Parti ouvrier d'unification marxiste

des relatiosn verticales qui avait été ingéré par le centre. Et les relatiosn entre Empires étaient assez faible sauf entre l'empire Perse et l'empire Ottoman. L'idée de souveraineté dans les ralations internationale : Ce n'est réellement qu'à partir XVII et XVIII eme s, qu'on voit apparaitre les relations internationales lorsque né un veritable systeme international cad un ensemble d'Etat souverain entretenant des altéractions suffisament reguliere pour que le comportement de tout un chacun et

Les Turcs sont une peuplade nomade d’Asie centrale (éleveurs, chasseurs, cavaliers, guerriers) et grignotent l’empire byzantin en se substituant aux Arabes. Ils occupent l’essentiel du Proche-Orient, la Turquie et un peu de l’Europe impérialisme (à partir du 12e siècle jusqu’à la fin du 17e siècle) = décadence de l’empire byzantin. Au 14e siècle, leur chef est sultan et calife (commandeur des croyants). En 1453, l’Empire byzantin ne se limite plus qu’à la ville de Constantinople. Les Turcs bloquent

l’Union européenne. Elle met aussi en lumière les insuffisances d’une capacité militaire autonome tandis que c’est l’Union européenne qui fournit l’essentiel de l’aide humanitaire. Les réformes de Gorbatchev en Union soviétique Homme d’appareil du Parti communiste de l’Union soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, à 54 ans, est nommé secrétaire général du PCUS par le Comité central le 11 mars 1985. Son objectif est de procéder à une profonde réforme du système soviétique dont la lourdeur bureaucratique était

Structurelles … p.43 p.44 p.47 p.48 Objectif du cours: Mettre en évidence les grandes évolutions qui expliquent les changements/ la construction de notre société. Elle trouve l'essentiel de ses fondements dans la lointaine Antiquité et à partir du XIVe – XVIe siècle: touche l'économie, la politique, la culture, le rapport au monde, relations internationales. Pendant cinq siècles la perception de l'écoulement du temps va changer: changements lents donc non perceptibles dans la durée d'une

pas nécessairement une guerre. Qu'est ce qu'un conflit? Un conflit c'est un rapport inégal entre deux personnes, deux groupes, deux ensembles qui s'opposent au sein d'un même espace avec chacun pour objectif ou pour horizon non pas de liquider la partie adverse et avec elle la relation elle même, mais de modifier cette relation et tout au moins d'y renforcer sa position relative. Un conflit est une relation. Effectivement c'est une relation entre deux protagonistes qui est inégale. Et en effet

Freud rattache le fétichisme aux religions archaïques comme le totémisme ou l’animisme au sein desquelles le culte maternel de la terre sacrée est central. Idolâtrant l’objet de son amour telle une divinité, le fétichiste se contente de certaines parties du corps de l’être aimé ou d’objets lui appartenant pour assouvir son désir sexuel. Dans sa forme la plus poétique, le fétichisme se confond avec le syndrome de Stendhal qui consiste à tomber amoureux des belles oeuvres d’art… Le narcissisme.

l’Ancien Régime, émane du roi ». Cette confusion des pouvoirs signifie au fond que les pouvoirs, plutôt que de se limiter les uns les autres, sont associés et s’entraident en vue de faire triompher la souveraineté. 2. Le roi gouverne par conseil. A partir du début du XIVe siècle, les Etats Généraux, qui réunissent des représentants des trois ordres, sont convoqués plus ou moins régulièrement par le roi : ils votent des subsides et émettent des doléances, des vœux de réforme. Mais ils ne seront plus

the Game » qui paraît dans notre pays avec plus de quarante ans de retard... Son auteur, le Commodore William Guy Carr (1895-1959), de la Marine Royale Canadienne [RCN ® Ret’d], fut longtemps membré des Services de Renseignements et se consacra à partir de 1931, sauf pendant l’interruption de la guerre, à des tournées de conférences destinées à faire connaître la « Conspiration Internationale ». Il apporte bon nombre de preuves à l’appui de ses dires et des documents de première main, la plupart

commence à prendre consistance au XVIIIe S » avec Montesquieu et l’Esprit des lois, car il est vrai que ce philosophe français prétend bien dégager des principes « naturels » qui « commandent le devenir des sociétés. Mais nous nous en tiendrons au parti le plus partagé des auteurs de manuels d’introduction qui voient en Auguste Comte (1798-1857) un des trois grands précurseurs avec Alexis de Tocqueville (1805-1859) et Karl Marx (1818-1883, dont nous avons déjà eu l’occasion de parler précédemment)

grandes puissances : Angleterre, France, Allemagne, Autriche-hongrie et Italie. Les USA et le Japon apparaissent encore comme des états secondaires (influence restreinte). Tous ces pays ont tous des colonies, sauf l’Autriche-hongrie = la plus grande partie du monde dépend de l’Europe. On a aussi une société européenne homogène : il existe un accord entre tous les états quant aux règles du jeu nationales et internationales. Des états qui sont d’accord sur la légitimité des gouvernements en place. Ce