Pâturage

peuplés, sauf Andes (densité rurale) et Montagnes d'Afrique (Ethiopie) *agriculture d'auto-subsistance *les maladies baissent avec l'altitude (trypanosomiase qui touche le bétail) *on peut donc avoir des bovins, les faire paître dans les pâturages, etc … Au delà de 40 habts au km², avec le défrichement des forêts, les maladies diminuent. Mais défricher signifie des moyens, déplacement de populations, il faut qu'il y ait un réel intérêt. La pop mondiale augmente... aura-t-on assez de terres

de la chaîne alimentaire (producteurs, consommateurs et décomposeurs). 2.Causes Il existe deux facteurs qui sont les causes de la déforestation : _ Les activités humaines : Il y a tout d’abord l’expansion des terres agricoles et des pâturages : l’homme a de plus en plus besoin de terres pour pouvoir exercer sa fonction d’agriculeutr-éleveur et c’est pour cela qu’il empiète sur les espaces forestiers. Une autre cause est celle de l’exploitation du bois pour les divers domaines tels que

et célèbre féria. La féria est une fête populaire existant depuis 1952 qui dure six jours à la Pentecôte et de trois jours en septembre pendant lesquels on peut assister à des corridas, à des abrivados qui es la conduite des taureaux depuis les pâturages jusqu'aux arènes , voir déambuler et écouter les fanfares, danser la sévillane jusque tard dans la nuit dans les bodegas, manger une paëlla dans un village camarguais ou sévillan, assister à des concerts, regarder les joutes sur le canal de la Fontaine

incroyable que cela puisse paraître, 70% du bois exploité en scierie termine en déchets. L’Agriculture L'exploitation agricole est une des plus importantes causes de déforestation en Amazonie Extension des zones de pâturages La conversion en terres agricoles de pâturages, induite par l’explosion démographique et la recherche de productivité agricole montre le développement de l’élevage de bétail gourmant en zone de pâture. Les plantations de palmiers à huile Ces plantations servent à

conserver les espèces patrimoniales et de la biodiversité ordinaire. Le risque d'incendie constitue une menace pour la biodiversité, alors que (en 2006) plus de 50 % des dégâts découleraient de 12 % des mises à feu liées aux pratiques d'entretien de pâturages ou chemins et zones de chasse. 15 % des incendies seraient dus à la foudre, mais n'étant responsable que de 1 % des destructions (en surface). Durant la canicule de 2003, près de 20 000 ha ont brûlé avec environ 500 mises à feu[3], le problème des

O'Connell Street. [pic] CONNEMARA Montagnes et nuages qui s'y accrochent, tourbières et lacs, pluies et soleil (parfois en même temps !), lumière tout aussi changeante, landes rousses désertes à l'exception de quelques moutons blancs, verts pâturages entourés de murets de pierre biscornus, fuchsias roses... pas de doute, vous êtes dans le Connemara Le Connemara, la nature sauvage à perte de vue [pic] Le Connemara - © Chalky Lives - Licence CC Du fait de sa nature luxuriante, le Connemara

On en entend de plus en plus parler, mais savez-vous ce qu’est l’agroforesterie ? C’est une technique qui consiste à associer, sur une même parcelle, une production agricole (culture ou pâturage) à une production d’arbres. L’introduction de rangées d’arbres pour une densité de 30 à 150 arbres par hectare, dans des parcelles cultivées ou pâturées, permet d’instaurer des relations de complémentarité au bénéfice de la production et des paysages. Connus et pratiqués depuis des siècles, notamment

climatiques vont devenir une cause majeure de disparition des espèces. Il y a aussi la dégradation de l’habitat qui peut être aussi physique. Un exemple, la destructions des forets tropicales humides et son replacements par des champs et des pâturages. Comme les forets tropicales de l’Amazonie et du bassin du Congo, celle d’Asie du sud-Est est menacée par la déforestation . Ce n'est pas la présence de l'homme qui détruit la biodiversité sur terre mais les activités qu'il entreprend

regroupés. Il en est ainsi des moissons auxquelles, en été, tout le village participe. Puis les bêtes du village (vache, chevaux, moutons, chèvres) vont en pâture sur les terres qu’elles fertilisent .Le terroir est donc constitué par des champs et pâturages. Quand aux bois et aux forets ils servent à la fois de lieux de pacage pour le bétail et de réserve de bois. Le seigneur y chasse. Les villageois, eux, peuvent se spécialiser et devenir forgerons, menuisiers ou charpentiers. LE CHATEAU Le

milieu est aussi hostile que varié et le manque d’eau reste la plus grande préoccupation pour les hommes et leurs montures. Aussi, les chevaux qui y vivent doivent se contenter de peu : quelques touffes d’herbes, quelques dattes, et les maigres pâturages trouvés au gré des chemins. Lorsqu'ils vivent avec les hommes, cette nourriture peut être complétée avec du lait de chamelle, et les nomades donnaient parfois de la viande séchée à leur monture car cela les aidait à recouvrer leur force.Dans sa région