Paul II

n’est pas le maître de l’histoire. Les Occidentaux eux-mêmes ne croyaient pas cet effondrement possible et ils ont été surpris (ce fut flagrant chez le président Mitterrand). Les Soviétiques ne s’y attendaient pas non plus. Dans un livre récent Jean-Paul Picaper montre que les dirigeants allemands de l’Est réfléchissaient encore aux moyens de contrer militairement l’Occident alors que le régime s’effondrait sous leurs pieds. Gorbatchov fut totalement dépassé par les conséquences de ses réformes dont

d’autant plus grande. Il reçoit le prix Nobel de la paix en 1983, mais il ne peut se rendre à la cérémonie car il est sous surveillance policière. C’est sa femme qui fera le déplacement et lira un discours sur les problèmes de la Pologne. Le pape Jean Paul II, polonais d’origine, soutient officiellement et fortement le mouvement de Solidarnosc et Lech Walesa. Depuis l’accord de Gdansk en 1980 et jusqu’au compromis du printemps 1989, Lech Walesa et Solidarnosc obtiennent la plupart de leurs revendications

de la présidence Bush. SUR L’EUROPE (en géographie comme en histoire, sur le chapitre ES/L « l’Europe de l’Ouest en construction ») « J'appelle Europe une terre qui fut romanisée, christianisée et soumise à l'esprit de discipline des Grecs », Paul Valéry, 1927. C’est une définition de l’Europe. Comme elle peut être discutée, c’est idéal pour démarrer une introduction. « L’Europe, de l’Atlantique à l’Oural », Charles de Gaulle, 30 juin 1966 : phrase qui illustre la volonté de dépasser le rideau

œuvres mémorables qui font toujours scandale et donnent lieu à toutes sortes d'interprétations, jusqu'à mettre en cause la religion et le sacré, comme La Nona Ora, sculpture qui représente une effigie, en cire et grandeur nature, du défunt pape Jean-Paul II terrassé par une météorite. Mais c'est malgré lui que ses œuvres deviennent des stars du marché. Il n'apprécia d'ailleurs pas la revente de La Nona Ora par son collectionneur ; pour illustrer son mécontentement, il scotcha ni plus ni moins son galeriste

survivre. Le médecin a été relaxé par la justice italienne après que l'Ordre des médecins italiens eut approuvé son attitude. 4)En 2005, le cas de Christine Malèvre, infirmière française condamnée. Église catholique Pour le catholicisme, le pape Jean-Paul II en 1995 a jugé que l'euthanasie est en opposition directe avec le 5e commandement: «Tu ne tueras point» . En conséquence, toute forme d'euthanasie est prohibée. En France: Dans un cas personnel, c'est-à-dire pour soi-même: Une demande formelle

de fondamentalement nouveau dans les propos de l'évêque de Rome. Sa position est conforme à la "pastorale à l'égard des personnes homosexuelles" présentée le 1er octobre 1986 par la congrégation pour la doctrine de la foi, sous la houlette de Jean Paul II et du futur Benoît XVI. "Il faut fermement déplorer, affirmait ce texte, que les personnes homosexuelles aient été et soient encore l'objet d'expressions malveillantes et de gestes violents. Pareilles réactions, où qu'elles apparaissent, méritent

Il s'est aussi élevé contre le droit octroyé aux transsexuels de changer de sexe à l'état civil. En septembre 2012, il a critiqué les prêtres refusant de baptiser les enfants nés hors mariage, les qualifiant d'"hypocrites". Le 20 mai 1992, Jean-Paul II le nomme évêque de Auca et évêque auxiliaire de Buenos Aires. Il grimpe alors les échelons de la hiérarchie catholique de la capitale, et revêt finalement la pourpre cardinalice le 21 février 2001. Les premiers mots du pape François Une heure après

que les dignitaires religieux prennent position sur le sujet et essaient alors d'influencer tant le public que la classe politique. Pour commencer, l'Église catholique a progressivement pris position contre la peine de mort, en 1995 le pape Jean-Paul II écrivait que la peine de mort n'était justifiée que « lorsque la défense de la société ne peut être possible autrement. Aujourd'hui, cependant, à la suite d'une organisation toujours plus efficiente de l'institution pénale, ces cas sont désormais

(marqué par l'exode massif des balseros) le conduit, à partir de 1994, à durcir son régime, d'autant que, deux ans plus tard, les États-Unis entreprennent de renforcer le blocus qu'ils imposent à Cuba depuis 1960. Cependant, la visite du pape Jean-Paul II, en janvier 1998, est suivie, un mois après, de la libération, à La Havane, de 200 prisonniers politiques et de concessions sur le statut de l'Église catholique à Cuba (tolérance des revues et bulletins d'information catholiques, reconnaissance de

économique», Revue internationale du travail, 1996-6. Jean Boissonnat, Le travail dans 20 ans. Rapport pour le Commissariat général au Plan, Odile Jacob, 1996. Jean-Louis Laville, Une troisième voie pour le travail, Desclée de Brouwer, 1999. Jean-Paul II, Le travail humain. Laborem exercens, Éd. du Cerf, 1981. Jérémy Rifkin, La fin du travail, Paris, La Découverte, 1996. Karl Marx, Les manuscrits économico-philosophiques de 1844, trad. Franck Fischbach, Paris, Vrin, 2007 Marie-Dominique Chenu, Pour