Parties Prenante Selon Crozier

Formalisation (degré de précision dans la définition des fonctions) Tous les critères qui permettent de différencier des entreprises (taille, nb de salariés, structure, CA) sont des facteurs de contingence * Mintzberg Organisation découpée en 6 parties : _ le centre opérationnel : Membres dt le travail est directement lié à la production de biens/serv. _ le sommet stratégique : Membres aux responsabilités les plus larges, assurent la bonne organis. _ la ligne hiérarchique : Membres entre le

est passé en anglais où il a donné « to manage » et « management », il a subsisté en français en équitation au travers du mot « manège ». On peut remarquer que le substantif « mesnage » et le verbe « mesnager » ont également désigné en français à partir du XVIIe siècle « l'art de gérer les affaires du ménage », c'est-à-dire « conduire son bien, sa fortune et ses domestiques de façon judicieuse » . Cette famille de termes a évolué au fil du temps : d'abord pour signifier l'idée d'une gestion des

Guère de mois non plus qui n’évoque l’un ou l’autre échec retentissant. Les rapprochements réussis ne peuvent faire oublier les dérapages qui résultent d’une intégration manquée pour avoir négligé de prendre en compte les spécificités culturelles des parties en présence. L’exemple cité en exergue offre cependant quelques particularités. Présenté comme "la fusion entre un dinosaure des télécoms et une star du téléphone mobile", il interpelle dans la mesure où l'acquéreur respecte la culture d'une société

n’acceptent pas, d’un avenir qu’ils ne décident pas » Pierre VERDIER TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION ................................................................................................................................. 6 PREMIERE PARTIE : Le cadrage historique, le dispositif institutionnel, le cadrage conceptuel et théorique .............................................................................. 13 1. L’approche historique, législative et organisationnelle de la protection

vu sa rigidité, elle ne peut pas s’adapter facilement aux évolutions de son environnement. Il résiste et ne peut pas opérer le changement qu’à travers les crises alternant des longues périodes de routine et de crises, comme l’énonce l’historien Crozier. Une société qui tombe dans la routine ne connait plus de révolution, en effet, la lune de miel de la république et ses grandes réformes sont passées, elle est maintenant bien ancrée avec plus de contestation à droite. On est face à une société d’après

mercatiques et technologiques) ● Les types d’activité, les métiers associés (compétences attendues) et le périmètre géographique (local, national, européen, international) Les organisations doivent être capables de créer de la valeur pour toutes les parties prenantes. Les caractéristiques de l’environnement actuel Environnement : regroupe tous les acteurs proches et lointains dont les décisions et les actions peuvent influencer plus ou moins directement et fortement ses activités. → Macro (ensemble des acteurs)

SMITH), Frederick TAYLOR, ingénieur de formation postule qu’il existerait un modèle idéal d’organisation. Ce modèle reposerait sur une certaine organisation scientifique du travail de manière à optimiser la productivité. Cette théorie défend l’idée selon laquelle la sous-entendue efficacité du travail dépendra précisément de la division des taches à effectuer. Ces taches devront être organisées et contrôlées par la hiérarchie, sachant que l’individu ne peut faire preuve d’initiative et répondra donc

alors un rôle moteur dans le développement de l’économie. L’innovation est la base de la démarche entrepreneuriale. 3 Niveaux de décision : Stratégique (long terme) / Tactique (moyen terme) / Opérationnelle (court terme). Pour prendre une décision selon H.Simon : - Intelligence - Modélisation - Choix Chapitre 2 : Du projet entrepreneuriale au management Même si les logiques entrepreneuriale et managériale ne nécessitent pas les mêmes compétences, elles sont souvent complémentaires. L’entrepreneur

1.3 Crozier et Friedberg («l acteur et le système» 1977) n Rejettent ce modèle bureaucratique qui ne repose que sur des relations de pouvoir empêchant l organisation d éliminer ses dysfonctionnements et qui ignore l influence des relations et des jeux stratégiques que peut développer tout salarié (l organisation est «un construit social»). Le salarié ne subit pas passivement son environnement mais il se comporte comme un acteur stratégique dans l organisation pour en tirer le meilleur parti. n

pas à les assumer toutes, il est nécessaire d’effectuer une spécialisation du travail. Celle-ci s’opère entre les individus membres d’un même service ou entre les services de l’entreprise. Cette spécialisation des tâches, plus ou moins importante selon les entreprises, prend deux formes : – la spécialisation verticale, qui correspond au nombre de niveaux hiérarchiques dans l’entreprise ; – la spécialisation horizontale, qui correspond au découpage fonctionnel de l’entreprise. B. Le degré