Personnage De Clitandre

publication - Nom de l'éditeur II) L'auteur et le livre - Brève biographie de l'auteur - Contexte d'écriture de l'œuvre - Structure générale de l'œuvre - Résumé bref de l'histoire - Présentation des personnages principaux - Thèmes majeurs apparaissant dans l'œuvre III) Ce que l'auteur a tiré du livre - Définition de mots découverts dans ce livre - Avis personnel sur l'œuvre - Lien avec l'œuvre ou le groupement étudié

Lubin. Sans dévoiler son identité, il l'interroge et apprend que sa femme entretient une correspondance avec Clitandre. Accablé, il se plaint auprès de ses beaux-parents. Ceux-ci ne semblent pas porter attention à cette information et préfèrent relever son manque de savoir-vivre et sa basse condition. Les parents d’Angélique vont toutefois demander des explications à leur fille et à Clitandre. Tous deux nient leur prétendue liaison et George Dandin est contraint de présenter ses excuses. Il ne désespère

11 mars 1672 au Théâtre de la salle du Palais-Royal, par la Troupe du Roi. L’intrigue réside dans le mariage entre Henriette et Clitandre, lequel risque d’être empêché de se marier par Philaminte qui veut lui faire épouser Trissotin, un poète précieux et pédant. Dans un premier temps on résumera la comédie, dans un second temps on étudiera le portrait du personnage d’Henriette et enfin nous verrons se que dénonce Molière dans cette pièce. I Résumé de la pièce Acte I : Armande et Henriette

Les monologues : plaidoirie ou mises en pièces du personnage ? Supports : Acte I, scènes 1, 2, 3 et 7. 1°) a) Comment Molière rend-il complice les spectateurs avec le rôle-titre de la pièce ? b) Que semble rechercher ce personnage à l’aide du monologue, à cet instant de la pièce (scène 1) ? 2°) a) Relevez les expressions traduisant l’auto-portrait de George Dandin. b) Quel est le problème de ce personnage ? c) Par quelles informations peut-on comprendre

éphémérité de la représentation (interprétation, mise en scène, décors,…) • Double énonciation du dialogue théâtral ; les propos s’adressent à la fois aux personnages et au public. • Le théâtre se veut un art proche de la vie, de la réalité ; on remarque une exigence de naturel dans la représentation des personnages et des informations, malgré l’utilisation de procédés artificiels (importance de la connivence du public) tels que l’aparté ou le monologue. II ] Le théâtre au XVIIème

Les Femmes savantes MOLIERE Les Femmes savantes est une pièce de théâtre en cinq actes et en vers de Molière, comédie sur l'éducation des filles. Henriette et Clitandre sont amants, mais pour se marier, ils vont devoir obtenir le soutien de la famille de la jeune fille. Le père et l'oncle sont favorables au mariage mais la mère, Philaminte, soutenue par la tante et Armande, la sœur d’Henriette, veut lui faire épouser un faux savant aux dents longues, Trissotin, qui mène par le bout du nez

son intention d'épouser Clitandre. Armande, après avoir fait part du dégoût que lui inspire le mariage, la met en garde : Clitandre a été son soupirant et il est possible qu'il l'aime encore. Clitandre dément dans la scène 2 : la froideur d'Armande a éteint son amour et il n'aspire plus qu'à épouser Henriette. Dans la scène 3, Armande s'est retirée de dépit et Henriette conseille à Clitandre de gagner sa mère à leur cause, vu que c'est elle qui dirige la maisonnée. Clitandre sait qu'il devrait la flatter

ANGÉLIQUE, CLITANDRE. GEORGE DANDIN: Non, non, on ne m'abuse pas avec tant de facilité, et je ne suis que trop certain que le rapport que l'on m'a fait est véritable. J'ai de meilleurs yeux qu'on ne pense, et votre galimatias ne m'a point tantôt ébloui. CLITANDRE, au fond du théâtre: Ah! la voilà; mais le mari est avec elle. GEORGE DANDIN: Au travers de toutes vos grimaces, j'ai vu la vérité de ce que l'on m'a dit, et le peu de respect que vous avez pour le nœud qui nous joint. (Clitandre et Angélique

par sa mère, s'offusque que sa jeune soeur Henriette l'ait supplantée dans le coeur de Clitandre. Elle fera tout pour empêcher cette union. La mère, Philaminthe, s'oppose également à cet amour. Elle projette plutôt de marier la cadette à Trissotin, un soi-disant bel esprit qui achèvera, croit-elle, de faire de cette récalcitrante, une femme savante. Seul le père souscrit au mariage d'Henriette et de Clitandre, mais l'autoritarisme de sa femme le paralyse. Qui l'emportera ? Le mariage d'amour ou la

dans un univers restreint où règne le jeu de la séduction et de la liaison. Il devient pourtant évident dans les œuvres de Crébillon que cet « homme moral » n’est pas capable d’agir librement mais qu’il est toujours guidé par des forces, ce que Clitandre confirme dans La Nuit et le Moment en parlant de la Philosophie moderne «elle nous a appris à connaître les motifs de nos actions, et à ne plus croire que nous agissons au hasard. » (p.48). De ce qui suit nous allons observer de plus près la nature