à un sentiment de double puis à un être monstrueux ou surnaturel. Éléments d'analyse [modifier] [réf. nécessaire] Contexte historique et littéraire [modifier] Le Horla voit le jour en 1887, le texte a donc été écrit au XIXe siècle, sous la Troisième République, où la guerre était très présente

ENTRE ROSAURA ET CLOTALDO DE L'ACTE TROIS DE LA VIDA ES SUENO . I. Situer la scène et étudier la technique de Calderôn pour intégrer 1' intrigue secondaire à 1 'économie de la pièce. La scène se situe à l'acte m entre Rosaura, personnage adventice à l'intrigue principale qui oppose le prince Sigismond à son père Basile, roi de Pologne, et Clotalde qui est à la fois le gouverneur du prince prisonnier et le père non avoué de Rosaure et s'est institué son protecteur tout en maintenant le secret de

profonde et ténébreuse ; – la présence d’êtres à caractère monstrueux (les taureaux et le monstre hideux) ou extraordinaire (le preux chevalier qui garde la fontaine et livre un combat hors du commun contre Yvain) ; – la fontaine elle-même qui possède un pouvoir extraordinaire : il suffit de « vers[er] d’un seul coup sur le perron un plein bassin d’eau » (l. 22- 23) pour déchaîner une tempête. 7. La principale valeur chevaleresque qu’incarne Yvain dans cet extrait

la télévision. Il est considéré comme le chef conducteur du naturalisme, un mouvement littéraire reflétant la réalité à l’état pur. Il se fit connaître du public par son troisième roman Thérèse Raquin qui présentait déjà les caractéristiques principales du naturalisme; Ce naturalisme fût développé dans sa série de romans Les Rougons-Macquart, où l’on retrouve ses plus grandes oeuvres comme L’Assomoir , Nana, Au Bonheur des Dames, Germinal, La Bête humaine, etc…. Son engagement pour l’affaire