Parti sud-africain

l'assistance de David Icke, j'ai pu établir le contact avec le Dr Johan Joubert, qui s'est occupé de bonne grâce de la coordination avec Credo Mutwa, permettant ainsi à l'interview d'avoir lieu par téléphone, littéralement aux antipodes, en Afrique du Sud. [NdT: par rapport au Nevada.] Nous, au SPECTRUM nous aimerions transmettre notre plus profonde reconnaissance à la fois à David Icke et au Dr Joubert pour leurs efforts désintéressés pour délivrer au monde la Vérité de cet homme. J'ai entendu parler

50 ans d’indépendance : quelle Renaissance pour les États africains ? Dr. Djibril DIOP Chercheur associé au CÉRIUM - Université de Montréal (Québec) djibril.diop@umontreal.ca « On a trop dansé en Afrique, on a trop chanté et on a trop rigolé ...Pour cette commémoration il n’y aura ni défilé militaire pompeux, ni danses endiablées, mais un colloque. Un colloque auquel j’inviterais les représentants de tous les pays africains qui ont acquis leur indépendance en 1960 afin que l’on réfléchisse

continent est bordé par la mer Méditerranée au nord, le canal de Suez et la mer Rouge au nord-est, l’océan Indien au sud-est et l’océan Atlantique à l’ouest. Depuis l'accession à l'indépendance du Soudan du Sud en 2011, l'Afrique compte 54 États souverains (non inclus la RASD et le Somaliland). L’Afrique chevauche l’équateur et présente de nombreux climats : tempérés au nord et au sud, chauds et désertiques le long des tropiques, chauds et humides vers l'équateur. En raison du manque de précipitations

les Ibos chrétiens se trouvant au sud-est tentent de se détacher de la république et créent le Biafra. Cette scission fut soutenue par 4 pays d'Afrique et par la France, mais elle fut mise à terme en 70 par l'armée nigériane, cette guerre fit 2 millions de victimes Au Kenya 30 000 blancs exploitaient les terres de 5 millions de Kenyans, cependant la tribu des Kikuyu soumise à un régime spécial n'allait plus rester dans sa réserve. Jomo Kenyata créa un parti d'opposition, le K.A.U. (Kenyan African

celui d’Yves Lacoste, on constate qu’ils n’ont pas la même conception de ce qu’est une aire de civilisation, ce qui amène bien sûr à des découpages différents. L’aire de civilisation de Samuel Huntington mélange les notions de culture (occidentale, africaine, japonaise, etc.) et de religion (hindouiste, islamique, orthodoxe, etc.). Chez Yves Lacoste, en revanche, une seule aire de civilisation a une définition en rapport avec la religion (le monde musulman). Celui-ci opère surtout une distinction entre

quels sont les atouts du continent africain au regard du chemin parcouru par les grandes économies émergentes du Sud en matière de développement, que ce soit en Asie ou en Amérique latine ? On répond souvent à cette question en affirmant que l’Afrique peut beaucoup en apprendre, mais qu’elle devra le faire à un rythme très soutenu. Deux thèses cohabitent et se développent en parallèle à propos de la situation actuelle de l’Afrique. Le débat africain reflète la complexité des réalités du terrain

INTEGRATION DES ECONOMIES AFRICAINES : Une nécessité face aux défit de la mondialisation Chapitre1 : La mondialisation : Une donne pour les nations Définition : La mondialisation consiste à l’interdépendance incessante des économies et contribue à l’expansion des échanges et des interactions humaines. C’est le processus par lequel la production, le commerce, les investissements, les rapports humains et les finances s’internationalisent. Même si la mondialisation n’est pas une fin en soi

.......................................................................................... 6 II. GÉOGRAPHIE............................................................................................................. 7 A. Différence Nord-Sud......................................................................................................... 7 B. Aspects sociales ............................................................................................................... 9

sans-abri. 29 janvier 1999 : le président Dos Santos étend les pouvoirs présidentiels. 26 février 1999 : l’ONU met fin à sa mission d’observation en raison de la reprise des combats. 10 mars 1999 : un rapport de l’ONU accuse certains dirigeants africains de nourrir le conflit en participant au trafic de diamants et d’armes en violation des sanctions internationales. 22 février 2002 : le chef de l’Unita Jonas Savimbi est tué par les troupes du gouvernement. Le mouvement rebelle signe un accord

rapports entre les Afriques noires et la France Ceux-ci trouvent leur origine dans une histoire commune[1], « lestée du poids d'un passé mal assumé[2]» (esclavage, traite des nègres, colonisation et décolonisation) tant en France que dans les états africains concernés[3]. Nous notons toutefois la persistance d'un décalage entre une prise de conscience douloureuse et conflictuelle en France (les revendications mémorielles sont surtout portées par des Antillais, des Réunionnais, des Guyanais), et l’absence