Pèlerinage de Rome

appartenait-il spécialement? On l'ignore; mais tous les écrivains s'accordent à reconnaître qu'il était prêtre de Rome ou de Carthage. Tertullien était marié quand il fut élevé au sacerdoce, il n'existait alors, comme on le sait, aucune constitution, qui empêchât de conférer les ordres: aux hommes précédemment engagés dans les liens du mariage. Il est probable que ce fut à Carthage plutôt qu'à Rome que, déjà Montaniste, il découvrit l'hérésie que Praxéas semait contre la Trinité, vers la fin du pontificat

ingénus, promettant, en retour des triomphes mondains qu'elle souhaite, des aumônes et des pèlerinages. Elle a aussi, en vraie Russe qu'elle est, tout un monde de superstitions ; une fois, elle a vu la nouvelle lune de l'œil gauche et elle s'en alarme. Étonnée elle-même des contrastes de sa nature, elle se demande sérieusement si elle n'a pas deux cœurs. Puis, au milieu des voyages entre Paris, Nice, Rome et le domaine familial du fond de l'Ukraine, c'est le récit d'une passionnette de jeune fille

Constantin 2.6 L’édit de Milan 2.7 1ère bataille contre Licinius 2.8 2ème guerre contre Licinius 2.9 Trahison au sein de la famille impériale 2.10 La mort de Constantin III. Le régime constantinien* P.1*2 3.1 Constantinople, la nouvelle Rome 3.2 La nouvelle monnaie de Constantin, le solidus (solidi au pluriel) 3.3 Les réformes militaires 3.4 Constantin et la religion *IV. Conclusion P.*15 V. Lexique et bibliographie * P.*16 5.1 Lexique 5.2 Bibliographie VI annexes

souvent rivales, souvent en conflit les unes avec les autres, afin de permettre à chacun de participer aux cérémonies religieuses. Les pèlerinages aux temples de Delphes ou d’Epidaure provoquent des déplacements quasi-continus et importants : sauf le respect que l’on doit à la religion de chacun, ces déplacements sont semblables à ceux des grands pèlerinages à Lourdes, La Mecque ou Bénarès aujourd’hui. De façon plus ordinaire, les citoyens se déplacent aussi pour leurs affaires. Les riches propriétaires

collèges jésuites. Ils vivent au contact des gens. Les capucins : branche de la famille franciscaines. Prêchent dans le peuple, en Fr sont introduit en 1535. Un troisième groupe est fondé : les lazaristes Les pèlerinages : autre moyens de mobiliser la pop. Le pape proclame les jubilée à Rome. On utilise des images, des objets de piété pr le soutien de la foi catholique. Réponse à l’iconoclasme des protestants. Le concile de trente dit que les images doivent figurer et être conservés dans les églises

surtout Paris, en sont les premières bénéficiaires. Le tourisme vert, qui se développe dans les campagnes, en retrait des espaces balnéaires surpeuplés pendant la saison estivale. Le tourisme religieux, qui persiste grâce aux pèlerinages comme ceux de Rome et celui de La Mecque. Le tourisme gastronomique, particulièrement ancré en France. Le tourisme thermal, plus anecdotique et lié aux grandes villes de cure ( des touristes principalement âgées). Le tourisme cinématographique

la réforme protestante gagne du terrain, et l’intraitable Luther sème la discorde dans les nations chrétiennes : les 95 thèses de la Réforme, placardées sur le château de Wittenberg, sonnent le glas de l’Europe unie sous la bannière papale. Bientôt, Rome est menacée : Léon l’Africain sera témoin de son saccage, en 1527, par les soudards luthériens de Charles Quint, les terribles lansquenets. C’est le temps des grands empires, l’apogée des puissances gouvernées par des seigneurs au pouvoir sans limite

Citoyenneté et Empire à Rome Introduction : Rome a conquis la Grèce dès le 2ème siècle av. J.-C. mais s’en est souvent présenté comme son héritier notamment pour le modèle de la cité qu’elle a diffusé dans son Empire très vaste tout autour du bassin méditerranéen. Le concept de citoyenneté inventé par les grecques est repris par les romains mais dans une définition beaucoup plus ouverte surtout sous l’Empire entre le 1er et le 3ème siècle. L’extension de l’Empire permet à Rome d’étendre la Pax Romana

iij. matieres a nul home antandant : De France et de Bretaigne et de Rome la grant. Et de ces .iij. matieres n'i a nule semblant. Li conte de Bretaigne sont si vain et plaisant ; Cil de Rome sont sage et de san aprenant ; Cil de France de voir chascun jor apparant

la réforme protestante gagne du terrain, et l’intraitable Luther sème la discorde dans les nations chrétiennes : les 95 thèses de la Réforme, placardées sur le château de Wittenberg, sonnent le glas de l’Europe unie sous la bannière papale. Bientôt, Rome est menacée : Léon l’Africain sera témoin de son saccage, en 1527, par les soudards luthériens de Charles Quint, les terribles lansquenets. C’est le temps des grands empires, l’apogée des puissances gouvernées par des seigneurs au pouvoir sans limite