Paul Leni

comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine La Chanson du Mal-Aimé A Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s'il meurt un soir Le matin voit sa renaissance. Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre

comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine La Chanson du Mal-Aimé A Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s'il meurt un soir Le matin voit sa renaissance. Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre

lente Et comme l’Espérance est violente Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine 6 La Chanson du mal-aimé À Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s’il meurt un soir Le matin voit sa renaissance. Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre Et le regard

Claude MONET, « L''ensemble des Nymphéas à l'Orangerie » (XIX° siècle) Affiche nazie sur l'annexion de l'Autriche Robert DOISNEAU, « Le baiser de l'Hôtel de Ville » Robert DOISNEAU, « Les Sables d'Olonne » Léni RIEFENSTAHL, « Le Triomphe de la volonté » Léni RIEFENSTAHL, « Les Dieux du stade » Victor FLEMING, « Autant en emporte le vent » DIDEROT et d’ALEMBERT, dessins et gravures de « L’Encyclopédie » (XVIII° siècle) Les peintures de Marines au XVIII° siècle

s’en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent 9 Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure 10 La chanson du mal-aimé À Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s’il meurt un soir Le matin voit sa renaissance Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre

autrement que sous les traits de Michel Vitold, Gaby Sylvia, de Tania Balachova et de Chauffard. Depuis, la pièce a été rejouée par d'autres acteurs, et je tiens en particulier à dire que j'ai vu Christiane Lenier, quand elle l'a jouée, et que j'ai admiré quelle excellente Inès elle a été. par Jean-Paul Sartre Extrait du CD « Huis clos »

Huis clos, commentaire de Jean Paul Sartre "Quand on écrit une pièce, il y a toujours des causes occasionnelles et des soucis profonds. La cause occasionnelle c’est que, au moment où j’ai écrit Huis clos, vers 1943 et début 44, j’avais trois amis, je voulais qu’ils jouent une pièce de moi, sans avantager d’aucun d’eux. C’est-à-dire, je voulais qu’ils restent ensemble tout le temps sur la scène. Parce que je me disais, s’il y en a un qui s’en va, il pensera que les autres ont un meilleur rôle

d’extraits de romans, presque tous d’époque différente. Le premier est tiré de Paul et Virginie écrit en 1788 par Bernardin de Saint-Pierre, qui est un roman utopique et contestataire où Paul part sauver son amante qui est sur un bateau faisant naufrage. Le second texte est extrait Des trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas écrit en 1844 où d’Artagnan s’alliât aux trois mousquetaires. Le troisième extrait est écrit par Jean-Paul Sartre et figure dans son roman La Nausée datant de 1938 où le personnage

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Brod propose : 1. Arrestation, conversation avec Madame Grubach, puis Mademoiselle Bürstner, 2. L'amie de Mademoiselle Bürstner,3. Début de l'instruction,4. Dans le prétoire désert, l'étudiant, les bourreaux du greffe,5. Le bastonneur, 6. L'oncle, Léni,7. L'avocat, l'industriel, le peintre,8. Le négociant Block, l'avocat déchargé du dossier,9. Dans la cathédrale, 10. Fin. « Le Procès » étant composé à la fois de réalisme et de fantastique, décrit un monde angoissant, sombre et absurde dans laquelle