Pascal Imagination Seconde Nature

personnages invraisemblables grâce à la liberté créative possible dans les œuvres artistiques. En effet, nous pouvons premièrement constater que l‘existence de certains personnages est exclusivement limitée à l’univers romanesque, du à leur physionomie ou nature. De nombreux auteurs éloignent délibérément leurs récits de la réalité connue par les lecteurs en y insérant des éléments impossibles à retrouver dans l’univers du réel. Notamment, de nombreux romans comportent des personnages principaux non-humains

simplement une forme particulière du discours. Cependant cette définition est si large qu'elle ne nous aide guère à repérer ces formes typiques et remarquables qu'on associe ordinairement aux figures. C'est pourquoi Quintilien lui en préfère une seconde qu'a retenue la tradition rhétorique, à quelques variantes près. I.2. La définition restreinte ou la figure comme écart Quintilien propose de comprendre la figure comme un changement raisonné du sens ou du langage par rapport à la manière ordinaire

pour ainsi dire, en suspens. Nous envisagerons donc plusieurs compréhensions possibles du terme de rhétorique, et nous les confronterons à cette idée encore un peu vague de puissance, tâchant de la préciser davantage en déterminant à chaque fois sa nature, son effectivité et sa légitimité en fonction de la rhétorique en question. Dans tout les cas, il s’agit de la question de l’action de la langue dans le monde. Le langage est-il directement source d’action ou simple action par procuration ? Et l’efficience

unique souci, de "tout regarder et de tout dire".    C'est en 1866 que Zola recommandait "la méthode d'observation basée sur l'expérience même". Il prêchait bientôt d'exemple avec Thérèse Raquin (1867). "J'ai voulu, écrivait-il dans la préface de la seconde édition, étudier des tempéraments et non des caractères". Et d'expliquer que Thérèse et Laurent étaient des "brutes humaines", que son but avait été " scientifique avant tout; que chaque chapitre était "l'étude d'un cas curieux de physiologie"; qu'il

nous, qu’elles ne sont pas dépendante de nous, entrainées çà et là par notre imagination : elles ont par elles-mêmes un rapport à leur propres réalités conformément à leur nature. ».  Il y a l’idée de réalité stable : il infère des relations la négation du relativisme. On n’est pas dans un relativisme absolu ; on ne change pas d’une réalité à l’autre, il y a une certaine persistance. Les choses ont donc une certaine nature qui s’imposent en parti à notre perception qui est distinguée du dérèglement

cette expérience sensible, elle n’est acquise, par nature ici, qu’au terme d’une exploration et d’une recherche, qui ont dû avoir leurs propres principes d’organisation et où la sensibilité perceptive et réceptive n’est pas tout). Pour se demander si les sens ne sont pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances, il faut d’abord apercevoir dans quelle mesure et de quelle manière ils nous fournissent des connaissances et quelle est la nature des connaissances qu’ils nous fournissent ; ensuite

La technique ANNAH ARENDT : technique pas naturelle mais acquise. ex  : les techniques de guerre évolue entre la première et la seconde guerre mondiale. Technique = constitue un critère de valeur d’une civilisation(= progrès accomplis par l’humanité) . Par la maîtrise de la nature par les humains, elle permet d’améliorer la vie humaine. BACON : Le progrès que l’humain développe depuis plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes

suppose que sa nature soit bonne. Or, il suffit d'observer pour s'apercevoir que tout est relatif. La raison de l'homme n'est qu'apparente car ses valeurs sont relatives « chacun appelle la barbarie ce qui n'est pas de son usage » (Essais, I, 31). De plus son imagination fausse son jugement : Michel de Montaigne illustre cette pensée par l'image d'un philosophe enfermé dans une cage « suspendue au haut des tours de Notre-Dame de Paris » qui ne risque rien mais qui tremble de peur. Blaise Pascal au 17éme

(Copernic, Kepler, Galilée, Newton) 28 Nicolas Machiavel (1469-1527) 29 Etienne de La Boétie (1530-1563) 29 Michel de Montaigne* (1533-1592) 30 Thomas Hobbes (1588-1679) 30 La modernité (xviie siècle) 31 René Descartes (1596-1650) 31 Blaise Pascal* (1623-1662) 32 Baruch Spinoza* (1632-1677) 33 John Locke (1632-1704) 33 Wilhelm Leibniz (1646-1716) 33 Georges Berkeley (1685-1753) 34 Les Lumières (xviiie siècle) 34 Charles-Louis de Montesquieu (1689-1755) 34 David Hume (1711-1776) 34 Jean-Jacques

SHAKESPEARE Introduction William Shakespeare, largement considéré comme le plus grand poète, dramaturge et écrivain de la culture anglo-saxonne, est réputé pour sa maîtrise des formes poétiques et littéraires; sa capacité a présenter les aspects de la nature humaine est souvent mise en avant par ses amateurs. Origine de la culture occidentale, Shakespeare continue d’influencer les artistes du monde d’aujourd’hui. Il est traduit dans un grand nombre de langues et ses pièces sont régulièrement jouées