Parti libéral-radical

restauration a- Les forces politiques en présence Groupe des ultras (ultraroyalistes): Ce sont des personnes qui encouragent le retour à la monarchie, mais qui trouvent cette nouvelle monarchie trop modérée. (Trop de concessions faites aux libéraux) Contre révolutionnaires. Ils croient qu'il y'a un ordre divin aux choses dans la nature, la société, la politique (destin providentiel). → Joseph de Maistre, Louis de Bonald Ils repoussent les idées des Lumières. Dans la pensée des ultras, la société

proclamée mais pas admise d'emblée par tout le monde, certaines forces politiques ne souhaitaient pas un régime démocratique et libéral, mais une restauration de la monarchie. Mars-mai 1871 : la Commune de Paris (livre p.138-139) Certains parisiens ont montré qu'ils ne voulaient pas de la république modérée, de ce régime conservateur pas assez démocratique et libéral (voire libertaire). Ce fut une insurrection, une tentative de sécession inspirée par des idées socialistes et anarchistes.

et publié dans le numéro 564 (juillet 1993) de la revue Temps Modernes. Les NOTES, nombreuses dans le texte original, ont été omises par la traduction. Nous sommes à la veille d'une profonde et radicale modification de notre compréhension des sociétés modernes. Celle-ci a déjà été dénommée à partir de points de vue différents, mais les expressions ambigues de " société postindustrielle " et " société postmoderne " ne retiennent que le seul aspect positif des questions d'ordre économique et culturel

jadis, "à notre gauche", les séparatistes [NDLR : les communistes]. De l'autre côté, ou, "à notre droite", la coopérative de conservation politicienne et sociale qui, pour le moment, s'appelle : Troisième Force [NDLR : socialistes, radicaux, démocrates-chrétiens et libéraux]. Je ne commettrai certes pas l'erreur ni l'injustice de mettre sur le même plan les opposants des deux espèces. Les premiers sont les ennemis de l'État. Les seconds ne font que lui nuire. Mais les uns, comme les autres, font obstacle

valoir que par sa force numérique il représente sa nation. Le 10 juin Sieyès un abbé député de Paris invite les députés de la noblesse et du clergé invite a rejoindre le tiers états sur leurs bancs pour former la nation un certain nombre de nobles libéraux ou de clerc proche du peuple accepte, la suppression des ordres face au roi, roi assis en face. Le groupe constitué se proclame le 17 juin « assemblée nationale » sur la motion de Sieyès. Cette proclamation est un acte révolutionnaire elle marque

Zola publie un article dans l’aurore dont le rédacteur en chef est Clémenceau. Dans cet article il dénonce les fautifs. Zola est ensuite mis en accusation et est donc obligé de s’exilé en Angleterre. Depuis cette époque la France est divisée en 2 parties : - Les Anti Dreyfusard, ils sont souvent antisémites, ultra nationaliste, partisan de l’ordre et de l’armée. Parmi ces anti dreyfusard on trouve des personnalités comme Maurras. - Les Dreyfusard, ils sont attachés à l’idée de liberté et défendent

Conseil des Etats. Les commissions siègent en moyenne 3-4 jours par trimestre * Groupes parlementaires : Le parlement comprend des groupes politiques formé de membres d’un même parti siégant dans l’une ou l’autre Chambre. Un groupe peut être formé lorsqu’au moins cinq membres d’un même conseil en font partie. Les petits partis peuvent s’associer afin d’avoir suffisamment de membres pour former un groupe. L’appartenance à un groupe est une condition indispensable pour siéger une commission. * Services

de la ruralité de 1760 et que le problème social est le problème agraire c'est-à-dire le problème de rapport entre celui qui cultive et celui qui est le propriétaire. C'est le seul problème social de l'époque. On peut diviser la planète en trois parties : =>l'Europe occidentale - jusqu'à la république tchèque ou Autriche - il n'y a plus ou quasiment pas de serfs. Les grands propriétaires louent leurs terres à des fermiers (qui payent un loyer) ou des métiers (qui partagent la récolte). =>

les élections de 1870 feront néanmoins paraître une majorité conservatrice à l'Assemblée, ce qui va fragiliser l'espoir naissant. Comment la succession des différents gouvernements va-t-elle permettre l'enracinement d'une société de plus en plus libérale ? Tout d'abord, nous étudierons comment la « République des Ducs » a restreint ces libertés, puis nous nous focaliserons sur la manière dont les français ont amené la République à se libéraliser, dans les années 1880 et 1890. Enfin, nous analyserons

réguliers. Au-delà du cliché, il nous faut comprendre pourquoi nous parlons de révolution. D’un point de vue étymologique, une révolution est un « retour au passé », à la situation d’avant. Mais en histoire on parle de révolution comme d’une rupture radicale entre deux ordres. De ce point de vue, un coup d’Etat ou une rébellion peuvent être considérés comme des révolutions. Il nous faut cependant tenir compte des conséquences ; s’il n’y a pas de profonde transformation des structures politiques, économiques