Papy fait de la résistance

d’achat ; |Récession [(« Les 20 | |société de consommation ; |rugueuses » / | |urbanisation ; |« piteuses »…) ?] | |periurbanisation ; exode |1944 : droit de vote des | |rural ; baby boom ; papy |femmes | |boom ; parité ; |1945 : création de la S.S. | |émancipation ; familles |1960 : le nouveau franc ( | |recomposées ; |Antoine Pinay). | |tertiarisation ; classes

Révolution Scientifique et Technique ; taylorisation ; croissance molle ; stagflation ; chômage; crise/dépression économique ; parités fixes ; PIB/ht ; pouvoir d’achat ; société de consommation ; urbanisation ; periurbanisation ; exode rural ; baby boom ; papy boom ; parité ; émancipation ; familles recomposées ; tertiarisation ; classes moyennes ; exclusion ; RMI ; « Restau du cœur », ; culture de masse ; 1944-47 : la reconstruction économique 1945-1975 : les « 30 Glorieuses » 1971 : le choc monétaire

divisée en 3 parties: - La 1ère partie est une guerre de mouvement: les allemands avancent vers Paris, mais il stoppés à la baitaille de la Marne. - La 2ème partie est une guerre de positions, les 2 camps gardent leur position. La baitaille de Verdum fait 600 000 de morts. Les Etats-Unis entre en guerre. - La 3ème partie est une guerre de mouvement. La russie signe l'armistice avec l'allemagne, la guerre s'arretent à l'est, les allemands vont vers la france, mais il sont battus par les Americains

développement (IFD)  III-             LA PLACE DU CAMEROUN DANS LA CEMAC ET LES LIMITES DES ORGANISATIONS SOUS REGIONALES  1-      La place du Cameroun dans la CEMAC Le Cameroun est une véritable « locomotive » dans le fonctionnement de la CEMAC. Son impact se fait sentir à plusieurs niveaux. -          Sur le plan fonctionnel: Le Cameroun a pris part au processus de création de la CEMAC et assure la direction du secrétariat exécutif par l’intermédiaire de Jean Kueté.  En outre, il a organisé les premières journées

mémoires françaises de la guerre (mémoires de Vichy et de la Résistance, de la déportation et du génocide) ? Tout d’abord, nous nous intéresserons à la mémoire de Vichy et de la Résistance. Ensuite, nous nous attarderons sur la mémoire de la déportation et du génocide. Enfin, nous évoquerons les rapports entre mémoire et histoire. I. Entre Résistance et Vichy, la mémoire du conflit. La mémoire de la résistance et de la collaboration va évoluer en même temps que la société française

antisémite, qui fait le choix de la collaboration avec l’Allemagne  des pouvoirs qui lui ont été donnés légalement, mais dès le départ, des opposants, d’abord très minoritaires, ensuite de plus en plus nombreux car :   Contestation de la légitimité de Vichy et lutte contre la dictature et pour le rétablissement de la République démocratique Contestation de la politique de collaboration, et de l’acceptation de l’occupation du territoire par les Allemands.  naissance de la résistance, en réalité,

sécurité sociale Avec les comités d'entreprise et les nationalisations (couplées au nouveau statut de la fonction publique), la Sécurité sociale est l'une des réalisations majeures du pouvoir qui s'appuie sur le programme du Conseil national de la Résistance. Elle conserve le système par répartition mis en place par le régime de Vichy en 1941, mais la démographie et la hausse du chômage imposent dès les années 1960 de réévaluer les cotisations. Des professions qui avaient choisi de garder des régimes

1940-1941. Deux mémoires se distinguent :    a La mémoire gaulliste   Le Général de Gaulle définit la nature de son pouvoir : « La légitimité que [Pétain] prétend incarner, le Gouvernement de la république la lui dénie absolument […] en raison du fait qu’il a accepté l’asservissement de la France, pratiqué la collaboration officielle avec l’envahisseur, ordonné de combattre les soldats français et alliés de la Libération […]. Or, il ne peut y avoir de gouvernement français légitime qui ait cessé

représentants d’intérêts locaux très souvent en situation de monopole. L’activité spécifiquement politique est faible ou inexistante. L’élection est comme un prolongement de son être social. Elle procède de l’entretien d’un réseau de clientèle. Le vote se fait sur les bases du clientélisme : on échange le vote contre des avantages ce qui est possible que parce que le marché électoral est très réduit. Les élus sont des amateurs. Ce type de personnage politique ne s’arête pas avec le suffrage universel. Ils

nombreuses que d’autres, donc si l’on assiste à un important vieillissement de la population, peut on assurer les retraites de tous ? Si assurer les retraites des générations antécédentes ne pose aucun souci, un important besoin de changer ce système se fait sentir , et ce problème se pose aujourd’hui même, puisque l’arrivée à l’âge de la retraite, depuis 5 ans des « baby-boomeurs » est observée. En s’appuyant sur les chiffres de l’INSEE, on s’aperçoit qu’en 2035, près de 21 millions d’habitants (français)