Parc Jean-Drapeau

Pédagogie et médiation de l’information 12, mail Barthélemy Thimonnier, Lognes 77437 Marne-la-Vallée Cedex 2 Directrice du département : Claudine Roux Responsable de la collection : Isabelle Dussouet Rédaction/documentation : Christophe Riedel ; Jean-Luc Nabat pour les activités pédagogiques, p. 25 à 48. Secrétariat de rédaction : Adèle Bélier Correctrice : Michèle Hénault ressources documentaires Relations clients : 01 64 80 35 00 Code de diffusion Onisep : 900663 ISSN : en cours ISBN : 978-2-273-00663-7

téléphone et appela sa sœur. – Quelle heure est-il ? – Bonjour Keira ! – Bonjour Jeanne, quelle heure est-il ? – Bientôt 14 heures. – Si tard ? – Je suis venue te chercher à l'aéroport avant-hier soir Keira ! – J'ai dormi trente-six heures ? – Cela dépend de l'heure à laquelle tu t'es couchée. – Tu es occupée ? – Je suis à mon bureau, au musée, et je travaille. Rejoins-moi quai Branly, je t'emmènerai déjeuner. – Jeanne ? Sa sœur avait déjà raccroché. En sortant de la salle de bains, Keira fouilla

jeune révolté armé de ses pistolets. Roger Payen choisit de n’utiliser que les trois couleurs du drapeau national, sans doute pour renforcer le message patrio- tique de sa peinture, alors qu’il dispose d’une gamme chromatique bien plus large. Le bonnet phrygien, symbole de la Liberté, n’est plus sur la tête de Marianne, comme sur le tableau de Delacroix, mais à l’extrémité de la hampe du drapeau placé en arrière-plan. Roger Payen rend ainsi hommage au peuple français qui se soulève – ou doit

Préromantisme (1750-1800) * 1.1 Querelle des Anciens et des Modernes — Les drames de Diderot * 1.2 La transformation des idées et des mœurs * 1.3 Le retour au Moyen Âge * 1.4 L'influence anglaise * 1.5 L'influence allemande * 1.6 Jean-Jacques Rousseau * 2 Deuxième période : Chateaubriand et Germaine de Staël (1800-1820) * 2.1 La littérature de la Révolution * 2.2 La Littérature de l'Empire * 2.3 Chateaubriand * 2.4 Senancour * 2.5 Mme De Staël * 3 La

réaction radicale contre le Classicisme, d'autres influences plus fortes et plus profondes. Il faudra une transformation complète des façons de penser et de se sentir, qui n'était encore qu'en germe au milieu du XVIIIe siècle. La forêt de Fontainebleau, Jean-Baptiste-Camille Corot (1830). Les rêveurs du XVIIIe siècle aimaient se promener dans la nature. C'est dans cette forêt que Musset puisa l'inspiration de Souvenir, l'un de ses plus beau poèmes. (National Gallery of Art, Washington, DC). La transformation

6 janvier 2003 sous la direction de Marc Abélès, directeur de recherche, Cnrs (Laios) Jury Marc Abélès, directeur de recherche, Cnrs (Laios) Marc Augé, directeur d’études, Ehess Jean Davallon, professeur, Université d’Avignon et des Pays du Vaucluse Henri-Pierre Jeudy, chargé de recherche, Cnrs (Laios) Jean-Didier Urbain, professeur, Université de Versailles-Saint Quentin en Yvelines tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 2 tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 3 4 Remerciements

1 Première Période : Le Préromantisme (1750-1800) 1.1 Querelle des Anciens et des Modernes — Les drames de Diderot 1.2 La transformation des idées et des mœurs 1.3 Le retour au Moyen Âge 1.4 L'influence anglaise 1.5 L'influence allemande 1.6 Jean-Jacques Rousseau 2 Deuxième période : Chateaubriand et Germaine de Staël (1800-1820) 2.1 La littérature de la Révolution 2.2 La Littérature de l'Empire 2.3 Chateaubriand 2.4 Senancour 2.5 Mme De Staël 3 La bataille romantique (1820-1830) 3

courant, n’a pas pu être présent puisqu’il devait prendre part à une autre rencontre. Ainsi, sur un effectif de sept participants, cinq d’entre eux y ont été présents. Ils répondent au nom de : Riquet Exam, Milien Rosselin, Ezéchiel Jean Baptiste, Lindor Dimy et Jean Baptiste Jonas. Le débat était centré autour des points suivants 1 Félicitations 11 1 2 Rappel des mesures à adopter dans le traitement des dossiers 3) La prudence

mieux me taire, ce que je faisais volontiers. Pendant que la marmaille s'époumonait à suivre sa baguette, je restais muet, paisible, souriant ; les yeux fermés, je me racontais des histoires, et je me promenais au bord de l'étang du parc Borély, qui est une sorte de parc de Saint-Cloud, au bout du Prado de Marseille. Le jeudi et le dimanche, ma tante Rose, qui était la sœur aînée de ma mère, et qui était aussi jolie qu’elle, venait déjeuner à la maison, et me conduisait ensuite, au moyen d'un tramway

simplement arrêté sur la meilleure des deux candidatures, qui ont été selon quelques membres du CIO, bien résumée par leur film promotionnel. Le film français, réalisé par Luc Besson, présentait Paris de façon ennuyeuse et froide, avec Johnny Hallyday, Jean-Paul Belmondo et Michel Drucker en principales têtes d'affiche, sur un fond musical de Charles Trénet, rien de très original. Un film promotionnel à l’opposé de celui de Londres, qui mettra en avant cosmopolitisme, jeunesse et dynamisme, thèmes