Pas de femmes

1783, essai extrait de l'oeuvre Des femmes et de leur éducation rédigé à l'occasion d'un concours académique sur le perfectionnement de l'éducation des femmes ♫ Laclos (18e) : écrivain des Lumières, auteur des Liaisons dangereuses, réputation de libertin (malgrès son mode de vie et le concours) ♫ Objectif 18e (siècle Lumières) : liberté de l'homme et de la femme. La place de la femme dans la société est une question majeure Un texte polémique ♫ apostrophe "ô femmes" = appel ♫ temps dominant : impératif

Dès leur naissance, les filles étaient sous l’influence de leur père, puis ensuite sous celle de leur mari, elles étaient toujours dépendantes des hommes. Au sein de leur foyer elles devaient servir leur mari et être des épouses modèles. Les femmes gardaient leur virginité jusqu’au mariage. Elles n’avaient aucun droit politique, elles n’avaient pas non plus celui de travailler parce qu’elles devaient garder toute leur attention pour les taches féminines et domestiques. Il y avait moins d’écoles

part entre une utilisation plus libérale du corps féminin grâce à l’émancipation des années 1960 et d’autre part entre une sensibilité plus forte de la société à l’encontre de tout ce qui pourrait affecter la dignité des femmes. Alors finalement porte-t-on préjudice aux femmes ? Utilise-t-on de façon abusive le corps de la femme ? Voilà en quoi réside la problématique de mon dossier. Pour répondre à cette question, j’ai utilisé les différentes méthodes d’analyse suivantes : * Osgood

Anatomie et physiologie et différence hommes/femmes 1/ANATOMIE DE L’APPAREIL GENITAL DE L’HOMME La verge Il s’agit de l’organe masculin (pénis) de la copulation (la pénétration). Fixée au pubis recouvert de poils dont la répartition se fait de manière triangulaire pointe en haut, elle se modifie lors des érections. Sa forme et sa taille sont variables selon que celle-ci se trouve au repos ou en érection ; la taille en érection n’est pas proportionnelle à la taille au repos. Il existe bien

APOLLINAIRE : LES FEMMES Dans la maison du vigneron les femmes cousent Lenchen remplis le poêle et mets l'eau du café Dessus - Le chat s'étire après s'être chauffé - Gertrude et son voisin Martin enfin s'épousent Le rossignol aveugle essaya de chanter Mais l'effraie ululant il trembla dans sa cage Ce cyprès là-bas a l'air du pape en voyage Sous la neige - Le facteur vient de s'arrêter Pour causer avec le nouveau maître d'école - Cet hiver est très froid le vin sera très bon - Le

 dans les Femmes savantes, Moliere a reprit ses Precieuses ridicules en les transformant. Moliere nous montre les ravages que la passion de la science chez les femmes exerce dans une famille. La maitresse de maison, Philaminte, oublie ses devoirs d'economie domestique, pour ecouter des savants et des poetes et pour fonder une academie. A cette manie elle sacrifie meme ses devoirs de mere : elle veut marier sa fille Henriette, qui a echappe a son influence, a un pedant grotesque et malhonnete, Trissotin

« Ô femmes ! approchez et venez m’entendre. Que votre curiosité, dirigée une fois sur des objets utiles, contemple les avantages que vous avait donnés la nature et que la société vous a ravis [2]. Venez apprendre comment, nées compagnes de l’homme, vous êtes devenues son esclave, comment, tombées dans cet état abject, vous êtes parvenues à vous y plaire, à le regarder comme votre état naturel ; comment enfin, dégradées de plus en plus par une longue habitude de l’esclavage, vous en avez préféré

Jean-Baptiste Poquelin dit Molière, génie de la littérature, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Ses nombreuses pièces de théâtres ont fait de lui un auteur célèbre. Dans la comédie de mœurs intitulée Les femmes savantes parut en 1672, Molière critique principalement les pédants et les poètes « de cour », notamment les personnages de Trissotin et Vadius. Dans cette scène, il est question du renvoi de Martine par sa maîtresse pour avoir commis une faute de grammaire (un solécisme). C’est

étranger, elle perd sa nationalité française et donc aussi son emploi si elle est fonctionnaire… C’est l’homme qui transmet son nom et sa nationalité à l’enfant. 1903 Suffragettes : en Grande-Bretagne est fondé « l’Union politique et sociale des femmes » pour réclamer le droit de vote. Elles manifestent dans la rue, organisent des meetings, publient des articles et pétitions… Droit accordé en Australie (1903), Finlande (1906), Norvège (1913), Russie (1917), Royaume-Uni (1918), Allemagne (1919)

LA MAISON DES FEMMES DE PARIS Mouvements de Femmes 1789 : les femmes revendiquent : · Le droit à l’instruction primaire · Le droit au travail · La protection de la loi pour les femmes abandonnées et des filles-mères · Le droit à la santé (le droit à des sages-femmes expérimentées) · La réforme du mariage et le droit au divorce . L’accès à la citoyenneté 1791 : En publiant la "Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne"