Pâquerette

deviennent orphelins. Emily -> une nièce de M. Peggoty. Quand ils étaient enfants, ils étaient amis mais David était amoureux d’elle. James Steerforth -> c’est un ami que David se fait à l’orphelinat puis ils se retrouvent par hasard. Il le nomme « pâquerette » à cause de sa naïveté. Traddles -> un autre ami de David à l’orphelinat. Ils se retrouvent car T est pensionnaire de M. Micawber. Thème -Le grand thème de David Copperfield est l’amour. Le titre lui-même s’en ressent, en effet David signifie

personnelle sur l'exercice d'invention : cela ressemble à un petit exercice de collège, mais c'est un leurre : il s'agit d'un devoir de trois heures, mis à égalité avec le commentaire ou la dissertation ! On attend donc autre chose que du « ras des pâquerettes » en un français médiocre. C'est, pour moi, et au vu des résultats du bac, l'exercice le plus difficile et uniquement réservé à ceux qui écrivent bien (et sont créatifs, pointilleux. Ceux qui vont le prendre doivent utiliser tout le temps imparti

roi va devoir renoncer, auxquelles Marguerite l’oblige à renoncer : celle des sentiments humains (pitié, miséricorde, charité), encore une fois symboliquement concrétisé par l’image du mendiant l.26. Renoncement aussi à la poésie « Mais non les pâquerette…folles » l.34-35. - Elle lui fait renoncer progressivement à tous ses sens, à tous ses besoins physiologiques : le goût / la soif l.28 « l’eau », l’ouie l.36 « murmure du ruisseau », l’odorat l.40 « Sens une dernière fois, cette odeur ». Emploi

imaginaire.) Il n'a pas besoin d'être désaltéré, bonne femme, il n'a pas soif. N'encombrez pas son chemin. Évanouissez-vous. (Au Roi.) Escalade la barrière... Le gros camion ne t'écrasera pas, c'est un mirage... Tu peux passer, passe... Mais non, les pâquerettes ne chantent pas, même si elles sont folles. J'absorbe leurs voix ; elles, je les efface !... Ne prête pas l'oreille au murmure du ruisseau. Objectivement, on ne l'entend pas. C'est aussi un faux ruisseau, c'est une fausse voix... Fausses voix, taisez-vous

reflète la beauté de leur amour. Cependant un changement s’est produit des fleurs étranges, brillantes, étoilées s’élancèrent des arbres ou aucune fleur ne s’était encore fait voir. Les nuances de verts se firent plus intense, une à une les blanches pâquerettes étaient parties remplacées par 10 asphodèles d’un rouge de rubis. Et la vie éclata partout dans nos sentiers ; car le grand flamant que nous ne connaissons pas encore avec tous les gais oiseaux aux couleurs brulantes, étala son plumage écarlate

Que de fois j'ai montré sa gorge aux branches d'arbre ! Rougissante et pareille aux naïades de marbre, Tu baignais tes pieds nus et blancs comme le lait. Puis nous nous en allions rêveurs. Il me semblait, En regardant autour de nous les pâquerettes, Les boutons-d'or joyeux, les pervenches secrètes Et les frais liserons d'une eau pure arrosés, Que ces petites fleurs étaient tous les baisers Tombés dans le trajet de ma bouche à ta bouche Pendant que nous marchions ; et la grotte farouche

humaine, nous pouvons donc siter l'assommoir. Pourquoi ce texte est-il paradoxale ? Le contexte et la joie le démontrent. 1er théme: D'une part, Goujet apparaît, dans un premier temps, sous son visage apollinien : « La neige effeuillait des pâquerettes dans sa belle barbe jaune. » Il semble surgir de la tempête. Et comme par miracle, Gervaise parvient à se resituer par rapport à lui ou plutôt par son ombre alors qu’elle ne reconnaît pas son identité. Nous pouvons remarquer que cette apparition

« Le sourire de la Bohémienne » Frans HALS (1630) « Premier sourire du printemps » Tandis qu'à leurs œuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. Pour les petites pâquerettes, Sournoisement lorsque tout dort, Il repasse des collerettes Et cisèle des boutons d'or. Dans le verger et dans la vigne, Il s'en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer à frimas l'amandier. La nature au lit se repose

imaginaire.) Il n'a pas besoin d'être désaltéré, bonne femme, il n'a pas soif. N'encombrez pas son chemin. Evanouissez-vous. (Au Roi.) Escalade la barrière... Le gros camion ne t'écrasera pas, c'est un mirage... Tu peux passer, passe... Mais non, les pâquerettes ne chantent pas, même si elles sont folles. J'absorbe leurs voix ; elles, je les efface !... Ne prête pas l'oreille au murmure du ruisseau. Objectivement, on ne l'entend pas. C'est aussi un faux ruisseau, c'est une fausse voix... Fausses voix, taisez-vous

| | |Toujours debout comme un canard | | |À ras des pâquerettes | | |C’est la fin des haricots |