Pauca Meae Mors

qui a réfléchi longtemps aux occasions manquées. Hugo, Oh Je fus comme fou 1. L’expression de la souffrance 2. L’expression de la folie Chef de file du mouvement romantique, Hugo retrace sa vie dans son recueil Les contemplations. La livre 4 « Pauca Meae » est un livre de deuil. Le 4 septemble 1843, Léopoldine et son mari se noient dans la Seine. Hugo médite surcet abîme qui sépare hier et aujourd’hui. Ses poèmes sont placés dans un ordre déterminé, comme pour suggérer un enchaînement logique des

plus beaux poèmes de la poésie française. Victor Hugo y est à l'apogée de son art poétique. Préface Dans un premier temps nous évoquerons le thème de la mort à travers 5 poèmes de la partie « Pauca Meae » livre IV * Elle avait pris ce pli * O je fus comme fou * Demain dès l’aube * Mors * 4 septembre 1843 Par la suite nous évoquerons le thème de la nature à travers des poèmes du livre premier * Le poète s’en va * Vere Moro Pour finir nous aborderons le thème de

Victor Hugo, Les Contemplations (livre IV : « Pauca Mea »)Victor Hugo, Les Contemplations (livre IV : « Pauca meæ ») (source : http://gallica.bnf.fr) Préface Si un auteur pouvait avoir quelque droit d'influer sur la disposition d'esprit des lecteurs qui ouvrent son livre, l'auteur des Contemplations se bornerait à dire ceci: Ce livre doit être lu comme on lirait le livre d'un mort. Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes. Grande mortalis aevi spatium. L'auteur a laissé, pour ainsi dire

aussi, la tache noire ! - Quoi, toujours ? Entre moi sans cesse et le bonheur ! Oh ! C’est que l’aigle seul - malheur à nous, malheur ! - Contemple impunément le Soleil et la Gloire. Gérard de Nerval, Les Petits Châteaux de Bohême, 1852 Mors Marcel ROUX - Danse macabre. 1904 - 1905 Dans ce poème romantique, Victor Hugo voit la mort et la décrit mais il assiste aussi aux réactions des Hommes face à celle-ci. Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ. Elle allait à grands

ses souvenirs, ses premiers amours, ou le début de ses luttes littéraires. L'âme en fleur : Ce livre parle particulièrement d'amour. Les luttes et les rêves : Dans ce livre , il commence a évoqué la misère qu'il observe dans le monde. Pauca Meae : Ce livre est consacré a sa fille, morte noyée. En marche : Il parle de son regain d'énergie, de son attirance pour la nature. Au bord de l'infini : Ce livre parle beaucoup de méditation, avec une ambiance “fantastique”, il parle de fantômes

Victor Hugo, Les Contemplations (livre IV : « Pauca meæ ») (source : http://gallica.bnf.fr) Préface Si un auteur pouvait avoir quelque droit d'influer sur la disposition d'esprit des lecteurs qui ouvrent son livre, l'auteur des Contemplations se bornerait à dire ceci: Ce livre doit être lu comme on lirait le livre d'un mort. Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes. Grande mortalis aevi spatium. L'auteur a laissé, pour ainsi dire, ce livre se faire en lui. La vie, en filtrant goutte

.................................................................... XXX. Magnitudo parvi................................................................. TOME II AUJOURD’HUI 1843-1856 ..................................... 9 LIVRE QUATRIÈME PAUCA MEÆ ........................................ 10 I.................................................................................................. 11 II. 15 février 1843 ..................................................................... 13 III.

non disponible de ce titre. - " Qu'est-ce que les Contemplations ? C'est ce qu'on pourrait appeler [...] les Mémoires d'une âme. " Préface - " Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ. [...] Noir squelette laissant passer le crépuscule. " Mors - " Depuis quatre ans, j'habite un tourbillon d'écume ; Ce livre en a jailli. Dieu dictait, j'écrivais ; Car je suis paille au vent. Va ! dit l'esprit. Je vais. " A celle qui est restée en France " Le plus beau livre de vers personnels dont puissent

de trois livres chacun. Ces «mémoires d'une âme» s'élèvent par degrés de l'évocation paisible d'un bonheur individuel (‘’Un soir que je regardais le ciel’’) à la méditation douloureuse mais apaisée sur le grand deuil de 1843. Sous le titre de ‘’Pauca meae’’, emprunté à Virgile, Hugo dédie à la mémoire de sa fille disparue quelques-uns de ses vers les plus émouvants, puis le rappel du premier drame de l'histoire humaine (Adam et Ève pleurant sur leur fils dans ‘’Les malheureux’’) jusqu'à la vision

de trois livres chacun. Ces «mémoires d’une âme» s’élèvent par degrés de l’évocation paisible d’un bonheur individuel (‘’Un soir que je regardais le ciel’’) à la méditation douloureuse mais apaisée sur le grand deuil de 1843. Sous le titre de ‘’Pauca meae’’, emprunté à Virgile, Hugo dédie à la mémoire de sa fille disparue quelques-uns de ses vers les plus émouvants, puis le rappel du premier drame de l’histoire humaine (Adam et Ève pleurant sur leur fils dans ‘’Les malheureux’’) jusqu’à la vision