Parti communiste tchécoslovaque

1968 en Tchécoslovaquie En 1967-68, la contestation de la mainmise soviétique sur son glacis lui vint du pays qui passait alors pour un des alliés les plus fidèles : la Tchécoslovaquie. L’État tchécoslovaque aspirait lui aussi à prendre du champ par rapport à Moscou. Lorsque Dubcek, choisi pourtant dans le secret du plenum du comité central, remplaça au secrétariat général le vieux stalinien Novotny, l’espoir d’un changement agita pendant quelques mois la jeunesse étudiante, l’intelligentsia et

Histoire : Notes sur la ligne de temps Le Printemps de Prague est une période de l’histoire de la République socialiste tchécoslovaque durant laquelle le parti communiste tchécoslovaque introduit le « socialisme à visage humain » et prône une relative libéralisation. Il débute le 5 janvier 1968, avec l'arrivée au pouvoir du réformateur Alexander Dubček et s’achève le 21 août 1968 avec l’invasion du pays par les troupes du Pacte de Varsovie, Dubček introduit la liberté de la presse, d'expression

La Charte 77 : du printemps de Prague à la « Révolution de velours » Le 5 janvier 1968 débute avec l’arrivée au pouvoir du réformateur Alexander Dubček, une période durant laquelle le Parti Communiste Tchécoslovaque tente d’introduire un « socialisme à visage humain », décrétant la liberté de la presse, d’expression, et de circulation ou encore de l’égalité entre tchèques et slovaques. Ce mouvement libéral inquiète fortement le pouvoir soviétique et provoque une violente réaction. Huit mois

le réformateur Alexandre Dubcek remplace Antonin Novotny à la tête du Parti communiste tchécoslovaque (PCT). Sous la pression de la population, cette révolution de palais se transforme en véritable mouvement en faveur des réformes démocratiques : c’est le Printemps de Prague. À l’aube de 1968, le stalinien Novotny cumule les fonctions de secrétaire général du Parti communiste et de président de la République tchécoslovaque. Le 5 janvier, le comité central du PCT désigne Alexandre Dubcek pour

les régions historiques de Bohême, de Moravie, et une partie de la Silésie, la République tchèque[4] naît formellement le 1er janvier 1969 de la fédéralisation de la Tchécoslovaquie. Elle est indépendante depuis le 1er janvier 1993 à l'occasion de la scission de la République fédérale tchèque et slovaque, dernière forme de gouvernement de la Tchécoslovaquie. La République tchèque est membre de l’OTAN depuis le 12 mars 1999 et fait partie de l’Union européenne depuis le 1er mai 2004. 1 Toponymie

Elle est une artiste par excellence et libertine. Elle apprendra la photographie à Tereza et posera même pour elle nue. C'est le personnage le plus « immoral » de l'histoire, peut-être même celui qui incarne d'une certaine façon Kundera, c'est en partie elle qui décrit et explique Tomas au lecteur. Son instinct de liberté a abouti à une vie remplie de trahison. Franz, chercheur universitaire, est l’époux de Marie-Claude qui tient une galerie à Genève, en Suisse, où Sabina exposera après sa

passé pour rien. « Lénine relève-toi, ils sont devenus fous » fait référence au Printemps de Prague (période de l’histoire de la Tchécoslovaquie durant laquelle le parti communiste tchécoslovaque introduit le socialisme à visage humain avec Alexander Dubcek) ainsi qu’à la normalisation (« retour à la normale » ou à la « norme communiste » de laquelle la Tchécoslovaquie avait dévié lors du socialisme à visage humain). « Toi qui a voyagé dans un wagon plombé » le wagon plombé dans lequel Lénine traversa

avant la Révolution de velours (1989) le parti communiste tchécoslovaque reprend pouvoir pour en quelque sorte restaurer la « norme » communiste. Des dissidents s’opposent alors à cette « Normalisation » et entre autre à l’attitude répressive de Gustáv Husák (chef du parti communiste) envers le groupe underground « The Plastic People of the Universe » (groupe anti-communiste). La Charte 77 revendique le respect des droits de l’homme et dénonce le régime communiste. Uhde finit sur la liste des écrivains

the aftermath (à la suite de) of World War II, the communists began to lose some of their popularity, and, as the 1948 election approached, their public support began to decline. → The Communist Party of Czechoslavakia's leader was Klement Gottwald, During the winter of 1947-48, in the parliament, tension between the Communists and their opponents led to increasingly bitter conflict. In early February 1948, the Communist minister of the interior, Václav NOSEK, illegally

au cours du XXe siècle. Son ouvrage ne revêt pas uniquement un aspect historique, il présente aussi une analyse sociologique du peuple tchèque. Elle aborde les notions de mémoire et l'identité tchèque ainsi que les représentations de la société communiste. Son livre tourne autour d’une problématique centrale : quels sont les mécanismes permettant de construire une mémoire collective du communisme dans la société tchèque des années 1989-1990 ? Son ouvrage est parsemé de nombreuses interrogations