Parties Prenantes Du Groupe Lafarge

D’INVESTISSEMENT PREMIERE PARTIE : FONDAMENTAUX DE LA GESTION DE PORTEFEUILLE CHAPITRE 1 : RENTABILITE ET RISQUE QUELLE MODELISATION ? SECTION 1 : LA RENTABILITE SECTION 2 : LE RISQUE SECTION 3 : PARAMETRAGE PREVISIONNEL CHAPITRE 2 : LA THEORIE MODERNE DE GESTION DE PORTEFEUILLE. SECTION 1 : CADRE DESCRIPTIF DE LA THEORIE MODERNE DE GESTION DE PORTEFEUILLE SECTION 2 : CADRE TECHNIQUE DE LA THEORIE MODERNE DE GESTION DE PORTEFEUILLE SECTION 3 : LES INDICATEURS DE MESURE DE PERFORMANCE DEUXIEME PARTIE : CONSTRUCTION

gestion du risque client chez Marsa Maroc https://www.mawarid.ma/document-1224.html Analyse de la performance du système d'information de la société Triex https://www.mawarid.ma/document-1694.html Analyse de la procédure budgétaire chez le groupe OCP https://www.mawarid.ma/document-1357.html Analyse de la procédure d’appréciation du risque de crédit chez la Banque Populaire https://www.mawarid.ma/document-1932.html Analyse de la rentabilité de l’activité de change chez la BMCE Bank

M. Yvon PESQUEUX M. Jacques ROJOT Professeur Associé au Groupe HEC Professeur à l’Université Paris I PanthéonSorbonne, Rapporteur Date de la soutenance : 25 septembre 1997 INTRODUCTION 1 «Autant jusqu'à maintenant, ce sont des valeurs de succès individuel, de rémunération personnelle, de développement unique des individus qui importaient et fondaient les règles de notre société, autant, dans dix ans, c'est une morale de groupe qui apparaîtra, assortie d'une responsabilité et d'une rétribution

................................................... 17 2.1 LE PORT SEC SOUS DOUANE MIS EN SERVICE ....................................................................................... 17 2.2 LA ZONE D’ACTIVITES LOGISTIQUE (ZAL) OPERATIONNELLE A PARTIR DE 2015 ................................ 19 2.3 CONTENEURS ....................................................................................................................................... 20 2.3.1 Qu’est-ce qu’un « Conteneur » ? ..........

responsabilité sociale comme forme de démocratisation de la gouvernance d’entreprise Fabrice Caudron - Yannick Schwamberger .......................................................................................................... p. 79 RSE et parties prenantes : une entreprise contractuelle et universelle ? Didier Cazal ...................................................................................................................................................................... p. 85 La RSE :

Les Cercles du CIGREF Matinée du 17 avril Le Métier Influence Société de l’information Ecosystème informatique Entreprise Le Métier Intelligence Le SI au service des métiers et de la DG La performance durable des SI Le Management de la fonction SI Groupes d’échanges de pratiques La Recherche au CIGREF Le SI du CIGREF Livrables et publications Fondation CIGREF Partenariats International Le mot du Délégué Général L’équipe des Permanents Les entreprises membres en 2007-2008 1 2 3 4 5 5 6 6 7 8 9 9 10

publics mène sa communication en relation avec des enjeux stratégiques de politique développement durable, et d’autre part, si cette stratégie de communication se sert du concept développement durable comme support de communication ou bien, si elle fait partie intégrante de la stratégie d’entreprise citoyenne. I. 1) Qu’est ce que le Développement durable ? ___________________________________ 6 a. b. a. Définitions ___________________________________________________________ 6 Quelques citations

indirectement. La question qui se pose est double : existe-t-il des méthodes permettant l'analyse exhaustive de ces variables, et comment, en fin de compte, seront élaborées les décisions stratégiques ? La présente série tente de répondre à la première partie de la question. Il existe des méthodes permettant d'analyser une à une et parfois en les croisant, les variables pertinentes de la réflexion stratégique. Mais l'existence d'outils ne doit pas constituer un leurre : la qualité de la démarche réside

producteurs et fabricants alimentaires. ISO 22000 a comme objectifs : - Rencontrer les principes HACCP du CODEX - Harmoniser son contenu aux normes et rŽfŽrentiels existants - Etre auditable ˆ la fois pour les audits internes et des audits de tierce partie. - Avoir une structure compatible avec ISO-9000 et ISO-14000 - Permettre la communication des concepts HACCP. *HACCP : (syst•me d'analyses des risques au point critique) 4 M a r o c Q u a l i t Ž N LÕAGRO-ALIMENTAIRE Ë LA RECHERCHE DÕUN NOUVEAU

taille critique essentielle à son développement et à sa pérennité. C’est notamment le cas dans certains secteurs où la publicité et la recherche et développement jouent un rôle prépondérant dans la survie de l’entreprise où leurs coûts représentent une partie importante du chiffre d’affaire ( entre 10% et 20%). Dans le secteur pharmaceutique, les sociétés sont obligées de réaliser un certain chiffre d’affaire afin de leur permettre de financer la recherche et développement (CA : au minimum deux milliards