Patagonie

« Los grandes yacimientos de cobre fueron explotados, en el siglo pasado, por grandes compañías norteamericanas pero en 1971 el presidente Salvador Allende nacionalizó las minas. » Dans l’encadré n° 3, il est question de l’exploitation forestière en Patagonie : « Actualmente, varios inversores extranjeros desarrollan proyectos de explotación maderera que amenazan el bosque y el ecosistema de Tierra del Fuego. » 202 algo mÁs On pourra dire aux élèves que ce ne sont là que des exemples parmi d’autres

mers sauvages et lointaines où il roule l’île de son corps massif ; et les périls sans nom auxquels il vous expose et contre lesquels on ne peut se prémunir. Tout cela et les merveilles par milliers promises à mes yeux et à mes oreilles par la Patagonie firent pencher ma décision du côté de mon vœu. Pour d’autres, ces motifs n’auraient peut-être pas constitué une tentation, mais moi, une éternelle démangeaison des choses lointaines me tourmente. J’adore naviguer sur des mers interdites et poser

Pacifique et des Philippines Connaissances géographiques ● Contact avec d’autres populations ● Représentation du monde ● Vision mythique des Patagons Les Philippins entre hospitalité et hostilité ● Encore mythique (hommes et oiseaux géants de Patagonie), mais ouvrant de nouveaux horizons (Philippines). BILAN Le but de Magellan est le même que celui de Colomb : parvenir aux îles aux épices d’ExtrêmeOrient. Une fois contournée la Terre de Feu, un défi inattendu est relevé, avec la traversée en trois

l'archéologie américaine, l'économie politique et sociale, l'histoire physique et morale du nouveau continent. Emule de Humboldt, Alcide d'Orbigny verse le » tra- Parana et ses afïluents, parcourt les pampas dans tous les sens, séjourne en Patagonie, passe au Chili et en Bolivie. Son long voyage qui dura sept années se termine par le Pérou. Le compte-rendu qu'il en fit, sous le titre Voyage dans l'Amérique méridionale (1835-1849), constitue une œuvre d'une réelle valeur littéraire et dont le

juges : « Voici un mauvais orage. » Tu l’acceptes et tu le mesures. Je t’apporte ici, Guillaumet, le témoignage de mes souvenirs. Tu avais disparu depuis cinquante heures, en hiver, au cours d’une traversée des Andes. Rentrant du fond de la Patagonie, je rejoignis le pilote Deley à Mendoza. L’un et l’autre, cinq jours durant, nous fouillâmes, en avion, cet amoncellement de montagnes, mais sans rien découvrir. Nos deux appareils ne suffisaient guère. Il nous semblait que cent escadrilles,

mai 1992, M, 62) « C’est le bout du bout de la terre. (…) Il y a une ivresse, une sorte d’abus esthétique, une overdose de beauté. » (Afrique du Sud, Johannesburg / 2 mai 1993, M, 85) « Je t’offre le printemps du monde, celui de la Patagonie, de l’île de Chiloé, celui de l’Inde du Nord, du Sanzkar, de la Mongolie extérieure. » (M, 93) « Je suis dans l’Eldorado, la forêt-rêve. Celle des mirages. La forêt impartageable. L’Amazonie est la première page de la Genèse qui reste encore

tu juges : « Voici un mauvais orage. » Tu l'acceptes et tu le mesures. Je t'apporte ici, Guillaumet, le témoignage de mes souvenirs. Tu avais disparu depuis cinquante heures, en hiver, au cours d'une traversée des Andes. Rentrant du fond de la Patagonie, je rejoignis le pilote Deley à Mendoza. L'un et l'autre, cinq jours durant, nous fouillâmes, en avion, cet amoncellement de montagnes, mais sans rien découvrir. Nos deux appareils ne suffisaient guère. Il nous semblait que cent escadrilles, naviguant

tu juges : « Voici un mauvais orage. » Tu l'acceptes et tu le mesures. Je t'apporte ici, Guillaumet, le témoignage de mes souvenirs. Tu avais disparu depuis cinquante heures, en hiver, au cours d'une traversée des Andes. Rentrant du fond de la Patagonie, je rejoignis le pilote Deley à Mendoza. L'un et l'autre, cinq jours durant, nous fouillâmes, en avion, cet amoncellement de montagnes, mais sans rien découvrir. Nos deux appareils ne suffisaient guère. Il nous semblait que cent escadrilles, naviguant

juges : « Voici un mauvais orage. » Tu l'acceptes et tu le mesures. Je t'apporte ici, Guillaumet, le témoignage de mes souvenirs. Tu avais disparu depuis cinquante heures, en hiver, au cours d'une traversée des Andes. Rentrant du fond de la Patagonie, je rejoignis le pilote Deley à Mendoza. L'un et l'autre, cinq jours durant, nous fouillâmes, en avion, cet amoncellement de montagnes, mais sans rien découvrir. Nos deux appareils ne suffisaient guère. Il nous semblait que cent escadrilles, naviguant

et ils étaient considérés comme des géants. - Au 19e siècle, ce sont les Tutsis qui on été considérés comme un peuple de géants. - Magellan, au témoignage de son chroniqueur, durant son tour du monde, croit avoir découvert des géants en Patagonie (sud de l’Amérique) Cf. pages 8-9 du syllabus : ces géants patagons sont tels que l’homme le plus grand de l’équipage arrive juste à la taille des ces hommes. C’est sûrement une exagération épique, une hyperbole. Les traditions populaires ne se