Pauci Relationnel

cedex 15 Téléphone : 04 56 54 52 50 Fax : 04 56 54 52 60 Site internet : www.kmat.fr RCS : Marseille 225 663 258 N° intracommunautaire :FR 225 663 258 ( Présentation des travaux informatiques Système de Gestion de Base de Données relationnelles (SGBDR) - vérification de la base de données par la représentation des modèles conceptuel et logique - création de tables et mise en place des liens hiérarchiques (relations) - réalisation de requêtes, de formulaires et d’états Tableur

Les règles de passage du MCD au modèle relationnel La traduction des concepts de base du modèle conceptuel est régie par les trois règles suivantes : 1. Toute entité devient une relation. L’identifiant de l’entité devient clé primaire de la relation. C'est à dire que chaque classe d'entité du modèle conceptuel devient une table dans le modèle logique. Les identifiants de la classe d'entité sont appelé clés de la table, tandis que les attributs standards deviennent des attributs de la

DEPENDANCES FONCTIONNELLES 1-Définition d’une dépendance fonctionnelle Une dépendance fonctionnel est un outil de détermination de liens entre les attributs. Ce concept de dépendance fonctionnelle a été défini en 1971 par le père du Modèle Relationnel de Données. Ce concept a pour but de lier les attributs entre eux en fonction des valeurs que celle –ci peuvent prendre. Soit A et B deux attributs d’une relation R .B est en dépendance fonctionnelle de A si pour toute valeur de A on connait

Plan Introduction Le modèle relationnel Génération d’un MLD relationnel Le modèle Codasyl Génération d’un MLD Codasyl Le modèle fichier 2 1 Introduction le point sur la démarche… MCD MOD MLD MPD 3 Introduction Passage du MCD/MOD au MLD • prise en compte – état d’avancement de la technique – contraintes coût / performance • choix d’une technologie logicielle – Système de Gestion de Fichiers – Système de Gestion de Bases de Données relationnel navigationnel objet 4 2

TP 3 : LES BASES DE DONNEES SOUS ORACLE Exercice 1 : Soit le modèle relationnel suivant relatif à une base de données sur des représentations musicales : REPRESENTATION (n°représentation, titre_représentation, lieu) MUSICIEN (nom, n°représentation*, age) PROGRAMMER (dateP, n°représentation*,prix) Remarque : les clés primaires sont soulignées et les clés étrangères sont marquées par * Questions : 1- Décrire les tables qui appartiennent à l’utilisateur System 2- Créer un utilisateur U1 avec sa tablespace

 CHAPITRE 4 Concevoir et améliorer la structure d'une base de données LE MODELE RELATIONNEL La quantité de plus en plus grande de l’information, l’obligation de la trouver et de la traiter rapidement conduisent le plus souvent les organisations à apporter des solutions informatiques à ces problèmes. La gestion des informations dans une organisation devient un élément essentiel de son efficacité. Dans ce cadre l’entreprise va devoir procéder avec rigueur et méthode pour concevoir

physique de la base de données. d) Le niveau physique : A ce niveau, on choisit les outils (matériels, supports) permettant de gérer la base de données. C'est à ce niveau que l'on aura recours aux SGBDR (système de gestion de base de données relationnelle) comme ACCESS II) LE NIVEAU CONCEPTUEL Dés les années 70, plusieurs personnes ont étudié comment ils pouvaient créer un modèle pour améliorer la gestion des informations au sein d'une organisation. 1976 : Peter Chen crée le modèle Entité association

dans les régimes intracommunautaires et externes P10    -Modèle conceptuel, relationnel et cardinalités -Réalisation de requêtes Démarches mobilisées : Fichiers mis à disposition : Les fichiers mis à disposition ont été : K MAT. Mdb Productions réalisées : Au cours de l’activité professionnelle de synthèse nous avons pu imprimer des documents, tel que : -Le modèle conceptuel de données - Le modèle Relationnel Analyse des résultats obtenus : Grâce à cette APS notre objectif a été atteint

| |l'aide d'un système de gestion de bases de données relationnel. Elle est |Prise en charge des contraintes d'intégrité : type, clé primaire et clé | |définie par son schéma (la structure) et son contenu (les valeurs). |étrangère | | |Les opérateurs relationnels | |

12 – LE LANGAGE S.Q.L. Les exemples cités s’appuient sur le modèle relationnel suivant : CLIENT (Num_cli, Nom_cli, Adrue_cli, Cp_cli, Ville_cli, Paiement_cli, Date_1ere_commande, Code_type) TYPE_CLIENT (Code_type, Intitulé_type) qui a généré deux tables du même nom dans une base de données. 1 Présentation Le langage SQL (Structured Query Language ( Langage structuré d’interrogation ou de requête) permet de manipuler les bases de données afin entre autres d’en obtenir des informations