Particularités Syntaxique

l’harmonisation de toutes ces différentes activités est celui qui impose son style, il dirige le film dans le sens qu’il veut. Il est l’auteur principal. CINEMA ET LANGAGE Le développement sur « Cinéma et langage » étaye les thèses de Deleuze sur les particularités de la narration au cinéma, nous rappelant un joli passage de Metz, qui pour distinguer l’image cinématographique de la photographie n’invoque pas le mouvement mais le langage (« passer d’une image à deux images, c’est passer de l’image à un langage »)

du discours direct est celui-ci: « une semaine cruciale pour l'euro » (l.15). Cet énoncé est introduit par le verbe annonce (l.15) qui signifie l'acte de parole qu'il accomplit, nommé verbe de dire. Le propos rapporté est complément, au niveau syntaxique, du verbe qui l'introduit. Ensuite, la précision de Le Goffic concernant la nature des verbes pouvant servir l'introduction de discours direct: « il n'y a guère de verbe […] qui ne puisse jouer [le] rôle [d'introducteur de DD]. », permet de recenser

ponctuation, alinéas, etc..). • Donc, la lecture est un échange entre scripteur(=auteur) et lecteur, et il faut alors distinguer entre spécificité du texte et spécificité du lecteur. Spécificité du texte : • Au niveau du code linguistique: particularités grammaticales, grapho-phonologique, orthographique etc.. • Au niveau pragmatique: la pratique de la lecture est spécifique à la culture française, donc les publications journalistiques, universitaires …etc, obéissent à des rituels spécifiques

donc primordial et, à cet égard, quatre objectifs peuvent être privilégiés: – faire acquérir la connaissance de mots nouveaux, essentiellement dans les lectures et en s’appuyant sur le contexte ; – faire observer et retenir la construction syntaxique des mots ; – faire réemployer les mots, à l’oral et à l’écrit, en faisant varier les contextes ; – ouvrir, le plus souvent possible, une perspective de saisie sociale (niveaux de langage) et historique (mots vieillis, néologismes) de la langue

fondamentales : 1) Observation, analyse et pratique des particularités structurales de ce type de texte ciblant de brèves réalisations linguistiques ; 2) Observation, analyse et pratique des mécanismes structuraux du résumé intégrées au cadre de l’argumentation, limitées, elles aussi, à de brèves réalisations linguistiques ; 3) Analyse d’un texte long et réalisation, suivant différentes phases, de son résumé au tiers de la longueur. 1 1. Particularités structurales du texte argumentatif 1.1. Modèles

........... 11.6.2. Les règles de paraphrasage ............................................... 11.6.3. La paraphrase lexicale ..................................................... 11.6.4. La paraphrase syntaxique ............................................ 11.6.5. La paraphrase lexico-syntaxique ...................................... 11.7. Pour une possible typologie des paraphrases ............................... 11.8. Paraphrase et enseignement des langues vivantes ......................... Idées

........... 11.6.2. Les règles de paraphrasage ............................................... 11.6.3. La paraphrase lexicale ..................................................... 11.6.4. La paraphrase syntaxique ............................................ 11.6.5. La paraphrase lexico-syntaxique ...................................... 11.7. Pour une possible typologie des paraphrases ............................... 11.8. Paraphrase et enseignement des langues vivantes ......................... Idées

mots de liaison les plus courants entre phrases. © Ministère de l'Éducation nationale > www.education.gouv.fr 3 / 13 Bulletin officiel spécial n° 4 du 29 avril 2010 Des exercices spécifiques peuvent être proposés pour mettre en évidence les particularités de l’écrit et de l’oral : restitution de messages entendus, compte-rendu oral d'un dialogue ou d'un document, transposition d'un dialogue en texte narratif, etc. Expression écrite L’élève a été progressivement entraîné au collège à la rédaction

moins). Les innéistes disent que ça ne sera pas aussi rapide si les enfants n’avaient pas à la naissance des connaissances linguistiques importantes. Pauvreté de l’input : ce que les enfants entendent à la naissance est un langage pauvre (fautes syntaxiques). Mais à partir de cet échantillon pauvre en qualité et en quantité, l’enfant parvient à acquérir une grammaire correcte. Il devait donc l’avoir déjà à la naissance. Pas de preuve négative : en effet, pour savoir si leurs phrases ne sont pas grammaticales

pédagogique……………………………………………….. o 2.1 Travail sur les textes …………………………………… A) Les programmes ……………………………………. B) Le CECR et l’enseignement par activités Langagières ………………………………………… o 2.2 Points difficiles ………………………………………….. A) Le groupe classe – particularités de la classe de seconde ………………………………………….. B) Les classes à effectifs chargés. Le demi-groupe ……. C) Les classes hétérogènes - le rôle du repaso …………. o 5 6 6 6 7 9 10 11 12 2.3 Points favorables………………………………………… 13 A) La motivation ………………………………………