Pauvre Petit Garçon

travaillais médiocrement et je n'étais pas du tout attentif, quelle belle sottise, c'est plutôt que j'avais des professeurs qui ne m'aidaient jamais. De toute façon j'ai toujours été le garçon rejeté, exclu, en même temps je suis ce que l'on appelle un « geek » …Ça me correspond bien. Mon seul ami est peut-être Marc un garçon assez musclé, contrairement à moi qui suis d'une maigreur extrême, sympathique et qui a toujours sa montre sur lui, c'est assez pratique d'ailleurs. Il a l'air de bien m’aimer Marc

celle de l'amitié entre un gamin solitaire et un vieux sage excentrique, superbement incarné par Omar Sharif. Cette fable qui est un véritable hymne à la tolérance envers nos prochains, que ce soit "l'arabe du coin" ou les prostituées, est tiré d’un petit livre d’Eric-Emmanuel Schmitt paru en 2001, "Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran", qui, après avoir été adapté au théâtre, vient d’être transposé à l’écran par François Dupeyron. Si le film n’est pas transcendant, beaucoup apprécieront cette fable

Dino BUZZATI - LEK Pauvre petit garçon Devoir n° à rendre pour le Question : 1-La mère est monstrueuse envers Dolfi car elle n'est pas tracassé lorsque les autres enfants l'appellent Laitue et se moquent de lui. Elle l'encourage peu et s'imagine son avenir comme celui d'un bureaucrate de quelqu'un d’inintéressant et se met en colère lorsque celui-ci est frappé et sali par les autres enfants. La dame dans ces dernière paroles, ose dire que Dolfi pleure juste pour un rien alors qu'il s'est

Ma Yan est née en 1888, et vit dans la province du Ningxia, à Zhan Jia Shu, dans le nord désertique de la Chine, une des régions les plus pauvres du pays. Elle est fille de paysans. Sa famille est musulmane, ils ne sont pas particulièrement pratiquants mais respectent le ramadan et les fêtes dédiées à la religion. A 8 ans seulement, Ma Yan va à l'école pour la première fois, elle aidait avant sa mère au travail des champs; l'école est à vingt kilomètres de chez elle, dans la ville de Yuwang. La jeune

sûrement d’un hommage à la mère du petit garçon, décédée. - l’essentiel du mobilier se limite à une « armoire en noyer » au v.20 - Le linge de maison est représenté par un « drap » qualifié par l’adjectif « blanc » au v.20, rejoignant l’idée de propreté exprimée au v.2. - Une cheminée sert à réchauffer l’endroit (« le foyer » v.21) et à l’animer; la flamme du foyer évoquant la vie. - Enfin, un détail réaliste rappelle l’enfance du petit garçon (la « toupie en buis » v.9) et rend

XVIème au XXIème siècle. INTRODUCTION Au cours des siècles l’éducation des filles a énormément changé. En effet, entre le XVIe et le XXIe siècle, les filles sont passées d’une éducation religieuse à une éducation intellectuelle et égale aux garçons. Problématique: Comment a évolué l’éducation des filles au cours de ces derniers siècles ? XVIe siècle Au XVIe siècle, l'éducation des filles se borne avant tout à un point de vue religieux. On leur apprend les travaux domestiques et le catéchisme

absolue, aussi bien dans les montagnes volcaniques du cœur de l’Auvergne où l’élevage est la ressource essentielle que dans les massifs cristallins où dominent des seiglières à médiocre rendement. Il s’agit donc ici, de la nécessité, dans régions pauvres en grains, de ménager par sa retraite de modiques provisions ; exemple l’émigration des gens de Thiers et d’Ambert, qui serait proportionnellement deux fois supérieur à celle des gens de la chaine opposée, parce que les ressources vivrières sont bien

dissimulée puisque ses personnages sont des animaux. Romain Roland écrit le roman Jean Christophe au début du 20ème où, bien que la royauté ait disparue, de fortes inégalités subsistent encore. L’auteur en rend ici compte à travers les déboires d’un petit garçon confronté à la cruauté pour la première fois. Ainsi nous verrons comment le thème intemporel de l’oppression des plus puissants sur les plus faibles nous est dépeint par chacun des auteurs. Lafontaine nous présente la figure de l’oppresseur sous

de la cheminée, un bronze de barbedienne. La pièce est vide. Entrent par l’unique porte un garçon d'étage et un homme, Joseph Garcin. Garcin est extrêmement surpris par l'apparence de la salle. Il semble qu'il s'attendait à quelque chose de très différent.   Les deux hommes discutent de ce lieu et de ses règles (pas de miroir, pas de nuit, pas de sommeil), et semblent parler d'un endroit différent. Le garçon  révèle que, au-delà de la porte, il y a tout simplement d’autres couloirs donnant sur d’autres

«joli garçon » => adj. renvoie au titre Bel-Ami => personnage éponyme • Portrait physique : allure générale (« il portait beau, par nature », « joli garçon », « grand, bien fait »), visage décrit précisément où les éléments se détaillent du général au particulier : • « blond » => « d'un blond châtain vaguement roussi » • « une moustache retroussée » => « qui semblait mousser sur sa lèvre » • « des yeux bleus » => « clairs, troués d'une pupille toute petite »