Pare-feu

de prendre soin de Julius. Résumé : Cécilia est morte en sacrifice pour son fils, Julius, alors qu’elle lui donnait la vie. Maximus, le père de l’enfant, ne s’en est jamais remis et conserve une rancune à l’égard du responsable de la mort de feu sa femme. Lorsque les dieux manifestent le désir d’un sacrifice comme ils le font une fois par an, les sages de la ville pointent du doigt Julius, ce qui est considéré comme un honneur fait au meilleur et plus charmant guerrier de la ville. Maximus

saisit l’enfant de ses mains fiévreuses et le cacha contre son sein. Elle le contempla avec un sourire confus et ravi : – Oh ! mon pauvre petit, dit-elle toute honteuse, que tu es laid, que tu es laid, comme je t’aime ! Jean-Michel retourna près du feu ; il se mit à tisonner, d’un air grognon ; mais un sourire démentait la solennité maussade de son visage. – Bonne fille, dit-il. Va, ne te tourmente pas, il a le temps de changer. Et puis, qu’est-ce que cela fait ? On ne lui demande qu’une chose

est le brun, évoquant la terre des tranchées, unique environnement des soldats. Le rouge est utilisé pour symboliser le ciel agité sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit le rouge parce que c’est une couleur qui est évocatrice du sang et qui symbolise en effet la violence. Les couleurs sont sombres, ternes et sales comme l’est le décor de guerre.   La plus

pour fléchir sa rigueur. Un grand silence planait pendant que le prêtre achevait le mystère divin.    Sur mon ordre, la porte fut ouverte et les quatre aides apportèrent la folle.    Dès qu'elle aperçut les lumières, la foule à genoux, le choeur en feu et le tabernacle doré, elle se débattit d'une telle vigueur, qu'elle faillit nous échapper, et elle poussa des clameurs si aiguës qu'un frisson d'épouvante passa dans l'église ; toutes les têtes se relevèrent ; des gens s'enfuirent.    Elle n'avait

des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de corps ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit le rouge parce que c’est une couleur organique mais aussi pour sa valeur symbolique ; dans notre culture le rouge symbolise la violence et parfois la mort. Les couleurs sont sombres, ternes

tenait un petit lit que je prenais d’assaut, en y déposant ma valise et en y étalant dessus tous mes jouets, livres, vêtements et autres afin de marquer mon territoire. Je me rappelle encore ces odeurs qui montaient de la cuisine, celles du feu de bois, du pain chaud et du lait, alors que flottait de manière plus subtile une odeur d’herbe fraichement coupée, d’humus et de foin. Odeurs qui étaient pour moi, pauvre parisien privé de cette liberté de pouvoir regarder, voir, sentir toutes

(Jaccottet est un baudelairien dans son sens de réflexion de la mort et le beauté des choses) Mort de l'autre = un traumatisme → on reste marqué par la douleur Thème de la montagne, du mur → La 1ère version du recueil se référait principalement sur le feu, mais depuis les modifications de la 2ème version (la version de ton livre) les poèmes se référent davantage sur la montagne et la barque Fruits, figues → idée de mûrissement, dépasser le choc du deuil → commence par le raisin (p12) et finit par le

Quelques phrases dans le texte font allusion à la mort, par exemple «  noyée de nuit et de fumée » comme une impression d’étouffement, il y a aussi le feu qui fait penser à l’enfer. Apres, la personnification de la bâtisse avec les mots « voix » et « respiration grosse et longue ». La dernière phrase

belle étoile 露天 en pleine nuit 晚上 • avoir le coup de foudre • demander la lune • ce n'est pas la mer à boire 不是难以做到的事 • l'eau va toujours à la rivière l’argent va toujours au riche • Il n'y a pas de fumée sans feu • proverbes français • 杀鸡给猴看。 Batter le chien devant le lion • 金玉其外败絮其中。 Habit de velours, ventre de son • 以牙还牙。 Oeil pour oeil, dent pour dent • 趁热打铁。 Batter le fer tant qu’il est chaud • 骨瘦如柴。 Etre maigre comme un clou

l’air convenable ». C’est un jeune homme poli qui parle constamment, sans jamais obtenir de réponses, sans jamais même en attendre. Il semble vivre seul dans un monde de statues. Le jeune Werner prend l’habitude, durant l’hiver, de venir se chauffer au feu de foyer, où il égaye son soliloque. Les relations de l’Allemagne et de la France est son sujet le plus fréquent. Il parle d’art, de littérature et de musique, puisqu’il est lui-même France pour pouvoir y apporter quelque chose, mais aussi pour pouvoir