Perec Les Choses Incipit Commentaire

peintre. La pose qui consiste à représenter le personnage le buste en avant et de trois quarts, la disproportion entre ce même buste rapetissé et le visage épanoui et rieur créent un effet réaliste. VERS LE BAC Question sur un corpus Les deux incipits de Scarron et de Diderot jouent sur une certaine provocation du lecteur. Les premières lignes remettent en question les conventions d’un romanesque qui s’éloignerait de la réalité. Ainsi, Scarron parodie le langage précieux qui use d’un détour

peintre. La pose qui consiste à représenter le personnage le buste en avant et de trois quarts, la disproportion entre ce même buste rapetissé et le visage épanoui et rieur créent un effet réaliste. VERS LE BAC Question sur un corpus Les deux incipits de Scarron et de Diderot jouent sur une certaine provocation du lecteur. Les premières lignes remettent en question les conventions d’un romanesque qui s’éloignerait de la réalité. Ainsi, Scarron parodie le langage précieux qui use d’un détour

fonction utilitaire ou référentielle ? Séquence A Interrogation 2 Peut-on jouer avec les mots et avec les images ? 28-29 1. Jastrow, Raetz, Pignon-Ernest, Borrel de Caso, Cabanès, Holbein le jeune 2. MC Solaar, R. Devos, Magritte, Prévert 3. Pérec, Lescure, Apollinaire • Évaluation Merian, Apollinaire Séquence b Parlez-moi d’amour… surréaliste ? 30-36 1. Breton, Miró 2. Éluard, Aragon, Ernst 3. Péret, Desnos, Hugnet, Chirico, Sage 4. Desnos, Dalí • Évaluation Éluard, Man Ray ActIvItéS

contexte assez précis, que les personnages ne se mêlent pas de politique (« Je sais pas, moi, dit Gabriel, je fais pas de politique » (p. 15), et que le narrateur ne se souciera pas de préciser certains détails concrets comme par exemple le coût des choses – le caco-calo ou les bloudjinnzes). Le réalisme n’est pas recherché à tout prix, il s’agit plutôt d’évoquer une époque où une certaine modernité se fait jour, celle des embouteillages ou de la société de consommation. L  e film, quant à lui

de!Sévigné,!ni!Tristram$Shandy!par!Dickens,!ni!La$Recherche$du$temps$perdu!par!Musset,! ni!la!Comédie$humaine!par!Victor!Hugo,!Madame!Bovary!n’a!pas!de!particule,!Si$par$une$ nuit$ d’hiver$ un$ voyageur! n’a! pas! été! écrit! par! Umberto! Eco,! Perec! (sans! accent)! ou! Queneau! (et! non! *Quenaud)! n’appartiennent! ni! au! Surréalisme! ni! au! Nouveau! Roman,! pas!plus!que!Céline…!cette!première!liste!n’est!réjouissante!pour!aucun!membre!du!jury,! même! si! on! a! pu! trouver! quelques! perles

place sous le regard d’un spectateur, elle donne à voir, elle matérialise un espace, des objets, des personnages. A la différence de l’incipit, elle est matérielle et concrète (mais l’exposition peut être lue). De plus, elle fait connaître, comme un incipit, en répondant aux attentes du spectateur : fonction informative (qui, quand, où, quoi ?). Mais elle est aussi une « orientation », une « situation par rapport à une direction » en ce qu’elle situe la pièce, lui donne une orientation décisive.

Je voudrais maintenant qu’on reparte du texte ; je vais te lire certaines répliques et te demander ton commentaire. Tu veux bien ? Valentin Temkine : Allons-y ! Pierre Temkine : page 10, on lit : « V : Peut-on savoir où Monsieur a passé la nuit ? E : Dans un fossé (... ) V : Et on ne t'a pas battu ? E : Si... Pas trop ». Valentin Temkine : Oui, cet épisode est souvent oublié dans les commentaires, on ne sait pas trop qu’en faire. Dans mon interprétation, Estragon est la victime d’une bande de petits

avance en âge, elle resserre son étreinte. Et le seul personnage qui semble en avoir dévidé tout l’écheveau, c’est lui, justement : « Il ne faut pas neuf mois, il faut soixante ans pour faire un homme, soixante ans de sacrifices, de volonté de… tant de choses ! Et quand cet homme-là est fait, quand il n’y a plus en lui rien de l’enfance, ni de l’adolescence, quand, vraiment, il est homme, il n’est plus bon qu’à mourir ». En somme, l’angoisse qui est notre condition d’homme, celle « d’être toujours étranger

ds l'histoire de la production littéraire. Elle se caractérise par son pouvoir d'illusion, qu'elle tire de sa logique propre. Le discours litté développe là une propriété fondamentale de tout langage qui, loin d'exprimer directement la réalité des choses, ne parle js que de lui-même et transmet tte une série de représentations + ou – inconscientes: il n'est pas connaissance mais illusion. Elaborée à partir du langage, la litté constitue "une œuvre seconde" qui reproduit, confronte et par là-même

de cette figure de l’exagération tirés de textes d’une autre époque. Rappelons que le terme a été formé sur le grec hyperballein, « jeter au-dessus » et que, pour Littré, le procédé consiste à « augmenter ou diminuer excessivement la vérité des choses pour qu’elles produisent plus d’impression ». Le Gradus cite l’expression « un bruit à réveiller un mort » et l’exemple d’Aquin traitant les vieux téléphones d’ « engins pré-cambriens ». ... à vous de lire les poèmes... (p. 63) 1. La séparation