Paradigme

- Thomas KHUN (la structure des révolutions scientifiques, 1962) définit le concept de paradigme. Ce sont des pensées convergentes, consensuelles. On a eu pendant quelques siècles, par exemple, un paradigme visant à dire que la Terre est plate. En science sociale, le paradigme ne meure jamais (puisqu’il n’y a pas de vérité absolue), en revanche, en science dure, un paradigme chasse l’autre (puisqu’il y a des preuves) - Karl POPPER (La logique de la découverte scientifique, 1935) montre comment la

organisationnelle = L'analyse typologique. Kirchheiner parle de parti attrape tout (Catch all party) Katz et Mair parlent de parti cartel Approche entrepreneuriale qui considère le PP comme une entreprise (Ostrogorski/Weber/Schumpeter) On parle de paradigme webero-schumpéterien Weber parle d"entreprise des intéressés" La version radicale de l'approche entrepreneuriale Schumpeter=>"Un parti ne peut être défini par ses principes, un parti est un groupe dont les membres se proposent d'agir de concert

en adoptant pour ligne directrice une présentation qui restitue les fondements historiques et conceptuels de la microéconomie. Leur pierre d’angle réside dans une compréhension de la microéconomie comme la Science des sociétés de marché dont le paradigme est alors repéré dans le modèle de l’échange naturel auquel Turgot donna sa pleine expression. A partir de ce modèle, sur la nature duquel nous reviendrons longuement plus bas, la microéconomie est ensuite profilée autour de deux familles de modèles

servir du concept de paradigme. ( structure des révolution scientifiques) D’après Thomas Kuhn, le paradigme est une manière de voir les choses, modèle cohérent d’une vision du monde qui repose sur une des base définie. « réseau » est un paradigme Les paradigmes marquent des ruptures dans les façons de penser .Chez Kuhn ils sont nécessaires pour les révolutions scientifiques. Science normale /-./ révolution scientifique Paradigme classique et néoclassique : le marché Paradigme keynésien : interventionnisme

l'environnement et l'histoire des interactions de l'individu avec son milieu. Il s’agit de l’origine de la psychologie cognitive. Paradigme : du grec ancien : modèle, exemple Représentation du monde, une manière de voir les choses, un modèle cohérent de vision du monde qui repose sur une base définie (matrice disciplinaire, modèle théorique ou courant de pensée) Paradigme épistémologique :   désigne un modèle de pensée dans des disciplines scientifiques, comprenant l’analyse de faits avérés par

Olivier Droulers Professeur des Universités Université de Bretagne Sud CREM UMR CNRS C 6211 e-mail : Olivier.Droulers@univ-ubs.fr Neuroscience du consommateur : une propédeutique RESUME : ces dernières années ont vu le développement du paradigme neuroscientifique en marketing. Plus d’une vingtaine de travaux de neuromarketing ont désormais été publiés et les premières recensions présentées. L’objectif de ce travail, au-delà de la simple présentation des techniques et de leurs limites

L’épistémologie : Etudes critiques des sciences destinées à déterminer leurs origines logiques, leurs valeurs et leurs portées. En EP, faire de l’épistémologie, c’est étudier le passage d’un courant de pensée à un autre, d’un paradigme à un autre. Paradigme : T. KUHN, « la révolution scientifique » 1962 « Adhésion tacite à une conception de la réalité, à une idéologie non exprimée, capable d’orienter la recherche scientifique. » C. BAYER, dans épistémologie des APS 1990: L’épistémologie

En effet, la genèse de la « nouvelle géographie » s’est effectuée en France dans les années 1960-1970. L’emprunt de notions comme « espace » ou comme « la polarisation économique » oriente en effet définitivement les géographes vers un paradigme nouveau « le paradigme socio-territorial »[4]. Cette représentation de la région spontanée marquée par la centralité d’un « point fort » de développement domine la pensée de plusieurs économistes (Claude Ponsard, Economie et espace, essai d’intégration du facteur

Prosodie : ton comme unité suprasegmentale   Morphologie : Distinction phonologie/morphologie : rôles respectifs de la phonologoe et de la morphologie : Morphologie : étude de la variation formelle dans le cadre d’un paradigme affectant soit le paradigme verbal soit celui nominal. Il faut définir ces variations. Langues à morphologie riche et d’autre à morphologie pauvre. Difficulté revient à déterminer ce qui fait bien partie de la morphologie de la langue et n’appartient pas plutôt

dans le domaine de l’analyse des organisations. Mintzberg s’est nourri du concept moderne de système qui est né dans les années 40 et l’a intégré dans son étude des organisations, initiant ainsi le courant systémique en sociologie et management. Le paradigme systémique a bouleversé l’approche classique d’un l’objet d’étude. En effet, le systémisme, pour décrire le fonctionnement d’un système, privilégie l’analyse globale des échanges entre ses parties à l’analyse de chacune d’entre-elles. Au fur et