Pere Goriot Balzac Vision De L Homme

Lecteur = comprend qu'Arrias est contrepoint honnête homme l.2 opposition mentir/taire révèle intention Qualité honnête homme = modestie, alors que le personnage est outrecuidant. Conclusion : Nous avons vu que l'efficacité du moraliste est liée au principe d'un portrait en action qui assure dynamique satire. Art du conteur =) s'apparente à fabuliste. On comprend que ce portrait satirique revendique la discrétion de l’honnête homme. Séquence I Candide 1759 de Voltaire chapitre 18

Marc MILON Explication de textes comparés : Balzac, Le Père Goriot ; Flaubert, L’Education sentimentale Nous sommes en présence de deux romans d’apprentissage du XIXe siècle. Tout au long de chacun de ces deux romans se tisse l’éducation d’un jeune homme, Eugène de Rastignac chez Balzac, Frédéric Moreau chez Flaubert, qui cherche à percer dans « le monde », cette « chose vague, miroitante et indéfinissable », dit le narrateur de L’Education qui observe par les yeux de Frédéric. Plus précisément

Corpus : Honoré de Balzac, Victor Hugo, Émile Zola, Marcel Proust Corpus : Honoré de Balzac, Victor Hugo, Émile Zola, Marcel Proust Énoncé Texte 1 L'action de ce roman se déroule en 1612. Fraîchement débarqué à Paris, un jeune peintre ambitieux, Nicolas Poussin, se rend au domicile de Maître Porbus, un célèbre peintre de cour, dans l'espoir de devenir son élève. Arrivé sur le palier, il fait une étrange rencontre. Un vieillard vint à monter l'escalier. À la bizarrerie de son costume, à la magnicence

la beauté en elle. La rencontre → changement discours = narration → réaction Enide, elle est intimidé, elle a honte. Erec est ébahit. → coup de tonerre → coup de foudre, topos narratif de la première rencontre entre une femme et un homme. A la fois topos descriptif de la femme et topos narratif de la 1ère rencontre. Quel est le registre du texte ? Merveilleux → élément cohérent irrél intervient « nature » ; « dieu » mis en scène étrange étoile → ses yeux registre

disent de lui que "c'est un malin, un roublard, c'est un débrouillard qui saura toujours se tirer d'affaire", ensuite Mme Walter le décrit comme "un de [ses] rédacteurs, dont [elle] ne doute pas qu'il arrive vite" et enfin, M. Walter en parle comme "un homme d'avenir [qui] sera député et ministre". Ce jeu de parallélisme nous dévoile l'ambition de Duroy. Par ailleurs, la répétition trois fois de "j'irai loin", deux fois par Duroy et une fois "il ira loin" par Walter montre cette ambition presque maladive

Victor Hugo se remarque par son génie puissant. Sa conception de la poésie est bien moderne. La poésie n’est pas seulement un art, mais un moyen de connaissance, une possibilité d’accéder aux mystères du monde. Le poète est donc un voyant. La vision qu’il a du monde est dominée par les contrastes. Elle court les risques des associations automatiques et simplistes. Son manichéisme divise le monde en deux principes opposés: le bien et le mal. Mais le poète cherche l’unité profonde de la vie. Il

une histoire, en générale, permet au lecteur de réaliser certains désirs refoulés et donc de pourvoir s'évader. I- Tout d’abord, car chaque lecteur peut se reconnaître dans l’amour     a) En effet, le lecteur peut se reconnaître dans l’amour en homme et femme     b) De plus le lecteur peut se reconnaître dans l’amour fraternel II- De plus, car l’amour fait naître une grande diversité de sentiments     a) En effet, l’amour  peut faire naître la joie     b) De plus, l’amour peut faire naître

"La Vie imite l'Art" "Le déclin du mensonge" est un essai, très court, dans lequel Oscar Wilde défend sa vision radicale de l'Art. Présenté sous forme d'un dialogue entre deux personnages, Cyril et Vivian ( les noms de ses fils, au passage ), il n'est pas difficile de reconnaitre en Vivian, qui a la part belle, le propos de Wilde que Cyril tente vainement, pauvrement, de contre-argumenter. C'est que Vivian/Oscar Wilde n'y va pas de main-morte : pour lui en effet "la Vie imite l'Art".

souhaitent rompre avec une certaine tradition romanesque dans laquelle les héros ne montrent aucune de leur faiblesse et vivent dans un monde idéalisé. Balzac, Stendhal, Flaubert ou Zola veulent désormais montrer le monde tel qu’il est, sans rien occulter de sa misère, de sa médiocrité. Ils ont pour but de reproduire le réel le plus fidèlement possible. Balzac se déclarera même journaliste et Zola, scientifique. En ce qui concerne Flaubert, il écrit Mme Bovary qui est considéré comme le chef d'œuvre du

bovarysme  Sens d’origine : tiré du roman de Flaubert, Madame Bovary (XIXe siècle), dont l’héroïne construit sa vision du monde à partir de la lecture de romans, où elle sombre dans la névrose. Sens actuel : état d’insatisfaction, sur les plans affectifs et sociaux, qui se rencontre en particulier chez certaines jeunes personnes névrosées. Un Rastignac Origine : tiré du roman de Balzac, le père Goriot et ensuite dans la Comédie Humaine où on assiste à l’élévation d’Eugène de Rastignac dans la haute société