Parti libéral-radical

technologique avec rejet du nucléaire (cf rassemblements du plateau du Larzac) - forte puissance du lobbying écolgiste (contre nucléaire, contre pollution…) Organisation et formes d’action des altermondialistes 1 Retour d’un militantisme radical - mise en échec de l’AMI (accord multilatéral sur l’investissement) en 98 est l’acte de naissance du mouvement alternatif actuel - rebaptisent l’AMI « charte mondiale des droits et ds libertés ds transnationales » - suite à une fuite en 96(

| |L´Économie |Contre la bureaucratie de Bruxelles | |Economie libérale, mais avec une certaine intervention de l‘Etat | | |Économie absolument libérale | | |

Le « Front populaire » naît du rapprochement des partis de gauche après le 6 février 1934. Chronologie de sa création - 12 février 1934 : Les syndicats, la SFIO et le PC organisent des grèves et des manifestations en réponse aux ligues. Les militants réclament dans les cortèges l’unité de la gauche face à ce qui leur apparaît comme une menace fasciste. - 14 juillet 1934: Les cortèges des deux manifestations SFIO et PC se rejoignent spontanément. Ils font pression ainsi sur les états-majors

va provoquer un soulèvement de l’armée qui va rapidement contrôler le sud du Chili, marquant le début de la Révolution de 1829. Pinto est contraint de démissionner en 1830 pour laisser place à un gouvernement révolutionnaire mettant fin au régime libéral. b. La République conservatrice (1831-1861) José Prieto sorti victorieux de la Révolution devient président de la nouvelle République conservatrice en 1831. En 1833 une constitution autoritaire est promulguée

vie politique anglaise ou américaine. _Un régime politique se définit comme, dans un état donné « la résultante du jeu des forces politiques, et principalement des partis politiques dans un certain cadre institutionnel juridique, compte tenu des données historiques, idéologiques, économiques et propres a cet Etat ». PARTIE 1 : Les fondements historiques de la vie politique de 1789 à 1846 L’histoire constitutionnelle française à été particulièrement complexe à aborder différentes questions

à une nécessité de contrôler les associations ou si elle répond à une réelle volonté d’introduire un changement radical dans l’économie grâce au libéralisme. Afin de répondre à ces interrogations nous étudierons ce texte en élaborant deux parties qui traiterons successivement de la loi Le Chapelier et sa nécessité de contrôler les associations puis du libéralisme, changement radical dans l’économie. I) La nécessité de contrôle des

Le pouvoir législatif est le pouvoir qui vote et édicte la Loi au sens large. Il a un pouvoir de censure et de controle sur le pouvoir exécutif (le gouvernement) grâce à la motion de censure. Seul le président de la République, qui pourtant fait parti du pouvoir exécutif, n'est pas responsable devant l'Assemblée nationale et ne peut donc être renversé. Il exerce, au contraire, un moyen de pression sur le pouvoir législatif en pouvant dissoudre l'Assemblée nationale : la plupart du temps pour gouverner

Les idées et les partis politiques dans la France moderne et contemporaine. [ Le dictionnaire historique de la LF rappelle que « droite » s’est spécialisé en politique pendant la Révolution parce que les députés conservateurs (comprendre : attachés à la monarchie) siégeaient à la droite du président. On disait alors (1793) « les députés de la droite de l’assemblée ». Ce positionnement n’est pas hasardeux, il renvoie symboliquement à la « droite de Dieu ». Le même dictionnaire écrit : « en 1789

retrait de la démocratie libérale. Nés de la Première Guerre mondiale, ils meurent avec la fin de la Deuxième. Trois axes de réflexion peuvent être dégagés pour cette période : - En premier lieu, les « séquelles » de la Première Guerre mondiale. Les séquelles économiques et sociales sont inégalement ressenties d’un pays à l'autre, mais compromettent grandement la stabilité politique. Le mythe et l'illusion du « retour à la normale » apparaissent, dans les démocraties libérales, comme une véritable

paragraphe Chantal Mouffe va s'en prendre au discours liberal. Mais cette attaque va etre introduite avec une trés grande finesse dans le sens ou elle ne cherche au départ qu'à preciser que sa conception de l'adversité n'est pas la même que celle des liberaux. Elle va en effet expliquer que les liberaux voit le domaine politique presque comme un jeu ou il faut gagner quoi qu'il arrive et quelques soient les idées qu'on défend. D'aprés elle le modéle liberal va donc favoriser les consensus grâce auxquels