Parti socialiste unifié

mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin, est un homme politique allemand, fondateur et figure centrale du nazisme, instaurateur de la dictature totalitaire désignée sous le nom de Troisième Reich. Porté à la tête de l’Allemagne par le Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP) qu’il reprit en 1921, il devient chancelier du Reich le 30 janvier 1933, puis se fait plébisciter en 1934 comme président, titre qu’il délaissa pour celui de Führer (« guide »). Sa politique expansionniste

la population souffre, car la nourriture est insuffisante. Les Allemands doivent échanger des biens contre de la nourriture dans les campagnes et pratiquer le marché noir pour survivre. Les colis envoyés par l’organisation américaine « CARE », à partir de l’été 1946, auxquels viennent s’ajouter ceux de l’Église et ceux de l’ONU, ne suffisent pas à subvenir aux besoins de la population allemande. Des manifestations et des grèves contre la famine sont organisées, surtout au nord de l’Allemagne, après

La gauche en France (1870 – 1945) I/ L’installation de la République (1870 – 1879) : La droite au pouvoir o 4 septembre 1870 : formation de 3 gvts, dont 2 de gauche (gauche divisée entre les républicains comme Gambetta et entre les socialistes comme Blanqui ou Delescluze) mais tendances extrêmes exclues du gvt provisoire qui se constitue o Coup dur pr la gauche : assemblée nationale élue en 71 = conservatrice Puis présidence de Mac Mahon le royaliste II/ La république opportuniste

en 1890 puis de nouveau en 1898. Bourgeois est considéré comme le théoricien du parti radical dont il exposa la doctrine dans son Essai d’une philosophie de la solidarité en 1902. Ferdinand Buisson est né 1841. Professeur, inspecteur général de l’instruction publique, directeur de l’enseignement primaire ; tels sont les différentes fonctions que Ferdinand Buisson exerça avant de devenir député radical – socialiste à l’Assemblée Nationale. Il est aussi l’auteur d’un célèbre Dictionnaire de pédagogie

utilisé par Gambetta et Jules Ferry. Au fil du temps, ces « républicains progressistes » évoluent du centre gauche vers le centre droit, selon le phénomène du sinistrisme. Durant l’affaire Dreyfus, il adopte une attitude prudente. Il fait d'abord partie de ceux qui souhaitent étouffer un scandale qu'ils jugent contraire à la raison d'État. Il se rallie finalement au camp dreyfusard, plus par légalisme que par conviction. Bien que républicain et laïque - signe sûr, à la Belle Époque, d'une appartenance

Histoire de la gauche : l. Fondé au mois de juin 1901, le parti radical et radical socialiste est le plus ancien parti de France. Sa création officielle a été précédée par diverses démarches empiriques. Lorsque Napoléon III libéralise quelque peu le régime, l’opposition républicaine s’exprime ouvertement et c’est dans ce contexte qu’est élaboré le Programme de Belleville, en 1868. Il s’agit de réformes radicales, c’est-à-dire fondamentales, telles la séparation de l’Eglise et de l’Etat, I’instauration

propagande du Parti nazi, datant de 1930. Cette affiche s'adresse à la population allemande dans le cadre de son embrigadement, mais aussi aux pays étrangers, afin de montrer la puissance du parti nazi et de son chef, Hitler. Le second est un texte intitulé «Mussolini et le parti national fasciste» publié par un membre du parti national fasciste en 1936. Ce texte s'adresse à la population Italienne et aux pays étrangers pour les mêmes raisons que l'Allemagne, montrer la puissance du parti fasciste et

Naissance de l’idéologie Le nazisme appartient au Parti national-socialiste des travailleurs allemands. Suite à la défaite de l’Allemagne à la Première Guerre mondiale, les partisans de ce parti rejettent alors la faute sur les Juifs et souhaitent leur mener une guerre. Le 24 février 1920, Adolf Hitler, le chef du parti, présente lui-même le Programme en 25 points dans une brasserie de Munich. C’est à ce moment qu’est né officiellement le Parti nazi. En 1925, l’autobiographie d’Hitler, Mein Kampf

avant tout l'empereur qui gouverne. À l'intérieur, avec des moyens moins violents, le Kaiser – comme on désigne l'empereur d'Allemagne et en particulier Guillaume II – poursuit sans succès la lutte contre la social-démocratie, qui, en 1910, est le parti le plus nombreux au Reichstag. Dans les provinces polonaises, le gouvernement tente une germanisation forcée ; en Alsace-Lorraine, il applique une politique tantôt répressive, tantôt conciliatrice. Une politique étrangère ambitieuse... À l'extérieur

significativa del gasto. «Para entrar de llecir, los vicepresidentes y los mi- no en el terreno de la función púnistros o, lo que es lo mismo, la blica habría sido necesaria una base central de la estructura del mayor reflexión, porque muchos Estado. A partir de ahí, todo es de los cambios afectarían a un essusceptible de rebaja. quema que está establecido desde La complejidad del recorte es tal la época de López Rodó», señalan que todavía existe la posibilidad de fuentes de La Moncloa. que el Gobierno