Percolation

'AZOTE : ORIGINE ET MÉCANISMES DE TRAITEMENT 9 11 DES EAUX RÉSIDUAIRES MÉCANISMES CONTRIBUANT AU TRAITEMENT DE L ’ AZOTE CHAPITRE II : LE PAR TRAITEMENT LES DE C U LT U R E S L ITS D ’ INFILTRATION - PERCOLATION SUR SABLE L ITS BACTÉRIENS D ISQUES BIOLOGIQUES B IOFILTRES L AGUNAGE NATUREL L AGUNAGE AÉRÉ L 9 'AZOTE FIXÉES ET LES PROCÉDÉS EXTENSIFS 19 19 20 24 25 28 29 CHAPITRE III : LE TRAITEMENT

l’eau et son utilisation par la planète qui la recycle automatiquement et naturellement 5 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Evaporation et évapotranspiration Condensation Formation des nuages Déplacement des nuages Précipitations Ruissellement et percolation Formation lacs, rivières, … Retour à l’océan, mer,… Figure 3: Le cycle naturel de l'eau. B. Un cycle artificiel Au cycle naturel de l’eau s’ajoute un cycle dit artificiel. En effet, l’homme utilise des quantités énormes d’eau pour sa

sols sont définies par les conditions géologiques et il existe trois types de sol. Les sols qui se développent sur des roches primaires, ils ont une texture limono-sableuse et sont en général acides. Ils sont hydromorphes, le substrat limite la percolation verticale des eaux. Les sols de marais ont des caractéristiques physiques très homogènes, c’est-à-dire que les sols sont argileux, profonds et hydromorphes. Les sédiments fins se trouvent dans des proportions très variables (entre 1% et plus que

: 2 à 15l/s/ m linéaire dans le sens de la largeur ; - sol lourd : 1,5 à 7l/s/ m linéaire dans le sens de la largeur ; - parcelle comprise entre deux bourrelets : calants ; - dénivelée entre deux calants adjacents < à 0,12m pour éviter la percolation du calant dominant dans la parcelle inférieure ; - pente longitudinale : minimum 0,15%, maximum 4%. ( utiliser l’abaque de Criddl et Davis) Connaissant : - la dose d’arrosage « d » en mm ; - la vitesse moyenne de

L'infiltration : phénomène de pénétration des eaux dans le sol, à travers les fissures naturelles des sols et des roches, assurant ainsi l’alimentation des nappes phréatiques. La percolation : phénomène de migration de l’eau à travers les sols (jusqu’à la nappe phréatique). Ruissellement, infiltration et percolation assurent l'alimentation des cours d'eau qui restituent en dernier lieu l'eau à l'hydrosphère. Figure 04 : Cycle de l’eau. 5.2. Le cycle du carbone Lors de la respiration, les

contact avec le solvant à ébullition. On laisse refroidir la suspension Température d ’extraction La drogue est en contact avec le solvant à température ambiante Lixiviation, élution Le solvant passe à travers la charge de solide Percolation Le solvant coule sur et à travers la charge de solide Paramètres d’influence Nature MATIERE VEGETALE Nature Origine SOLVANT Concentration Partie Volume Teneurs EXTRAIT Taux remplissage Méthode Durée Débits

phénomène de décantation (dans une fosse de décantation secondaire) ou grâce à un filtre (par exemple une roselière). Dans certains systèmes, l’épuration biologique et l’épuration tertiaire ne font qu’un. C’est notamment le cas dans une roselière à percolation. L’évacuation des eaux usées épurées se fait soit dans le sol (par le biais de drains de dispersion ou d’autres systèmes), soit directement dans une canalisation ou un ruisseau. Les eaux usées subissent une épuration minimale dans la fosse

perméabilité du sol ou des horizons.  des mouvements de diffusion capillaire, non liés à la pesanteur mais plutôt à des différences d’humidité, donc de P.F. entre des points du sol. Ces mouvements peuvent s’exercer en tous sens. Figure 18 : 1. La percolation, ou descente de l’eau de gravité : a) La perméabilité ( K ) d’un sol est définie par la vitesse d’infiltration de l’eau de gravité en cm par heure . Perméabilité de quelques sols en cm / heure : Types de sol Sols sableux Sols limoneux, argileux

Un aquifère peut comporter une zone non saturée (définition de Margat et Castany). L'aquifère est homogène quand il a une perméabilité d'interstices (sables, graviers); la vitesse de percolation y est lente. Il est hétérogène avec une perméabilité de fissures (granite, calcaire karstique); la vitesse de percolation est plus rapide. Les formations peu perméables (dites semi-perméables), comme les sables argileux, peuvent stocker de l'eau mais la vitesse de transit est faible: on parle d'

restructurer son espace, soit plus de 150 000 m2 dans le but de stabiliser les pentes très accentués et faire une couverture semi-perméable en apportant 20 000 m3 de terre argileuse pour éviter l’infiltration des eaux et éviter les phénomènes de percolation. Ensuite, la mise en place d’un système de détournement des eaux était prévu ayant pour but d’éviter le ruissèlement, les eaux seront collectées dans des bassins situés en aval, elles seront analysées et traitées en station d’épuration ou alors