Pascal Les Pensées Fragment 282

.............................. 279 Savoir prendre vite les décisions qui doivent intervenir très tôt dans le processus................................................................................... 282 Choisir la méthode et le rythme de l’intégration........................................ 282 Politiques de personnel et préoccupations des DRH................................... 283 Impliquer et motiver le personnel en proposant des challenges visant 1 + 1 = 3..................................

.............................. 279 Savoir prendre vite les décisions qui doivent intervenir très tôt dans le processus................................................................................... 282 Choisir la méthode et le rythme de l’intégration........................................ 282 Politiques de personnel et préoccupations des DRH................................... 283 Impliquer et motiver le personnel en proposant des challenges visant 1 + 1 = 3..................................

suis quelqu’un de chanceux ». Oui, en effet, j’ai eu et continue à avoir de la chance à bien des égards et cette thèse n’a pas dérogé à la règle. D’abord, de la chance de par la quantité de personnes qu’elle m’a permis de connaître et de côtoyer. Je pense bien sûr à tous les membres du centre génie industriel dont il serait un peu long de citer tous les noms. J’accorderai tout de même une place spéciale à Lionel, Franck, Elise, Fred, Seb, Saïna, François ou Thomas pour leur bonne humeur et les bons

Roger Mvita, coordonnateur d’AfriMAP au bureau d’OSISA pour la RDC, qui a dirigé tout le processus en s’assurant avec professionnalisme du bon déroulement de toutes les étapes de la recherche. Ce rapport a été réalisé sous la direction éditoriale de Pascal Kambale, directeur adjoint d’AfriMAP. Il a bénéficié de précieuses contributions de Bronwen Manby, conseillère spéciale d’AfriMAP. R . D . C O N G O : D É M O C R AT I E E T P A R T I C I P AT I O N À L A V I E P O L I T I Q U E xvii Partie I

Limoges. Boris MELLONI : professeur de pneumologie, CHU Limoges. Sylvie NADALON : interniste et endocrinologue, médecin attachée CHU Limoges. Alain RATTI : psychiatre, attaché CHS Limoges. Philippe SAUVAGE : professeur de chirurgie ORL, CHU Limoges. Pascale SORIA : interniste, angéiologue, médecin des hôpitaux, CH de Perpignan. Agnès SPARSA : dermatologue, chef de clinique, CHU Limoges. François TABARAUD : neurologue, médecin des hôpitaux, CHU Limoges. Christian TERLAUD : interniste, médecin des hôpitaux

.......................................................................................................... 281 ANNEXES ............................................................................................................................. 282 Sommaire des annexes ............................................................................................................................ 283 Manel BENZERAFA 11 INTRODUCTION GÉNÉRALE Manel BENZERAFA 12 L’instrumentation

théorique, au CRG (France). Je remercie aussi tous les professionnels français, allemands, italiens et américains qui ont contribué, par leur expérience pratique et par leur esprit critique, à construire un chemin de réflexion et de recherche. Une pensée est consacrée aussi aux équipes permanentes des fédérations nationales de la distribution industrielle (FENETEC, FNDI, VTH, VSTH, VTA, DPRA). Pendant ces quatre années leur contribution a été précieuse. En particulier je remercie le comité de direction

n’existait pas de moyen d’apprendre facilement la programmation. Il n’y avait pas internet. . . eh oui, cette époque a existé ! Durant mon adolescence j’ai continué mon apprentissage en essayant différents langages, comme le C++ ou l’assembleur, le turbo pascal et autres joyeusetés. La plupart étaient inaccessibles, notamment le C++. Quelques livres en bibliothèque ont fini dans la mienne mais ils étaient tous bien incompréhensibles. . . je me souviens même d’un livre qui promettait de pouvoir créer un jeu

pas leur précédente création comme un frein à la recherche de financement ou d’autres types d’aides à la création pour leur entreprise nouvellement créée. Concernant les répondants envisageant sérieusement de créer une nouvelle entreprise, la moitié pense le faire dans les 12 prochains mois (48%) et 43% d’ici trois ans. Une même proportion utiliserait le même objet social que celui utilisé lors de leur précédente création (49%), 39% changeraient le statut de leur entreprise. S’ils étaient amenés à créer

de ces institutions, ainsi que plusieurs autres personnes dont nous n’avons pas pu mentionner les noms ici, pour les contributions précieuses qu’ils ont apportées à la réussite de ce projet. Ce rapport a été publié sous la direction éditoriale de Pascal Kambale, directeur adjoint d’AfriMAP. Il a bénéficié de précieuses contributions de Bronwen Manby, conseillère principale de programme à AfriMAP, et Ibrahima Kane, coordonnateur de plaidoyer de l’Open Society Institute à l’Union africaine. Thierry